Les Juifs n'ont pris la terre de personne

Ancien utilisateur
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un petit rappel


En tant que critique arabe-américain le plus voyant de Yasser Arafat et des objectifs-bidon "palestiniens", je reçois beaucoup de courrier haineux et plus que ma part de menaces de mort. La plupart de ces attaques – au moins celles qui se donnent la peine d’aller au-delà des insultes et de l'obscénité – disent seulement que je ne comprends pas ces pauvres Arabes qui ont été déplacés, chassés de leurs maisons et transformés en réfugiés par les Israéliens, ni n'ai de compassion pour eux.

Permettez-moi d'affirmer clairement et simplement ceci :

Les Juifs en Israël n'ont pris la terre de personne.


Quand Mark Twain visita la Terre Sainte au XIXe siècle, il fut très déçu. Il ne vit pratiquement personne. Il la décrivit comme une vaste terre de désolation. Le pays que nous connaissons aujourd'hui sous le nom d'Israël était pratiquement désert [1]. Au début du XXe siècle cela commença à changer. Des Juifs venus du monde entier se mirent à revenir dans leur patrie ancestrale, la Terre Promise que Moïse et Josué avaient conquise, des millénaires auparavant, ainsi que le croient Chrétiens et Juifs, sous les ordres directs de Dieu. Cela ne veut pas dire qu'il n’y ait pas toujours eu une forte présence juive sur cette terre, en particulier dans et autour de Jérusalem. En 1854, selon le compte-rendu publié dans le New York Tribune, les Juifs représentaient les deux tiers de la population de cette ville sainte. Quelle est la source de cette statistique ? Un journaliste, envoyé spécial au Moyen-Orient pour le Tribune. Il s'appelait Karl Marx, oui ce Karl Marx là.

Un guide de la Palestine et de la Syrie, publié en 1906 par Karl Baedeker, illustre ce fait :

Alors même que l'Empire Ottoman musulman régnait sur la région, la population musulmane de Jérusalem était minime. Ce livre estime la population totale de la ville à 60.000 habitants, dont 7.000 Musulmans, 13.000 Chrétiens et 40.000 Juifs. "Le nombre de Juifs s'est considérablement accru durant les dernières décennies, malgré l'interdiction d'immigrer ou de posséder des terres qui leur est faite", déclare ce livre. Bien que les Juifs y soient persécutés, ils venaient quand même à Jérusalem et y représentaient la vaste majorité de la population, déjà en 1906. Et bien que les Musulmans proclament aujourd'hui Jérusalem comme la troisième ville sainte de l'Islam, quand la ville était sous régime musulman, ils ne lui manifestaient que très peu d'intérêt.


Lorsque les Juifs vinrent, drainant les marécages et faisant fleurir les déserts, un phénomène intéressant se produisit. Les Arabes suivirent. Je ne les en blâme point. Ils avaient de bonnes raisons de venir. Ils y trouvaient des emplois. Ils venaient pour la prospérité. Ils venaient pour la liberté. Et ils vinrent nombreux.

Winston Churchill observa en 1939:

"Ainsi, loin d'y être persécutés, les Arabes sont arrivés en masse dans ce pays, s'y sont multipliés jusqu'à ce que leur population augmente même plus que les communautés juives de par le monde n'avaient pu mobiliser de Juifs."


Puis arriva 1948 et la grande partition. Les Nations Unies proposèrent la création de deux Etats dans la région, l'un juif, l'autre arabe. Les Juifs l'acceptèrent avec gratitude. Les Arabes la rejetèrent férocement et déclarèrent la guerre.

