Ce site est antisémite en plus d'etre raciste,

Ancien utilisateur
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LUt all !!!
Je suis "Feuj" et je n'est aucun (non vraiman aucun) probleme ac les autres personnes de couleurs (Blanche, Noirs, Jaunes Grises, de l arc en ciel et autres...).
Mai ne serais je moi mm pa juG par D feujs pck je frekente aussi des personnes de couleurs ( regrader un peu plu h0..) ??
Voila stt Ciao all ke Dieu Bennisse TT les Hommes du Monde.

Ancien utilisateur
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"C'est quoi en fait un semite ?"


Fait intéressant : antisémite ne signifie pas "qui est hostile aux sémites" mais qui est "hostile aux juifs".
Et uniquement aux juifs.

Ancien utilisateur
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SÉMITE, subst. et adj.
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SÉMITE, subst. et adj.
I. Subst., gén. au masc. plur. Celui qui appartient au groupe ethnique et linguistique dont Sem est considéré comme l'ancêtre. Les sémites primitifs; les sémites nomades; les anciens sémites; une tribu de sémites. C'est uniquement sur des données historiques et linguistiques que se fonde Moïse pour déterminer les groupements ethniques qui descendent de Sem, de Cham et de Japhet: les Sémites, pasteurs nomades, les Chamites sédentaires et les fils de Japhet, ancêtres des races caucasiques (Hist. sc., 1957, p. 1436). Les Sémites de l'Ouest, appelés ainsi pour les distinguer de leurs congénères orientaux, Babyloniens et Assyriens, représentent (...) divers peuples ou groupes de peuples, établis au Proche Orient plusieurs millénaires avant l'ère chrétienne (Mythol. 1981).
Empl. adj. Les Juifs primitifs étaient un peuple sémite (HADDON, Races hum., trad. par A. Van Gennep, 1930, p. 44).
En partic., gén. avec une connotation péj. Juif. Le prix de haute tartuferie me paraît revenir sans conteste à ceux qui, dans la presse et dans la Chambre, déclament contre le péril clérical et la dictature militaire, tout en donnant libre carrière à ces puissances contre le méprisable sémite avec qui l'aryanisme aristocratique n'a rien à faire (CLEMENCEAU, Iniquité, 1899, p. 261).
Empl. adj. Suivaient les hommes politiques dans les loges des muses gouvernementales et sémites (LORRAIN, Phocas, 1901, p. 256).
II. Adj. Qui est relatif, qui est propre aux sémites. Synon. sémitique A. Type sémite. Un des types anthropologiques décrits par les auteurs du XIXe s. Le type sémite est l'un des plus répandus (...). Les anciens Assyriens, Syriens, Phéniciens et Carthaginois et les modernes Arabes et Juifs sont rangés sous ce chef (P. TOPINARD, L'Anthropol., 1895, p. 477). Le chef des Bororo, race nomade de pasteurs, au type sémite fortement accusé, nous a accompagnés de Léré jusqu'à Biparé (GIDE, Retour Tchad, 1928, p. 956).
En partic. Qui est relatif, qui est propre aux Juifs. [Disraëli] pensait que des déluges de pensée ecclésiastique submergent périodiquement les esprits et que ces orages ont peu d'importance parce que les eaux, en se retirant, permettent toujours d'apercevoir la même arche, immobile au sommet du mont. Cette arche, c'est la révélation sémite et chrétienne, la Bible complétée par les Évangiles (MAUROIS, Disraëli, 1927, p. 240). Les Juifs sont désormais tolérés, non seulement parce qu'ils sont bons banquiers et bons géographes, mais parce qu'il y a entre le nouvel esprit puritain et l'esprit sémite de curieuses analogies (MORAND, Londres, 1933, p. 266).
Péj. Il y avait autour de la table, côté des hommes, tout autant de profils sémites qu'un soir de réception de Mme Buloz (LORRAIN, Sens. et souv., 1895, p. 30).
REM. 1. Chamite ou (k)hamite,(hamite, khamite) subst., gén. au masc. plur. Celui qui appartient aux populations d'Afrique orientale, Éthiopiens, Lybiens entre autres, dont Cham est considéré comme l'ancêtre. Les pays du sud (Mésopotamie, Syrie et Arabie) avaient primitivement une population variée de dolichocéphales, les uns à peau claire comme les Méditerranéens et les Sémites, les autres à peau foncée comme les Hamites (HADDON, Races hum., trad. par A. Van Gennep, 1930, p. 162). Supra de Hist. sc. 2. Chamitique ou (k)hamitique,(hamitique, khamitique) adj. Qui est relatif, qui est propre aux Chamites. V. mélange ex. 3.
Prononc. et Orth.: [semit]. Att. ds Ac. 1935. Étymol. et Hist. 1. 1845 adj. et subst. ethnol. (BESCH.); 2. a) 1884 subst., abusivement « juif » (PÉLADAN, Vice supr., p. 104); 1893 adj. (GONCOURT, Journal, p. 396: une cervelle sémite); 1895 profil sémite (LORRAIN, loc. cit.); 1895 type sémite (P. TOPINARD, loc. cit.); b) 1938 (PIE XI, Déclaration à un groupe de pèlerins de la Radio catholique belge, 6 sept., rapportée ds La Docum. cath., t. 39, 1938, col. 1460: Il n'est pas possible aux chrétiens de participer à l'antisémitisme [...] Nous sommes spirituellement des sémites). Dér., au moyen du suff. -ite*, de Sem, lat. Sem, gr. , hébr. (un des trois fils de Noé, avec Cham et Japhet, Gen. 5, 32; 9, 26-27; 10, 21-31; cf. chamitique et japhétique) à qui la tradition attribue l'origine des peuples sémitiques. Fréq. abs. littér.: 55.


