Le Journal Suisse parle des massacres francais sur la population ivoiriene.

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L'implication française au Rwanda en quelques dates

http://www.reseauvoltaire.net/article6852.html
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Octobre 1990 :

L'attaque du Front patriotique rwandais (FPR), issu de la deuxième génération des exilés tutsis, suscite une intervention franco-belgo-zaïroise.

Bientôt, seules restent les troupes françaises, sur décision de François Mitterrand. De 1990 à 1994, le président de la République sera sans cesse au courant de la situation militaire au Rwanda - même durant ses déplacements.

Décembre 1990 :

Diffusion du texte raciste dit des "10 commandements du Hutu" dans la revue Kangura, notoirement soutenue par la belle-famille du président Habyarimana et l'aile dure du régime. En dernière page figure un portrait de François Mitterrand. En légende, ce dicton local : "Les grands amis, on les rencontre dans les difficultés".

Février 1991 :

L'ancien membre des "escadrons de la mort" Janvier Afrika affirme avoir été formé durant quatre mois, à partir de 1991, par des militaires français, qui auraient également "instruit" des miliciens Interahamwe.

Novembre 1991 :

Selon Me Éric Gillet, de la Fédération internationale des droits de l'homme (FIDH), les interrogatoires musclés des prisonniers du FPR sont menés par des officiers français.

Mars 1992 :

Un contrat égyptien de six millions de dollars de fournitures d'armes au Rwanda est couvert par le Crédit lyonnais.

Janvier 1993 :

Une commission d'enquête internationale, conduite notamment par la FIDH, parcourt le Rwanda. L'un des membres de cette commission, Jean Carbonare, affirme avoir vu des instructeurs français dans le camp de Bigogwe, où l'"on amenait des civils par camions entiers" qui "étaient torturés et tués".

En mars, la commission d'enquête internationale dénonce les pratiques de génocide au Rwanda et la responsabilité au plus haut niveau des autorités rwandaises dans ces massacres.

Janvier 1994 :

En principe partis du Rwanda depuis décembre, onze militaires français du Détachement d'assistance militaire à l'instruction (DAMI) sont reconnus à Kigali, en civil, durant le premier trimestre. Le capitaine Paul Barril, prestataire de services de sécurité au régime rwandais, fréquente aussi cette capitale (voir l'interview de P. Barril).

6 avril 1994 :

Attentat contre l'avion (piloté par trois Français) transportant le président du Rwanda Juvénal Habyarimana et le président du Burundi Cyprien Ntaryamira. En moins de 3/4 d'heure, avant même que la nouvelle soit annoncée à la radio, des barrages sont installés aux grands carrefours de Kigali, et les rues principales se jonchent de cadavres.

La garde présidentielle interdit à la Mission des Nations unies pour l'assistance au Rwanda (Minuar) de se rendre sur les lieux de l'attentat. Un commandant français y aura pourtant accès. Quatre jours plus tard, un commando militaire français est envoyé au point de chute de l'avion présidentiel.

Fin avril 1994 :

La France reçoit le ministre des Affaires étrangères du Gouvernement intérimaire rwandais (GIR) - gouvernement autoproclamé au lendemain de l'attentat et composé des tenants du Hutu Power. Il est accompagné du chef de la faction ultra du régime, la Coalition pour la défense de la république (CDR).

9-13 mai 1994 :

Visite d'Ephrem Rwabalinda, adjoint du chef d'état-major des Forces armées rwandaises (FAR) - l'armée du régime Habyarimana - à la mission militaire du ministère de la Coopération (voir notre encadré). Une aide militaire multiforme est promise et le général français Huchon apporte ses conseils pour "retourner l'opinion internationale" en faveur du camp du génocide.

D'avril à juin,

les FAR sont ravitaillées en armes et munitions par des Boeing 707 atterrissant à Goma (Zaïre). Toutes les sources sur place se déclarent certaines que ces livraisons d'armes ont été "payées par la France".

