Un enfant sur deux privé de l'essentiel

Ancien utilisateur
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simple petite mise au point pour les amis Canalo, turco, kaubi , Mjj :

je suis polie et respectueuse dans ce forum. Relisez tous mes posts un à un depuis le début que j'interviens ici. Je ne cherche pas les prises de têtes.

J'ai plusieurs amis et amis ici ( consulter seulement ma liste d'amis sur ma fiche ). A Paris et a NY, lors de mes séjours à l'étranger, je fréquente aussi des personnes juives sympas et j'ai eu l'occasion de rencontrer des gens vraiment charmants et gentils.

alors désolé d'être suspecte pour vos sous-entendus, allusions humoristiques et vos gènes ....

Ancien utilisateur
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On remarque que la paix améliore bien des choses... Or, le meilleur garant de la paix, c'est une véritable démocratie parlementaire (deux démocratie ne se font pas la guerre. Quand il y a une dictature, ça devient tout de suite plus dur) En fait, en résumant (beaucoup) : dictature donne (souvent) guerre, guerre donne pauvreté générale, pauvreté générale donne carnage chez les personnes fragiles (enfants et personnes agés). Notez qu'on n'est pas obligé de passer par la case guerre (mais que ça arrange quand même) et que la case dictature peut être remplacé par corruption généralisé.

Vous allez me dire, et le Sida ? Certes, c'est un facteur, mais à mon avis, si la Pape voulait bien avouer l'évidence (vive les préservatifs !), ça arrangerait pas mal les choses dans les pays très catholiques...

Ancien utilisateur
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" j'ai eu l'occasion de rencontrer des gens vraiment charmants et gentils" ou ça ? Je reverai d'en rencontrer ..

Ancien utilisateur
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Canalo, ta réflexion est vraiment au top de la stupidité, félicitations.

Souad c'est vrai qu'on ne peut pas grand'chose pour les enfants qui sont loin. Pour ma part je réagis à la souffraance des enfants dans le monde en choyant les miens et en veillant à ce qu'ils ne manquent de rien... C'est un peu égoïste, mais c'est mieux que d'en faire des malheureux de plus.

En france les enfants ne manquent pas souvent de matériel, repas ou vêtements, il y a une solidarité dans ce domaine envers les plus démunis, cependant il y a beaucoup de foyers destructurés qui mettent à mal les repères familiaux des enfants, ou des parents maltraitants etc...

Les besoins psychologiques ne font pas partie de l'essentiel pour survivre, mais pour fonder un société heureuse ils sont fondamentaux.

Ancien utilisateur
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Souad

Je te connais kan meme un peu pour savoir que tu ne nous portes pas de mauvaises intentions

C'est juste que tes questions sont posées maladroitement...

Je te cite: "Vous sentez vous interpeler ou indifférents ?"

Quelle personne (de ce forum) te dira qu'elle est indifferente à la souffrance d'enfants?

La question telle que tu l'a posée est deja accusatrice...

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Euh…. Petite précision… Souad, je suis ravie qu’on puisse discuter mais lorsque je parlais de mal nommer les choses et d’ajouter à la souffrance du monde je parlais de désinformation ( les enfants en difficulté que je peux rencontrer ça me tiens à cœur mais c’est un autre sujet , les 2 apparaissant dans le même post tu auras fait le raccourci ???). C’est bien le raccourci qui me gène, je m’explique:

Qd tu dis « Vous sentez vous interpellés ou indifférents ? Est- ce pour vous de la désinformation de gauchos » par ta formulation tu mets sur le même plan la « désinformation » et l’indifférence (en regard du rapport de l’UNICEF). Ainsi (toujours selon ta formulation) si l’on dénonce, ou stigmatise la désinformation on tombe dans la catégorie du monstre indifférent. Ce qui revient à interdire moralement une telle condamnation.

Or, on peut être touchés infiniment par la souffrance des autres quels qu’ils soient ET être parfaitement lucide face à une certaine presse qui (je le répète) s’est emparée du discours anti-raciste pour l’utiliser à son escient et participe à l’abrutissement des masses.
Bien à toi
Lior

Ancien utilisateur
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Lior

je te parlerai aussi de prostitution ? es ce mal nommer les choses ?

Certaines familles africaines vivant dans les pays européens prostituent à leur domicile des enfants qu’ils ont fait venir d’Afrique. Des enfants de leurs proches, bernés par des proxénètes qui promettaient monts et merveilles pour leur progéniture. Les trafiquants sont de facto protégés par le silence des enfants, qui n’osent pas parler...

tu connais probablement ?


C’est leur propre famille qui a fait d’elles des esclaves sexuelles. Des tantes africaines, installées en france, ont abusé de la crédulité de parents restés au pays pour livrer leurs fillettes à la prostitution. Rien à voir avec la perspective d’une vie meilleure que leurs proxénètes font miroiter. Pour garder le silence des petites victimes, pas besoin de l’acheter. La promesse d’un mauvais sort mystique religieux en cas de dénonciation est largement suffisante. Du coup, même lorsque certaines filles en grandissant se rebellent et s’enfuient, elles ne dénoncent jamais personne, de peur des conséquences de déportation.

