la guerre des images est-elle perdue ?

Ancien utilisateur
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tout le monde sait qu'Israel a perdu énormément de points à Qana, même si les jours qui ont suivi ont montré qu'il existait des zones d'ombre énormes dans cette affaire.
La guerre se gagne-t-elle en images ?

Ancien utilisateur
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La guerre se gagne-t-elle en images ?


on dirait oui car en francec est comme ca que les gesn s attendrissent sur les libanais et palestiniens

je quitterai un jour la france...

Ancien utilisateur
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on ne a rien a foutre des images nous ce qui nous importe c'est que tous ces islamonazi de teroriste soit hord d'était de nuir on vas pas ce faire chier a obliger les journalistes a filmer ce qu'on veut comme le fait si bien le h'ezballa.

ces cretin peuvent manifester contre le "massacre" nous on en a rien a foutre ce qu'il nous importe c'est proteger nos civils

Ancien utilisateur
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personne ne parle des soldats tués ou alors on ne voit pas ou peu d images vraiment la france va mal .... tres mal ca craint ca

Ancien utilisateur
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deja qu'on gagne cet guerre contre les terrorristes.

Ancien utilisateur
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mais, au moins, Antonio7, je pense vraiment que le fait qu'on voir pas beaucoup des soldats et civiles montres a le monde qu'on a plus de respect vers les morts que ces gens en Beirut qui n'a pas honte de montrer leurs ptits enfants sans vie. ca me degoute.

Ancien utilisateur
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Et qu'en dit france-echo, Nath?

Ancien utilisateur
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La Guerre ne ce fait plus aujourdhui que avec les armes.
La Guerre ce fais aussi par les images les images on un role capital dans la guerre, les images elles sensibilise le monde entier, et les medias en on bien consience ils manipules les foules avec les images on fais ce que on veux…

Ancien utilisateur
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Sur le site Primo Europe, 2 articles sur les récentes positions de Reuters vis à vis d'un photographe libanais surpris en flagrant délit de manipulation de ses clichés.
Puis un article sur les faux griefs du Hezbollah et du Liban vis à vis d'Israël !

On apprend que certaines plages italiennes de prestigieuses stations balnéaires seront réservées aux femmes pour cause de soumission au Coran.

On se remémore aussi certaines déclarations de Jacques Chirac, à peine élu, qui ne comprend pas comment on peut se soumettre aux terroristes et enfin, un fort beau texte de la fondation EVENS : "qui commet des crimes contre la paix ?"


Les larmes de Fouad Siniora interprétées objectivement

Hier, le Premier Ministre libanais s’est exprimé devant les ministres des affaires étrangères des pays membres de la Ligue Arabe.

Il ne s’agit pas ici de relayer ses propositions en faveur d’un cessez-le-feu. Les agences de presse s’en sont chargées avec leurs méthodes habituelles, à savoir, servir tous les éléments prompts à diaboliser Israël, en occultant les messages de haine contenus dans les discours arabes.

Reprenons trois points de la diatribe du Premier Ministre libanais qui auraient dû être relayés par nos médias tant ils donnent un aperçu de la position des pays arabes concernant cette région.

En premier lieu, Fouad Siniora s’est gardé d’impliquer le Hezbollah dans le conflit, jetant de facto l’opprobre sur Israël, qualifié d’Etat agresseur. Il a renchérit en exigeant « l’arrêt de l’agression sioniste », inversant définitivement les rôles de l’agresseur et de l’agressé.

En second lieu, il y eut ces applaudissements des ministres lorsque Fouad Siniora déclama que le Liban était un pays arabe, et par conséquent son destin était lié à celui de la nation arabe.

Le terme « nation » revêt toute son importance dans une réunion de la Ligue Arabe, car il constitue le lien rhétorique entre l’arabité et l’islamité.

Dans ce contexte, il n’y a aucune différence entre nation arabe et nation islamique puisque la première porte la seconde. C’est précisément là que se situe l’une des limites fondamentales des pays arabes dans la lutte contre l’extrémisme musulman.

Enfin, la clôture du discours du Premier Ministre libanais par la récitation d’une sourate du Coran appelle deux remarques.

La première est qu’officiellement, la Ligue des Etats Arabes se déclare musulmane exclusivement, et par conséquent ne peut être qu’un sous-produit de l’Organisation de la Conférence Islamique, laquelle ne peut dénoncer le Hezbollah, puisqu’il s’attaque à l’ennemi éternel : Israël et les Juifs.

La seconde rejoint les signaux d’alarme lancés de temps à autre notamment par les membres de Primo Europe, et que nous devrions démultiplier. Il s’agit de la négation de l’existence de populations non musulmanes au Proche et Moyen-Orient.

Imaginez le tollé que provoquerait la lecture d’un passage des Evangiles après une réunion politique de la Ligue des Etats Francophones Chrétiens.