Les leaders arabes demandèrent aux Arabes de quitter la zone pour ne pas être pris dans les échanges de tirs. Ils pourraient revenir dans leurs maisons, leur dit-on, après qu'Israël soit écrasé et les Juifs détruits. Le résultat ne fut pas celui qu'ils escomptaient.
Selon les estimations les plus courantes, plusieurs centaines de milliers d'Arabes furent déplacés du fait de cette guerre, mais non par une agression israélienne, non par un accaparement des propriétés foncières par les Juifs, non par un expansionnisme israélien.
En réalité, il existe de nombreux documents historiques montrant que les Juifs ont instamment demandé aux Arabes de rester et de vivre avec eux en paix. Mais, tragiquement, ces derniers choisirent de partir.

54 ans plus tard, les enfants et petits-enfants de ces réfugiés vivent encore beaucoup trop souvent dans des camps de réfugiés, et ce non du fait de l’intransigeance israélienne, mais parce qu'ils ont été abusivement utilisés comme outil politique par les puissances arabes.
Ces pauvres malheureux auraient pu être installés en une semaine par les riches Etats arabes pétroliers, qui contrôlent 99,9% de la totalité des territoires du Moyen-Orient, mais ils sont gardés comme de véritables prisonniers, remplis de haine envers la mauvaise cible, les Juifs, et utilisés comme armes en tant que martyrs-suicide par les détenteurs arabes du pouvoir.

Telle est la véritable histoire moderne du conflit arabo-israélien. Jamais les Juifs n'ont arraché les familles arabes de leurs foyers. Quand la terre avait un détenteur, ils en achetaient les titres de propriété largement excessifs, pour pouvoir avoir un lieu où vivre à l’abri des persécutions qu’ils avaient subies partout dans le monde.

Dire que les Israéliens ont déplacé qui que ce soit est un énorme et flagrant mensonge dans d'une longue série de mensonges et de mythes qui ont amené le monde au point où il est prêt à commettre, encore une fois, une autre grande injustice envers les Juifs.

Joseph Farah
WorldNet Daily -19 Novembre 2002
Texte anglais sur le site de Naomi Ragen :

http://www.naomiragen.com/Other%20A.../NoMansLand.htm


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[1]"La terre d'Israël (baptisée 'Palestina' par l'Empire romain et rebaptisée 'Palestine' par ses descendants anglo-saxons) était quasiment vide et désolée avant les grands mouvements migratoires de la fin du XIXe siècle, comme en témoignèrent tous les archéologues et écrivains qui la visitèrent à l'époque. Thomas Shaw, Constantin Volney, Alexander Keith, J.S. Buckingham, Alphonse de Lamartine, Mark Twain et Arthur Stanley s'accordent tous sur le fait que la 'Palestine' était un désert parsemé de rares bourgades". (Limor Livnat, ministre israélienne de l'éducation nationale, "Israël : ma part de vérité" Le Monde, 21 décembre 2001.


"Jérusalem est un charnier entouré de murailles. Tout y pourrit, les chiens morts dans les rues, les religions dans les églises. Il y a quantité de merdes et de ruines. Le juif polonais avec son bonnet de renard glisse en silence le long des murs délabrés, à l’ombre desquels le soldat turc engourdi roule, tout en fumant, son chapelet musulman…"
Gustave Flaubert, Correspondance

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Joseph Farah, journaliste Arabe Américain

www.worldnetdaily.com -

La situation au Proche-Orient paraît simple pour tout le monde: les Palestiniens veulent une patrie et les Musulmans veulent le contrôle de sites qu'ils considèrent comme étant sacrés. Simple, non ?

Et bien, en tant que journaliste Arabe Américain qui s'est forgé une connaissance approfondie de la situation au Moyen-Orient, à force de commenter jets de pierres et tirs de mortiers, je peux aujourd'hui vous assurer que la justification de la violence et des émeutes ne trouve pas son origine dans la simple revendication palestinienne à une patrie, ni dans la volonté des Musulmans de contrôler des sites qu'ils considèrent sacrés.

Surpris ?

Alors comment expliquer qu'avant la guerre des Six Jours en 1967, il n'y eu aucun mouvement sérieux de revendication d'indépendance palestinienne ?

