D'où ca vient ???

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

je me suis toujours poser la question a savoir "pourkoi la plupar des goy pense ke juif = radin ?"

parce ke a force on fini par se poser la kestion kan meme

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

parce ke à force il est fort possible ke le cul-hue disparaisse totalement des livres ....

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Parce que les Juifs (en majorité) parle pas mal d'argent

Et c'est souvent ceux qui en parle le plusss que.....

Bibou

Ancien utilisateur
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Le mec qu'à rien compris ...
Va réviser tes frites mac cain joboulot, tu dis n'importe quoi !

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Stéréotypes sociaux = dur dur a effacer...

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

A la base, au commencement, au tout début d'il était une fois , les radins c'étaient les ecossais.

Et puis un beau jour, à la faveur d'une diaspora, Samuel Barbourmanshinsky attérit à Glasgow.
Samuel était tailleur-fourreur de son état ( qui n'existait pas encore, c'était avant 1948 ). Voyant alors passer un indigène, la cornemuse sous le bras, la jupette au vent et les bollocks à l'air libre, animé d'une curiosité toute professionnelle il s'enquit ainsi :
- Mais quelle magnifique étoffe cette jupette mon ami ! Tissage traditonnel fait main, couleur grand teint, vraiment exceptionnel, dis-moi c'est combien le mètre ta camelotte ?

- Cette noble étoffe n'a pas de prix cher monsieur, c'est le symbole jupesque de ma famille, les couleurs que vous y voyez ont toutes une signication emblématique, rapport au clan des Mac Merlock auquel ma famille appartient depuis 17 générations. N'insitez pas mon brave.

- Ah, mais alors tu as un chateau dis-moi l'ami ? Et au niveau charges et impots fonciers , c'est lourd ça dis -moi ?

- Non mon cher, les impots c'est moi qui les lève. Point de contrariété sur ce point, ma famille est nantie, je vous remercie.

- Bon alors, tu n'as pas besoin de te faire de l'argent autrement, allez fais pas le chien et vends moi ton tissu, j'ai une idée de manteau imperméabilisé à l'huile qui pourrait bien plaire dans ce pays pluvieux, mais j'ai besoin d'une laine fine et chaude pour fourrer ce Mantour ( le nom n'est pas définitif ... )

- Mon tartan n'est pas à vendre je vous dis, n'insistez pas.

- Allez...

Sur ce , passe un mandiant. Samuel, tout immigrant pauvre qu'il est lache une piècette car la tsedaka c'est toute l'année et pas que quand Radio Shalom fait une spéciale. Mac Merlock, lui, ne lâche rien.

- Dis donc, Merlock, tu donnes rien bienque t'habites un castel et que tu sois nanti au point de ne pas avoir besoin de vendre ta lainasse ?...qui, maintenant que je la regarde mieux n'est pas si terrible. Fais toucher ...moui, le tissage n'est pas assez serré, et la fibre est un peu sèche, y doivent bouffer que des ronces tes moutons...Bref, tu serais pas un peu radin des fois Merlock ?

- Un sou est un sou, cet homme n'a qu'a travailler et oui, mes moutons se nourrissent de ce qu'ils trouvent sur la lande

- Moui, c'est bien ce que je dis, t'es radin. Radin jusqu'à la bêtise, mieux nourris ils te feraient une meilleure laine tes moutons, une assez chaude et fine pour mon Manbour ( nom à l'étude ...) . Allez, réflechis...

- N'insitez pas je vous dit, elle n'a pas de prix.

- Bon, tu me fais perdre mon temps Merlock...mais dis moi, ce n'est pas votre archevêque qui nous observe depuis tout à l'heure et qui vient vers nous ?
- Par saint glenfiddish ( nom usuel en ecosse ) ! Diantre, oui ! Il va me houspiller si je ne donne rien au manant qui rode...

Bien embêté, Merlock tâte alors ses poches et damned, n'y trouve que des billets. L'archevêque approchant, il se résoud la mort dans l'âme, à filer un biffeton au mandiand qui traine encore auprès d'eux.

- Mon cher Mac Merlock, quelle surprise de vous voir si généreux s'ecrie alors l'archevêque ! Voilà qui me rejouis et qui m'étonne, vous d'habitude si économe... Vous faites honneur à notre beau pays, contrairement à ce monsieur, dit-il alors posant un regard plein de mépris sur Samuel.

Empourpré de joie, de honte frôlée et de contrariété d'avoir filé un gros biffeton, Merlock se paye alors le culot de rajouer :

- Oui, je faisais justement la morale à monsieur Barbourshinsk...euh...Barbour, quoi, sur son manque de générosité ! Je crois avoir trouvé plus économe que moi cher archevêche !

Samuel n'en revenait pas de tant de grossièreté mais en même temps il s'en fichait, son pb de nom de manteau sur lequel il se cassait la tête depuis des semaines venait d'être résolu par ce rustre. Aussi prit-il l'offense avec philosophie.
- C'est vrai, disons que je suis plus radin que Merlock si ça vous fait plaisir. Bon, je vous laisse, je dois aller acheter de l'huile.