ANTISÉMITE, adj. et subst.
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ANTISÉMITE, adj. et subst.
A. Emploi adj. [En parlant d'actions menées par des hommes, ou des hommes qui les mènent] Qui fait preuve d'antisémitisme, qui est hostile à la race juive :

1. Après la répétition générale d'un ange, avant la première, ajournée. C'est ma meilleure pièce, dit Capus. Brasseur y a mis du sien. Il ne faut pas être antisémite, mais antijuif.
RENARD, Journal, 1909, p. 1258.

2. Les monarchistes ne se soucièrent plus pendant l'affaire Dreyfus que quelqu'un eût été républicain, voire radical, voire anticlérical, s'il était antisémite et nationaliste. Si jamais il devait survenir une guerre, le patriotisme prendrait une autre forme, et d'un écrivain chauvin, on ne s'occuperait même pas s'il avait été ou non dreyfusard.
PROUST, La Prisonnière, 1922, p. 236.

SYNT. Rédacteur antisémite (E. et J. DE GONCOURT, Journal, 1896, p. 975), société antisémite (A. FRANCE, L'Orme du mail, 1897, p. 721), campagne antisémite (CLEMENCEAU, L'Iniquité, 1899, p. 267), parti antisémite (CLEMENCEAU, L'Iniquité, 1899, p. 375), rage antisémite (CLEMENCEAU, L'Iniquité, 1899, p. 391), juif antisémite (CLEMENCEAU, Vers la réparation, 1899, p. 370), folie antisémite (O. MIRBEAU, Le Journal d'une femme de chambre, 1900, p. 171), démagogie antisémite et nationaliste (J. JAURÈS, Études socialistes, 1901, p. 259), journal antisémite (M. BARRÈS, Mes cahiers, t. 2, 1898-1902, p. 209), presse antisémite (R. MARTIN DU GARD, Jean Barois, 1913, p. 356), libelles antisémites (J. DE LACRETELLE, Silbermann, 1922, p. 84), propagande antisémite (J. DE LACRETELLE, Silbermann, 1922, p. 87).
B. Emploi subst. Personne faisant preuve d'antisémitisme :

3. Drumont vient aujourd'hui, amené par la gentille lettre de Léon, lui annonçant son mariage avec la fille Hugo, à la fois touché de la lettre, en même temps que très gêné par ses attaques contre les Lockroy. Il m'annonce qu'il travaille à un livre devant avoir pour titre Le Testament d'un antisémite et me conte d'une façon assez drolatique l'hospitalité donnée à l'Ermitage par Nadar à Félix Pyat, du temps qu'il se cachait.
E. et J. DE GONCOURT, Journal, 1890, p. 1208.

4. Il [Christophe] ne contentait personne, n'étant d'aucun parti, ou mieux, étant contre tous. Il n'aimait pas les Juifs; mais il aimait encore moins les antisémites. Cette lâcheté des masses soulevées contre une minorité puissante, non parce qu'elle est mauvaise, mais parce qu'elle est puissante, cet appel aux bas instincts de jalousie et de haine, lui répugnait. Les Juifs le regardaient comme un antisémite, les antisémites comme un Juif.
R. ROLLAND, Jean-Christophe, La Foire sur la place, 1908, p. 773.

5. J'en reviens au livre de Sartre. Si justes que me paraissent certaines de ses plus importantes assertions (par exemple que « c'est l'antisémite qui crée le Juif ») paradoxales en apparence seulement. Il n'en reste pas moins que l'antisémitisme n'est pas (ou pas uniquement) une invention créée de toutes pièces par la haine et le besoin de motiver et d'alimenter celle-ci. Psychologiquement et historiquement, il a sa raison d'être, que Sartre, me semble-t-il, n'éclaire pas suffisamment.
GIDE, Journal, 1948, p. 320.

SYNT. Ardent antisémite (J. RENARD, Journal, 1908, p. 1203), antisémite de race (J. RENARD, Journal, 1918, p. 1203), antisémite déclaré (A. GIDE, Geneviève, 1936, p. 1362), antisémite opiniâtre (A. BÉGUIN, L'Âme romantique et le rêve, 1939, p. 239).
Rem. 1re attest. 1890 (cf. ex. 3); dér. de sémite*, préf. anti-*.
PRONONC. : []. Enq. : /atisemit/.
STAT. Fréq. abs. littér. : 143.
BBG. REY-COTTEZ 1970, t. 38, p. 357.

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

je repete: alez sur metissacana avec un pseudo juif et vous verrez comme on nous aime chez eux aussi... lol

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

metissacana , ca sonne metis ca non ?

Ce pourrait etre un site toubab, arabe ou juif pourquoi pas ?

Un metis c'est du tout et ils tiennent a ce que ce soit clair!

Alors pourquoi pretendre que c'est un site noir ?

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