"Avant 1967 ?" me direz-vous, "les Israéliens n'occupaient pas la Cisjordanie et la vieille ville de Jérusalem" C'est vrai. Mais durant la guerre des Six-Jours, ce n'est pas des mains des Palestiniens, ni de Yasser Arafat qu'Israël conquît la Judée, la Samarie et Jérusalem Est.

Ces territoires étaient de fait occupés par le Roi Hussein de Jordanie depuis 1948. A-t-on une seule fois demandé au souverain Hachémite de restituer ces territoires aux Palestiniens ? Est-ce qu'une seule résolution de l'ONU a vu le jour à ce sujet ? Non et non.

Ne vous demandez-vous pas alors pourquoi tous ces Palestiniens ont soudainement découvert leur identité nationale après qu'Israël ait gagné cette guerre ?



La vérité est que la Palestine est un Mythe !

Le nom Palestine est utilisé pour la première fois en l'an 135 de l'ère actuelle par l'empereur Romain Hadrien, qui, non content d'avoir éradiqué la présence juive en Judée (une présence qui durait depuis plus de 1000 ans !), non content d'avoir détruit leur Temple à Jérusalem, non content d'avoir interdit l'accès du pays aux derniers Juifs, se persuada qu'il fallait annihiler toute trace de civilisation juive dans le pays en le débaptisant au profit d'un nom dérivé des Philistins.

Les Philistins étant ce peuple auquel appartenait Goliath et que les Hébreux parvinrent à vaincre des siècles plus tôt. Ce baptême était pour les Romains une façon d'ajouter l'insulte à la blessure. Ils essayèrent également de changer le nom de Jérusalem en "Alea Capitolina", mais cela ne rencontra pas le même succès. La Palestine en tant qu'entité autonome n'a jamais existé au cours de l'Histoire. Jamais !

Le pays fut dominé successivement par les Romains, par les croisés Chrétiens, par les Musulmans (qui n'ont d'ailleurs jamais fait de Jérusalem une capitale pendant qu'ils occupaient le pays), par les Ottomans et, brièvement, par les Britanniques au lendemain de la première Guerre Mondiale. Dès 1917, avec la déclaration Balfour, les Britanniques s'étaient montrés favorables à céder au moins une partie du territoire au peuple Juif afin qu'ils y établissent un Etat souverain.

Il n'existe pas de langue proprement Palestinienne. Ni même de culture spécifiquement Palestinienne. Il n'y a jamais eu de Palestine dirigée par des Palestiniens. Ces derniers sont des Arabes, et sont indissociables des Jordaniens (la Jordanie étant elle aussi une invention récente, créée de toutes pièces en 1922 par les Britanniques).

Mettez-vous bien en tête que le monde Arabe contrôle 99.9% des terres du Moyen-Orient. Israël ne représente que 0,1% de la superficie régionale ! Mais cela est déjà trop pour les Arabes. Ils veulent tout. Et c'est précisément là que se situe le nœud du conflit qui les oppose à Israël.

Avidité. Fierté.. Jalousie. Convoitise. Toutes les concessions que pourrait faire Israël n'y suffiront pas.
Là je pense que le GPS serait nécessaire.... ;)

Qu'en est-il des lieux saints de l'Islam ? Il n'y en a tout simplement aucun à Jérusalem. Cela vous choque ? Vous pouvez l'être. Je suis persuadé que vous n'entendrez jamais cette vérité brutale de la part d'aucun média international. C'est politiquement incorrect. Je sais que vous me direz : "la Mosquée Al Aqsa et le Dôme du Rocher à Jérusalem représentent le troisième lieu saint de l'Islam", après la Mecque et Médine.

Et bien, sachez que c'est faux ! En réalité, le Coran ne fait aucune mention de Jérusalem. La Mecque est citée des centaines de fois. Médine est mentionnée un nombre incalculable de fois. Mais Jérusalem, jamais (inversement, Jérusalem est citée 669 fois dans la Torah !). Il n'existe aucune preuve historique que le prophète Mohamed se soit rendu à Jérusalem.

