La Syrie dans la ligne de mire des USA

Ancien utilisateur
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Un conseiller du secrétaire américain à la Défense Donald Rumsfeld, Richard Perle, a souligné dimanche les «gros problèmes» nuisant aux relations entre les Etats-Unis et la Syrie. Damas est accusé de «faciliter l'entrée en Irak de terroristes».

«Ils facilitent notamment l'entrée en Irak de terroristes qui sont là pour tuer des Américains, ils gardent de l'argent qui appartient au peuple irakien, et ils construisent des armes au moins chimiques», a déclaré M. Perle sur CNN.

Le 5 janvier,le ministre des Affaires étrangères syrien Farouk al-Chareh avait souhaité «l'engagement d'un dialogue positif et constructif» avec Washington. La presse officielle syrienne a appelé samedi Washington à intervenir pour une relance des négociations de paix avec Israël, montrant que Damas souhaite jouer l'apaisement.

Mais M.Perle a accusé les Syriens de «jeter de temps en temps quelques miettes (aux Américains), un peu de renseignement, ou alors ils prennent des mesures mineures. Et ils espèrent, ce qui par le passé s'est parfois vérifié, que cela nous détournera de ce qui doit être notre objectif, un vrai changement de leur politique».

M. Perle a également mis en garde contre toute main tendue au régime iranien, estimant que les modérés y sont «sans pouvoir» et que «les mollahs qui sont au pouvoir ne sont pas des modérés». «Je ne crois pas qu'il faille une frappe préventive» contre ce pays, a-t-il toutefois déclaré.

Sur les Saoudiens, accusés dans un livre qu'il vient de publier d'être
«qualifiés pour appartenir à l'axe du mal», M.Perle a déclaré n'avoir «pas encore vu la preuve» qu'ils apportent toute la coopération souhaitée dans la guerre contre le terrorisme, ainsi que l'ont dit des responsables américains.

Ancien utilisateur
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Quelles révélations fracassantes Lorenzzo ! Alors comme ça les américains n'aimeraient pas les arabes ? Tu es vraiment sûr de tes sources ? ça me parait tellement invraissemblable....

Ancien utilisateur
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Hannibal ce ne sont pas les 'americains qui n'aiment pas les arabes', ce sont les reflexions de l'un des conseillers les plus influents du Gouvernement actuel, lequel a joué un role déterminant dans la guerre contre l'Irak.

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