c'était le 4 mars, j'envoyais un mail à des amis. Et, bon, pourtant connu pour ma modération, je parviens à être pleinement d'accord avec ces déclarations.
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Quand on assassine vingt et un de nos citoyens en vingt-quatre heures, j'approuve toute opération visant à punir les Palestiniens jusqu'à ce qu'ils supplient pour un cessez-le-feu."
Les déclarations, à la radio publique israélienne, du ministre israélien de la justice, Méir Sheetrit, réputé pourtant comme un modéré du parti Likoud, reflètent bien les dispositions du gouvernement Sharon au lendemain d'un week-end particulièrement sanglant.
"Notre action va être beaucoup plus intense. Nous sommes en guerre, et les Palestiniens doivent le savoir. Quand ils voudront parler, eh bien on verra. Nous allons leur rendre la vie dure, car nous n'avons pas le choix : [les Palestiniens] tuent délibérément nos enfants et détruisent systématiquement nos familles. (...) Nous allons utiliser tous les moyens que nous jugerons bons pour mettre fin au terrorisme", a encore dit le ministre.