Alors comment Jérusalem est-il devenu le troisième lieu saint de l'Islam ? Les Musulmans, aujourd'hui, se réfèrent à un vague passage du Coran, la 17ème Sourate, intitulée "le Voyage Nocturne"(1). Il y ait fait état d'un rêve de Mohammed qui fut transporté de nuit "du temple sacré au temple le plus éloigné dont nous avons béni l'enceinte".

Au septième siècle, des Musulmans ont identifié les deux temples mentionnés dans ce verset comme étant la Mecque et Jérusalem. Voilà à quoi tient la connexion si étroite entre l'Islam et Jérusalem - connexion faite de rêve, d'imagination, d'interprétations et de mythe. Parallèlement, le peuple Juif voit son enracinement à Jérusalem remonter jusqu'à l'époque du patriarche Abraham.

La dernière vague de violence qui sévit en Israël a eu comme origine, dit-on, la visite du chef du Parti Likoud Ariel Sharon sur le Mont du Temple, là où se trouvent les fondations du Temple construit par Salomon. C'est le site le plus saint du judaïsme. Sharon et son entourage y furent accueillis à coups de jets de pierres et d'insultes. Je sais à quoi cela ressemble. J'y étais. Pouvez-vous imaginer ce que ressentent les Juifs lorsqu'ils sont menacés, lapidés et tenus éloignés du lieu le plus saint du judaïsme ?

Alors, me direz-vous, quelle est la solution pour apporter la paix dans ce Moyen-Orient ? Franchement, je ne pense pas qu'un homme aujourd'hui puisse se prévaloir de détenir une solution durable. Mais s'il y en a une, elle se doit de commencer par rétablir la Vérité. La poursuite des mensonges n'apportera que plus de chaos. Continuer à mépriser un droit légitime vieux de 5,000 ans pour les Juifs, de surcroît renforcé par des preuves historiques et archéologiques éclatantes, en les confrontant à de fausses revendications, ne pourra que donner une mauvaise réputation à cette diplomatie de menteurs.

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Note

(1) Les musulmans s'appuient sur le Coran pour revendiquer Jérusalem., pourtant Jérusalem n'y est pas mentionnée une seule fois. La 17ème sourate contient une allusion floue à une « Mosquée la plus éloignée ». « Loué soit celui qui a conduit pendant la nuit son serviteur de la mosquée inviolable à la mosquée la plus éloignée ». Mais existe-t-il une base solide qui prouverait qu'il est ici parlé de la mosquée al-Aqsa de Jérusalem ? La réponse est : Non !.

Au temps de Mahomet, qui mourut en 632 après Jésus Christ, Jérusalem était une ville chrétienne du royaume byzantin. Elle ne fut conquise que six ans plus tard par le calife Omar. Durant cette période, il n'y avait que des églises dans la ville et sur le Mont du Temple se trouvait l'église byzantine de Sainte Marie. Vers l'an 711, soit 80 ans après la mort de Mahomet, l'église fut transformée en mosquée et appelée al-Aqsa afin de donner corps à l'incompréhensible sourate 17 du Coran. Mahomet ne pouvait donc pas penser à cette mosquée quand il écrivit le Coran, puisqu'elle n'exista que trois générations après sa mort. D'ailleurs Mahomet n'éprouvait pas de sympathie particulière pour Jérusalem. Il permit à ces fidèles de prier tournés vers Jérusalem pendant quelques mois, pensant ainsi convaincre les juifs de se tourner vers l'islam. La tentative ayant échoué, il prononça le 12 février 624, l'interdiction de prier en direction de Jérusalem. Cette ville ne fut jamais pour les musulmans un lieu saint.
Francis NADIZI, islamologue

Ancien utilisateur
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"La terre d'Israël (baptisée 'Palestina' par l'Empire romain et rebaptisée 'Palestine' par ses descendants anglo-saxons) était quasiment vide et désolée avant les grands mouvements migratoires de la fin du XIXe siècle"

C'est une des plus grande blague historique. Elle me ferait presque rire si ce genre d'argument n'avait permis la persécution des Palestiniens depuis 60 ans.