Juillet-août 1994 :

Durant l'opération Turquoise, la plupart des responsables du génocide se replient sur la Zone humanitaire sûre avant de passer au Zaïre. Aucun n'est interpellé, pas plus que les préfets, sous-préfets ou chefs miliciens, qui ont, localement, organisé les massacres. Le chef des FAR, le général Bizimungu, est aperçu à Goma dans un véhicule de l'armée française.

Des officiers français dissuadent de rentrer à Kigali ceux des officiers des FAR qui souhaitent renouer avec le gouvernement d'union nationale.

Début octobre :

Le président du MRND (l'ancien parti unique), responsable des milices Interahamwe, indique à l'AFP qu'il rentre d'un voyage en France.

8 novembre 1994 :

Témoignage sur la collaboration d'un colonel français avec les ex-FAR. Selon les services des Nations unies, la DGSE utiliserait des entreprises françaises (voire britanniques) pour continuer de ravitailler les ex-FAR.

Selon le commandant en chef des Nations unies dans la région, les forces zaïroises participeraient à leur entraînement. Or, les liens militaires franco-zaïrois ont été considérablement renforcés depuis l'opération Turquoise.

Depuis janvier 1995,

plusieurs organisations (Human Rights Watch, Amnesty, MSF), ainsi que deux reportages diffusés par la BBC, mais aussi les enquêtes de journalistes (souvent britanniques ou belges) confirment le soutien logistique et militaire que notre pays a continué d'apporter aux génocideurs bien après le début des massacres.

En juillet 1995,

des sources fiables indiquaient que les hommes de l'unité amphibie du 2e Régiment étranger de parachutistes se trouveraient stationnés dans l'est du Zaïre, à proximité immédiate du Rwanda, de l'autre côté du lac Kivu.

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« Dans ces pays là, un génocide c’est pas trop important »

confidence de François Mitterrand à propos du génocide rwandais à des proches au cours de l’été 1994, rapportée dans Le Figaro du 12 janvier 1998.

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Comprendre les causes du génocide qui fit plus d’un million de morts au rwanda.
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Le Rwanda est un petit pays situé au centre de l’Afrique dans la région des grands lacs. Après un bref passage sous domination allemande, le « pays des milles collines » fut “donné” à la Belgique juste après la première guerre mondiale. Avant la colonisation, le royaume du Rwanda était une monarchie dont le roi était Tutsi : c’était depuis plusieurs siècles un Etat-Nation dont les composantes démographiques (Hutu, Tutsi et Twa) éparpillées sur toute l’étendue du pays, partageaient la même langue, pratiquaient les mêmes coutumes et une même religion. Tous ces éléments (langue, coutumes, religion, territoire commun) qui entrent habituellement dans la définition du concept d’ethnie étaient donc partagés de manière uniforme par toute la population. Ainsi, contrairement aux clichés, les Twa, les Hutu et les Tutsi ne formaient qu’une seule ethnie, celle des Banyarwanda. La notion classique d’ethnie n’est donc pas pertinente dans le cas du Rwanda. Les groupes Hutu, Tutsi et Twa étaient plutôt des catégories socio-économiques, liées aux différentes activités (agriculture, élevage, chasse et artisanat) avec des possibilités de passage de l’une à l’autre. Mais les Allemands, puis les Belges ne voyaient pas la réalité ainsi. Dans la logique du projet colonial, ils ont entrepris, à partir des années 1930, d’appliquer au Rwanda les thèses du racisme “scientifique”, alors en totale déliquescence. Ils vantaient la “supériorité génétique” des Tutsi. Le mythe est ainsi lancé, les Tutsi seraient une « race supérieure nilo-sémitique » descendant des Egyptiens, et proche des Européens, alors que les Hutu seraient de type bantou, de vrais nègres africains, un peu « gentils, lourds et simplets ». Les colonisateurs Belges, avec le soutien de l’Eglise Catholique omniprésente au Rwanda, décident donc de se reposer sur l’aristocratie tutsi, qui représentent moins d’1% de la population, pour administrer le pays (les paysans tutsi, représentent quant à eux, entre 3 et 60% de la population suivant les endroits). Vient ensuite la brillante idée de créer la fameuse « carte d’immatriculation » où figure « la race » décrétée arbitrairement par les Belges : Hutu, Tutsi ou Twa. A la fin des années 50, les Belges se heurtent au désir d’indépendance des intellectuels tutsi et à leur volonté d’instaurer la laïcité alors que le Rwanda avait été dédié au « Christ Roi ». Les Tutsi deviennent du jour au lendemain un peuple "arrogant". Après avoir soutenu les Tutsi pendant 40 ans, l’autorité coloniale découvre opportunément un « menu peuple » Hutu opprimé par des « féodaux » Tutsi. Dès lors, les Belges vont cautionner la lutte du « peuple majoritaire » Hutu et financer son ethnisme avec l’aide de l’Eglise Catholique. Croyant ainsi racheter leur culpabilité passée, les “démocrates chrétiens” s’enfoncent ainsi dans une autre voie funeste. Les premiers massacres de Tutsi ne vont plus tarder... Au cours des années 1960, le nouveau gouvernement “indépendant” Hutu a lancé des attaques cruelles contre la population Tutsi du Rwanda, qui eurent pour conséquence un exode massif vers le Burundi, la Tanzanie, l’Ouganda, le Kenya et le Congo voisins. Pour la première fois dans l’histoire du Rwanda, une fraction importante du peuple rwandais devient apatride et est ainsi privée du droit de résidence dans son pays. Pour la première fois dans la longue histoire du Rwanda, les leaders politiques rwandais ont prêché la division, la haine raciale, et la violence à l’encontre de la population, ayant pour résultats des vagues répétées de massacres à caractère génocidaire contre la population tutsi de 1959 à 1973.