Ce qui se passe au Liban se passe dans de nombreux autres pays arabo-musulmans. On élimine un peuple en l’effaçant de la construction de la nation. Demain, qui réagira au massacre des derniers chrétiens arabes du Liban ? Personne !

S’il y avait une seule raison de soutenir Israël, ce serait certainement celle-là, car lui protège ses citoyens arabes sans s’en vanter.

Kébir JBIL © Primo-Europe Strasbourg, 8 Août 2006


Massacre de Houla : Bilan revu à la baisse



Fouad Siniora a fait une annonce tapageuse ce lundi, durant sa grande réunion avec les représentants des pays arabes.

"Il y a une heure, un massacre affreux s'est produit à Houla à la suite du bombardement intentionnel par Israël qui a coûté la vie à plus de 40 martyrs", a-t-il dit lors d'une conférence de presse.

L'agence de presse officielle syrienne a utilisé - mais c'est un hasard ! - au même moment la même terminologie.

14 h 50, sur Sana : "Quelques 40 civils sont tombés martyrs du fait du raid israélien qui a ciblé aujourd'hui des maisons dans la localité de Houla, sur les frontières libano-palestiniennes. L'agence nationale libanaise d'informations a affirmé que les éléments de la défense civile et de la Croix Rouge n'ont pas réussi à parvenir aux lieux du massacre, tandis que les éléments de la forces internationales s'étaient abstenues d'intervenir pour sauver les personnes sous les débris".

Remarquons au passage que, pour l'agence de presse syrienne, Houla est à la frontière libano-palestinienne. Jack Lang, en visite aujourd'hui chez eux, pourra leur donner quelques rudiments de géographie. Remarquons aussi que les éléments de la force internationale ne sont pas dépeints avec beaucoup de sympathie.

Manière élégante de dire à l'Occident que la force internationale d'interposition n'est pas bien vue par Damas.

Moins de morts que prévu

2 heures après, le Premier ministre libanais, pressé par les journalistes, a fortement révisé à la baisse le bilan des personnes décédées dans ce raid aérien israélien sur le village de Houla.

Fortement révisé, du reste, puisque, selon lui, il n'y a plus qu'un seul mort.

Mais les journaux de 20 heures de ce soir n'avaient pas eu le temps de modifier leur reportage.

Siniora a donc été filmé les larmes aux yeux sous les applaudissements - réservés, c'est le moins que l'on puisse dire - des délégations arabes en annonçant ce prétendu "massacre". On a manipulé des grandes réunions internationales avec moins que cela.

Il a expliqué un peu plus tard lors d'une conférence de presse que le nombre de 40 morts était basé sur des informations non spécifiées qu'il avait reçues. Il n'a pas avancé d'autre explication.

L'Europe s'est endormie avec la certitude qu'Israël était vraiment un massacreur de civils qui ne faisait rien qu'à faire pleurer les premiers ministres libanais.


© Primo, le 7 Août 2006


Les aveux d'un membre du Hezbollah



Le 12 juillet dernier, Saliman a participé au kidnapping des soldats israéliens Ehud Goldwasser et Eldad Regev près de Zarit. Un commando l'a interpellé Saliman et l'a évacué vers Israël.

Hassin Ali Saliman, dont l'identité est maintenant connue, a admis durant son interrogatoire avoir été impliqué dans le kidnapping des soldats israéliens Ehud Goldwasser et Eldad Regev. Il a admis aussi avoir toujours connu le but de ces enlèvements.

Saliman a également admis sa participation à une tentative de kidnapping en Israël près du village de Rajar en Novembre dernier.

Saliman, 22 ans, a rejoint le Hezbollah à l'âge de 15 ans et a suivi un programme de formation prolongé qui a inclus une formation militaire très élaborée ainsi que des cours « éducatifs » consacrés au Coran.

Après cette formation, il a rejoint la section antichar de l’« unité de Nasser », l'unité de Hezbollah postée sur la frontière du Liban avec Israël.

Saliman a également participé à deux « exercices » du Hezbollah en Iran.

À la fin de 2003 et à la fin de 2004, lui et plusieurs douzaines d'autres membres du Hezbollah sont entrés en Iran par le point de contrôle militaire iranien de Tamrun. Saliman a précisé avoir fait ce voyage en Iran sans présenter de passeport.

Les frontières de la Syrie et de l'Iran s'avèrent extrèmement poreuses dés lors qu'il s'agit du Hezbollah. Saliman est avoué que leurs instructeurs étaient les soldats iraniens.

Saliman a participé à deux tentatives d’enlèvement. Seule la seconde a été couronnée de succès. Dans la première tentative de Rajar, en novembre 2005, des missiles antichar russes Fagot ont été utilisés contre les véhicules blindés israéliens.

Cela faisait partie des multiples accrochages dont la presse internationale ne voulait pas entendre parler avant qu’Israël ne décide de réagir.

Saliman fera-t-il partie des prisonniers à échanger ?

© Primo, 8 Août 2006

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