Il n'y avait personne mais Israel a déporté 800.000 Palestiniens en 1948 et rasé 350 villages palestiniens. Chercher l'erreur.

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Ganesh, j'adore ton humour, même si j'ai une vision et des informations sensiblement différentes.

Israel n'a "déporté" personne en 1948 !

Les quelques réfugiés partis dans les pays arabes voisins l'ont fait sur les "conseils" des mêmes voisins arabes qui leur ont promis de vider le nouvel état de tous ses juifs !

Au début du sionisme, il n'y avait effectivement pas grand monde en "Palestine" à part quelques juifs et quelques arabes essentiellement bédouins.

La majeure partie de l'immigration arabe fut consécutive au développement économique des premiers immigrants juifs et de leurs besoins en main d'oeuvre.

Quand à ici et maintenant, le conflit Israélo-arabe peut paraître insoluble, et il l'est à mon avis.

Deux états sont possibles, puisqu'aujourd'hui il faut un état arabe de plus dans la région ! pourquoi pas ?

Mais surement pas avec le "découpage" actuel !!!!

Je reviens d'Israel, et la réalité du terrain au delà de la lecture des cartes me semble effarante. .

Je ne parlerai pas de "déportation, de déplacement de population" mais simplement de remenbrement !

Si nos paysans français ont su le faire pourquoi pas là bas ?

Car comment "gérer" deux états composés de colonies, territoires, etc. . si dangereusement imbriqués ?

Un état "palestinien" pourquoi pas, mais un seul géographiquement uni !!! Avec un mur s'il le faut. . . pour garantir la sécurité, tant il vaut mieux se séparer en cas d'incompatibilité d'humeur que de s'entretuer. . .

Une dernière chose, ou plutôt un scandale : les conditions de vie des Palestiniens. . . laissés dans la misère et abandonnés par l'autorité palestinienne malgré le manne financière venant du monde entier. . !!

Encore un dernier mot, Israel est un sacré miracle, même si certains ici savent ce que je pense des miracles. . .

Et ce pays n'est qu'émotion. .

Ancien utilisateur
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galil arrete de devaguer t a cotè de la plaque

Ancien utilisateur
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tres beau film hier sur arte (revivre) et ce soir il va probablement traiter de l'origine du conflit israelo palestinien
les episodes d'hier etaient tres emouvants : des juifs du monde entier converger vers la palestine pour fonder un etat juif ou ils pourraient vivre leur judaitee sans risque d'antisemitisme et de rejet ; certains par foi religieuse , d'autres par ideal sioniste
mais les dirigeants sionistes de l'epoque n'avaient pas suffisemment pris en compte le fait majeur : l'existence sur la terre de palestine d'une population arabe
l'origine du conflit israelo arabe vient de la et dure depuis plus de 60 ans ; le conflit a ete exarcebe par plusieurs guerres toutes remportees par israel heureusement
mais il est temps que l'on aboutisse a une solution de ce conflit et elle passera inevitablement par la creation d'un etat palestinien
le peuple palestinien a le droit d'avoir un etat vivant en paix avec israel ; cela passe par la renonciation des israeliens aux colonies et pourquoi pas que la jerusalem arabe soit administrer par les palestiniens ; la paix est a ce prix

Ancien utilisateur
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????????????????????

Ancien utilisateur
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Et toi, ca ne te derange pas de rentrer sur fw un vendredi soir , en plein shabath??? _comme ca: personne ne te contrarie!!!!!Tu as trouve la combine.BRAVO!!!!!

Ancien utilisateur
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toutes mes excuses, galil est la aussi!!!!!!!!

Ancien utilisateur
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ET , ENCORE VIVIO......QUI D'AUTRE ENCORE ? ET LE RESPECT , OU EST-IL???????

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