Arrivée de la France

En 1990, au début de la lutte pour la libération du Rwanda par le Front Patriotique Rwandais (FPR, luttant pour permettre le retour des expatriés), le gouvernement a lancé une nouvelle vague de massacres. C’est la même année, à la suite d’un débat parlementaire mouvementé sur la situation au Rwanda et l’implication de la Belgique, que l’opinion publique belge bascule, et pousse au retrait le gouvernement, qui n’avait plus de toute façon les moyens de sa politique impérialiste. Ce territoire laissé libre est une aubaine pour la France qui n’hésite pas une seconde à y installer son armée. Le Rwanda représente pour elle une pièce maîtresse sur “l’échiquier” africain, notamment afin de contrôler le Zaïre voisin, et ses immenses richesses. C’est donc en 1991 que la France intervient pour la première fois officiellement afin d’aider le gouvernement du dictateur Habyarimana à repousser les attaques du FPR. L’armée française n’a bien sûr pas fait que passer. Une fois installée, elle est restée.

« L’enfant Juif gazé ou l’enfant Tutsi égorgé sont tués parce qu’ils sont nés Juif ou Tutsi. Leur appartenance à l’humanité est, au regard de cette qualité, niée par leurs bourreaux. Dès lors, c’est toute l’humanité qui est fondée à réclamer justice en leur nom. »

Robert Badinter, Préface à La Cour pénale internationale

Le Génocide

Entre avril et juin 1994 plus d’un million de personnes ont été tuées au Rwanda parce qu’elles n’appartenaient pas à la « bonne race ». Les Tutsi, repérés par les fichages ethniques officiels (cartes d’identité) ou “au faciès” (selon les stéréotypes répandus) ont été systématiquement tués, des vieillards aux nourrissons. Le viol et la torture avant la mise à mort ont été systématisés. Les opposants Hutu qui ne souhaitaient pas participer au génocide ont également été sauvagement massacrés. Le 7 avril 1994, la nuit est donc tombée sur le Rwanda, après cette opération Amaryllis (qui avait pour but officiel d’évacuer les ressortissants étrangers du Rwanda) pendant laquelle les légionnaires et les paras français se déplaçaient au milieu d’un bain de sang. Les tueurs en action, militaires et miliciens qu’ils avaient formés, les saluaient avec respect, fusils ou machettes au poing. Les « comités d’autodéfense populaire », fruits de la coopération militaire franco-rwandaise, se livraient sous leurs yeux, dans la connivence, à l’extermination des civils. A la fin de l’opération Amaryllis, le tri était fait. Les Blancs étaient évacués. On avait tiré le rideau. Les responsables français avaient clairement donné leurs consentements aux tueurs en laissant faire. Les massacres pouvaient alors se développer dans tout le pays, sans témoin étranger, dans « la nuit rwandaise »... Il s’agit de l’abandon d’une minorité désarmée, l’abandon à l’holocauste de civils. Un holocauste prévu par ceux qui organisaient leur abandon.