Et Samuel s'en alla en ajoutant :
- Ah, et si je puis me permettre, on n'est pas des sauvages, tu pourrais porter un caleçon molletonné en dessous, quand même gros dégueulasse !

Voilà, l'affaire était faite : ce dimanche à la paroisse on ne parla que de ça : qu'est-ce qui sont radins ces juifs, plus radins que nous, c'est dire ! Le bruit se colleporta ainsi de génération en génération.
Et maintenant quand un descendant Mac Merlock veut s'acheter un Barbour, il peut se brosser et attendre les soldes pour avoir une ristourne.

En espérant vous avoir éclairés.
Bien le bonjour.

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

c purement et simplement de la jalousie .

armagedon t mignonne , t'as de beaux yeux ; )

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Moi je vais vous raconter la véritable histoire que je tiens de la grand mère de la grand mère de la grand mère de ma grand mère. (Hé oui, les grands mères ne se transmettent pas que des recettes !)
Tout se passait en l’an de grâce (et pas de graisse, ni de Grèce) 1555, en Italie, dans la Région des Pouilles (Puglia in Italiano). A cette époque dans cette région, tout se passait bien entre les religions et les différents peuples, à l’époque ou en Espagne on chassait les juifs, en Italie tout se passait bien.
Une personne dont je suis le descendant qui s’appellait Giovanni, qui était au passage un très bon cuisnier novateur et qui un jour en ratant un panino où il avait oublié de mettre de la levure a crée une pate bizarre, il a ajouté de la tomate sur le dessus avec un peu de basilic, il a appellé cela Pizza (Peut être en hommage à la tour de Pise qui était encore droite à cette époque), il avait un de ses meilleurs amis qui s’appellait Francesco qui vivait avec sa femme magnifique prénommée Giulia.
Giovanni était fou amoureux de Giulia mais Francesco aussi, mais le sort a voulu que ce soit Francesco qui emporte la belle et l’épouse. Le mariage était magnifique, 250 personnes, un orchestre génial avec son chanteur Enrico Macciaso très bon à la cithare, la trattoria était magnifique, pasta à volonté, Giovanni avait même reussi a refourguer sa Pizza pour quelques Lires. La céremonie religieuse à la synagogue était encore plus belle, la robe de marriée superbe, les mères des deux époux s’entendaient magnifiquement bien.
Malheusement il y eut une fausse note lors de ce mariage, Dino le cousin de Giulia, devait apporter les alliances à la Cérémonie. Mais le problème c’est qu’il les a oubliées (enfin c’est ce qu’il a dit), le mariage a failli être annulé à cause de cela.
Tout le monde en a voulu au pauvre Dino, Dino par ci, Dino par là. Une rumeur disait même qu’en fait, il avait gardé les deux bagues pour lui pour pouvoir les vendre au marché des pouilles (ou on se faisait souvent dépouiller, un peu comme aux puces de Clignancourt), après quand Dino se promenait dans le village, Francesco le vit et lui dit : « Che cazzo hai fatto avec les alliances ! Tou te rends pas compte ! Sé la honte sulla famiglia » (imaginer un accent italien)
Dino répondit : « Ma qué, yé né rien fait ! Yé té joure ! Mais yé né pas de oiture ! » (il ne savait pas pourquoi il avait dit cette derniere phrase)
Francesco lui dit alors : « Dino ! Dino ! Espèce dé … dé … Rah Dino ! Yé sé pas quoi té dire tellement yé souis énérvé contré toi !
Par la suite, toutes les personnes qui voyaient Dino dans les rues du village de la région des Pouilles, lui disaient desespérés : Rah Dino ! Rah Dino par ci, Rah Dino par là.
Les années passèrent et Dino avait déménagé à Florence, il ne supportait plus de se faire apostropher dans son village, mais le mot crée à partir de son prénom a perduré, de Rah Dino, nous étions passés à Radino, puis le mot a traversé les frontières transalpines pour se transformer en « radin ».
Franscesco et Giulia euret bcp d’enfants et leurs descendances futures donneront naissance à pléthore d’enfants dont un s’appellera Roberto Baggio.
Giovanni quant à lui s’est marié mais bien plus tard avec une dénomée Raschella Corleone qui était née sur un Ile pas loin de l’Italie, cette ile s’appellait la Sicillia. Ils eurent aussi bcp d’enfants et de petis enfants, ma mère fait partie de cette descendence.

Malheureusement, nous n’avons jamais su ce que notre cher ami Dino avait fait des bagues des 2 mariés, peut être ne le sauront nous jamais …

Voilà ! Pas mal, non ?

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Pour le concours d'histoires à lire avec une tenaille pour la machoire, je vote GoYave et Garry, hec zeko.

Me suis pissée dessus pour la troisième fois, j'enchaine les machines à laver plus vite que les tequila paf, et je ne pourrais jamais avoir d'enfants et de culottes propres parce que mon périnée n'est plus en état de marche.

Merci les amis, vraiment, merci !!

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Merci a tous pour ces eclairsissements (jsé pa si ca sdi !)

Ah quand la priochaine histoire ?

lol

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