EH'AD

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Si D- est un, alors rien n'est extérieur à lui, sinon nous ne serions déjà plus dans l'unicité mais dans la multiplicité. Cela signifierait que nous sommes EN lui. Alors quelle affirmation serait la plus juste?
il y a une part de divin en nous

ou bien
nous faisons partie du divin ?

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Il y a le divin en nous (l ame) et nous faisons partie du divin (la création)

C est justement le concept de la dualité qui a commencer, qui a était crée, avec le début de création.

Voila pourquoi la Thorah commence par la lettre "bet" qui signifie le numero 2.

Aleph, signfie le numero 1, qui est Hachem. Le aleph vient avant le bet, l'unité totale etait existante avant que Hachem crée la dualité par la création.

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

J'ajouterais timidement que Elohim (pluriel) désigne le D. unique.
Je pense donc comme Par par que "les 2 mon général" est une bonne réponse, car Il est en nous comme nos nechamoth font partie de Lui. "Tout est relatif", tout est en tout disait mon ami tireur de langue plus vite que son ombre...

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Incontestablement les deux !

Ce n'est pas un dialogue a unissance, comme il est dit "Je lui parle, et il me répond".
L'étoile de David la symbolise a merveil, lien et enchevetrement entre Le créateur et sa création (pas seulement l'homme), avec au centre, la Vie.

Nous somme en lui et contenon donc forcéement une par de lui. L'affirmation "Il est mon père" n'est donc pas hérésie.

Pour ce qui est de la dualité naissante, elle intervient le deuxième jour de la création, lorsque que l'eau, alors masse unique (Un) , est séparer en deux (dualité). Se faisant, l'Eternel abroge Lui même sa volonter d'Unicité, ce qui pourais etre une des raison de l'absence du "D.ieu vit que c'était Bien" que l'on retrouve a chaque jour de la création, sauf le second, jour de rupture de la notion d'Unicité...

On est donc en droit de se demander pourquoi D.ieu ferai quelquechose qu'il ne considère pas comme "bien"...

En faite, selon certain Rabbins, ce n'est ni bien ni mauvais, car Son travail avec l'eau n'est achever que le lendemin, 3eme jour, ou le phrase de contentement précédement citer aprais deux fois.

Un autre point vue justifirai la rupture d'Unicité voulu a "contre coeur" par l'Eternel comme étant la seul alternative possible pour mêtre en branle les notions d'évolutions (si chère au Judaïsme), d'élevation et donc par analogie, de libre arbitre.
En effet, c'est la bipolarité, la rupture d'équilibre qui permet d'avancer tent phisiquement qu'intelectuellement et spirituellement.

Pour ainsi dir, Sa désision de rupture avec l'Unicité résulterai de Sa volonter a permêtre un devenir. Les choses ne sont plus stationnaire mais évolutif.

Ce point de vue la peu sembler appuier par le tétragramme YHWH inconvenablement traduisible par " Il est devenant", démontrant bien l'evolution meme de la création et D.ieu dans son intime totalité, point de vue que les Pharisïen regetais, et tres peu aprécier dans le Judaïsme Rabbinique Ashkénaz tout particulièrement. Ces dernier concevant l'Eternel comme abouti, et non devenant.

Ci l'on s'imagine la création comme un gigantesque mécanisme d'orloge, le fait meme de l'évolution de ce mécanisme modifi donc le devenir du tout... L'Eternel lui, car en devenir.



Putain je vais me faire lynché par les Ranbbins moi ce soir ;)

Unicité

Mais guardon a l'esprit que l'Un est plus que le tout... Inneffable en somme ;)


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