L’implication française

« Le génocide n’était pas inévitable. Il aurait aussi pu être arrêté une fois commencé. Ce n’était ni une tempête, ni le résultat des forces impersonnelles de l’histoire. C’était le résultat de décisions politiques, prises par des hommes politiques (...). »

Alison des Forges, Audition à l’Assemblée nationale, le 16 juin 1998

La question de la complicité de la France dans une telle horreur reste difficile à concevoir. C’est presque une question de bon sens : comment des dirigeants honorables et respectés aurait-ils pu s’engager dans une telle abomination, après la Shoah, après le « Plus jamais ça » unanime des nations ? Mais malheureusement les faits sont là, difficilement audibles, mais véridiques. La France est impliquée au plus haut point dans ce génocide. Comment ? De 1990 à 1994, des membres de l’armée française ont aidé à former l’armée officielle rwandaise, 100 % Hutu, en la faisant passer de 5000 à 50000 hommes. Cette armée a bien sûr besoin d’armes, de matériel, de logistique... pas de problème, la France pourvoit très bien à ces besoins. C’est ensuite cette armée, bien entraînée et équipée par la France, qui va organiser, encadrer et perpétrer, avec l’aide des miliciens et d’une grande partie de la population, les massacres et le génocide. Pendant le génocide, la France va continuer à soutenir politiquement, financièrement, et matériellement le gouvernement rwandais alors même que celui-ci est en train d’éliminer la population Tutsi vivant au Rwanda. Ainsi les dirigeants français ont reçu à l’Elysée et à Matignon les représentants de l’Etat génocidaire rwandais le 27 avril 1994, alors que celui-ci procédait depuis plus d’un mois à l’élimination des Tutsi. Finalement, à la fin du génocide grâce à la fameuse opération Turquoise, faussement qualifiée « d’humanitaire », la France va réussir à faire évacuer vers le Zaïre les principaux génocidaires qui avaient contribué à la planification et à l’organisation des massacres. Aujourd’hui encore l’Etat Français participe activement au négationnisme et au révisionnisme en prônant la thèse du double génocide. On pourrait donc retenir de tout cela de même que les autorités françaises, que comme l’a dit le président François Mitterrand, « dans ces pays-là, un génocide c’est pas trop important ». Non, ce qu’il faut réellement retenir, c’est qu’un génocide de cette ampleur - plus d’un million de morts - n’aurait pas pu avoir lieu sans un soutien infaillible et inconditionnel de la France ! Comment est-ce possible ? ! ? Comment se fait-il que nous ne soyons pas au courant ? On ne peut pas accepter ça ! Nous ne pouvons accepter d’être tenus dans l’ignorance, ni que de tels actes soient commis en notre nom par le gouvernement français, et donc que des personnes que nous avons élues soient co-responsables de la mort d’un million de personnes. Malheureusement la France continue, aujourd’hui comme hier, de soutenir des dictateurs qui oppriment de façon sanglante les peuples africains. C’est notre devoir de (ré)agir et de dénoncer cette politique criminelle de la France en Afrique. Car c’est seulement lorsque nous jouerons pleinement notre rôle de citoyen en disant à notre gouvernement : « Non ! Nous ne voulons plus que l’on tue ou laisse tuer en notre nom ! » que nous pourrons espérer avoir des relations internationales plus justes, des relations internationales qui ne puissent plus mener à un génocide.

A lire Pour plus d’info ·Alison des Forges (FIDH), Aucun témoin ne doit survivre, Karthala, 1999 ·Jean-Paul Gouteux, Un génocide sans importance, Tahin Party, 2001 ·Jean-Paul Gouteux, La Nuit rwandaise. L’implication française dans le dernier génocide du siècle, L’Esprit Frappeur, 2002 ·Michel Sitbon, Un génocide sur la conscience, L’Esprit Frappeur, 1998 ·Jean-Pierre Chrétien (dir.), Rwanda : Les médias du génocide, Karthala, 1995 ·François-Xavier Verschave, La Françafrique, Stock, 1998 ·François-Xavier Verschave, Noir Silence, Les Arènes, 2000


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Comprendre cette perception de l'africain, du noir par le francais.

(François Mitterrand ) « Dans ces pays là, un génocide c’est pas trop important »

Le code noir ?
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Le Code noir est le texte juridique le plus monstrueux de l'histoire moderne » Promulgué par Louis XIV en 1685
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http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/amsudant/guyanefr1685.htm
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Le code noir, adopté vingt ans plus tard, en 1685, eut pour but de combler le vide juridique qui existait depuis la première traite des nègres. OEuvre du ministre Colbert, il comprenait soixante articles, qui constituaient le premier statut juridique de l’esclave : obligation [pour les maîtres] de baptiser et d’instruire les esclaves dans la religion catholique ; interdiction de se marier sans autorisation du maître ; les enfants nés d’une esclave sont esclaves ; interdiction de porter des armes ou des gros bâtons ; interdiction de vendre de la canne à sucre, sous peine du fouet ; l’esclave ne peut rien posséder qui ne soit à son maître ; son témoignage en justice n’a pas de valeur ; l’esclave qui frappe son maître ou sa maîtresse sera puni de mort ; l’esclave marron aura les oreilles coupées, la première fois, et sera marqué de la fleur de lys. S’il récidive une autre fois, il aura le jarret coupé. A la troisième tentative, il sera puni de mort...
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Un article de ce code noir:

Article 44
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Déclarons les esclaves être meubles et comme tels entrer dans la communauté, n'avoir point de suite par hypothèque, se partager également entre les cohéritiers, sans préciput et droit d'aînesse, n'être sujets au douaire coutumier, au retrait féodal et lignager, aux droits féodaux et seigneuriaux, aux formalités des décrets, ni au retranchement des quatre quints, en cas de disposition à cause de mort et testamentaire.
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Michel Rogalski:
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Ce code qui prévalut pendant 163 années n'a réuni contre lui ni pétitionnaires, ni figures illustres ou morales, ni bataillons de protestataires. Etrange silence qui n'honore ni la France, ni le droit, ni le christianisme, ni la philosophie.

Combien de collégiens, lycéens ou étudiants connaissent l'existence de ce texte ? Quels manuels scolaires en dévoilent le contenu et en proposent l'analyse ? (1) Comment interpréter le silence pesant sur cet acte officiel au moment même de la commémoration du cent-cinquantenaire de l'abolition de l'esclavage ? Le devoir de mémoire est inséparable du civisme. Comment ne pas discerner dans ce texte le même esprit, les mêmes turpitudes qui animaient les lois antijuives de Vichy ?



Lisez le Code Noir. Vous recevrez un choc à l'estomac.
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caid, j'adore ta concision.
dis monsieur de cadburry, tu peux pas les faire un peu plus long?...

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Caid, met plutôt les liens internet que des copire/coller.

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Oula, je vais mettre un mois pour tout lire...

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caid, t avocat ou un truc du genre?

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Caïd pour ma part je désire vous remercier de tout coeur pour vos posts. Ils sont d'une pertinence et ajoute à mon argumentation.
Mais hélas comme plusieurs ont de la difficulté à s'auto-analyser , iLs et elles risquent de ne pas les lire , car souvent dans cette triste humanité, on ignore les points de vue critique pour se complaindre dans une auto-suffisante . ET on se remet vite les pieds dans les mêmes sales histoires . La France en témoigne par son passé et par son présent . Le futur risque de....

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Monsieur le Golois, je ne cherche pas les prises de tête avec vous étant donné votre grande culture . Sans rancune aucune.

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''Comprendre cette perception de l'africain, du noir par le francais.''
Etc... etc... etc...

Mais vas-y, Caid, n'aie pas peur, dis-le franchement que les Français sont des sal.... de racistes.
Tu y gagneras en concision.

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