Qui pourrait se douter qu’une personne de son propre sang pourrait ainsi trahir les siens et même les détruire ?

C’est souvent fort de cette conviction que des tantes, qui disent avoir réussi dans les pays européens, se transforment en marchandes de rêves.

« Envoies-moi ta fille, je l’enverrai à l’école et elle aura une bonne éducation »
ou encore
« Je lui trouverai un bon travail »,

Des phrases classiques, mais efficaces. Surtout sur des géniteurs anxieux d’offrir un avenir meilleur à leur progéniture. Rien à voir avec quelques couples, qui savent pertinemment à quoi seront exposés leur chair.


Les enfants seront attendus avec de faux papiers à l’aéroport, dans la plupart des cas, « par une tante ou un oncle qui se disent tuteurs légaux, mais qui souvent résident eux-mêmes illégalement sur le territoire français », commente Carole Bartolli, coordinatrice des programmes dans l’antenne française de l’Ecpat, une association combattant la prostitution et la pornographie enfantine ainsi que le trafic d’enfants à des fins sexuelles.

Autre tactique de « recrutement » découverte il y a seulement quelques mois : les femmes qui viennent se servir directement sur le continent africain. Ainsi, de France, « certaines se rendent en Afrique et adoptent plusieurs enfants de la famille d’abord, puis des voisins et ainsi de suite. Le tout avec la complicité de certaines personnes en poste dans les administrations locales africaines qui établissent même, contre de l’argent, de faux actes de naissances. Ensuite,''les bonnes bigotes'' retournent où elles vivent et font venir leurs ‘enfants’ en France sous le coup du regroupement familial.


Les enfants sont très jeunes, certains sont à peine âgés de six ans. Filles et garçons restent cloîtrés dans le domicile du proxénète. L’école est l’apanage de ceux qui ont des papiers en règle. Dans ce cas, ils vont en cours la journée et sont prostitués le soir. Pour ceux qui sont clandestins, les sorties leur sont quasiment interdites, par peur d’un contrôle de police. A l’intérieur des murs, l’enfant n’existe plus et devient un pur objet sexuel.

Pendant la journée, les filles font office de bonne à tout faire et sont prostituées le soir. Le week-end, c’est souvent toute la journée que les clients y défilent. '' Sur rendez-vous'', par abonnement ou encore après avoir répondu à une petite annonce. Dans la moitié des cas, tout est organisé par des mères de familles monoparentales qui s’acquittent de leur tâche comme de véritables chefs d’entreprise. Elles établissent une fichiers et épluchent les annonces dans les journaux pour avoir des clients. Pour les attirer, certaines organisent même des soirées privées où elles passent les vidéos des enfants abusés


La demi-heure coûte aux alentours de 60 euros. Pour les soirées un peu plus longues la fourchette peut varier entre 100 et 500 euros », explique une travailleuse sociale. Ces pédophiles sont en général africains, mais aussi blancs et chinois. Ces derniers paient très très cher pour pouvoir coucher avec une vierge. Dans la culture asiatique, cet acte confère prospérité et longévité. Il y a de plus en plus de demandeurs. Une Ivoirienne, il y a déjà plusieurs années, a d’ailleurs vendu la virginité de sa fille pour environ 6 100 euros à un Chinois , confie la présidente de la Commission de l’information et de la formation de Aide Fédération. Les garçons, souvent arrivés en France après avoir été ramassés dans les rues d’Afrique, sont la plupart du temps loués. Les pédophiles les emmènent hors du lieux familial pour s’adonner à leurs pratiques. D’autres sont vendus dès leur arrivée à des proxénètes , poursuit-elle.

Les pratiques des uns et des autres varient, mais souvent le préservatif est banni. Avec le risque d’infecter les enfants avec le virus du VIH/sida.


Il est quasiment impossible d’échapper à cette spirale infernale. « Les proxénètes agitent la menace de la sorcellerie pour tenir leurs victimes et les empêcher de parler. Ils prennent un cheveu ou un ongle de l’enfant et organisent une cérémonie, souvent fausse, pour le terroriser. Ils lui disent des choses horribles, comme le fait que s’il parle, lui ou un membre de sa famille mourra », souligne la travailleuse sociale, qui précise qu’en général les voisins sont au courant du trafic mais ne disent rien.

La pression mentale exercée sur les victimes est très forte et elles savent que si elles sont renvoyées au pays, elles décevront leur famille. Une perspective à laquelle elles se refusent. Une autre forme de pression consiste à les faire culpabiliser, les trafiquants leur rappelant les sacrifices financiers qu’ils ont fait pour les faire venir. Et qu’il faut les rembourser, ce qui peut mettre plusieurs années. Ou encore de leur dire que les hommes qui passent sont des maris potentiels et qu’il faut être gentille avec eux et que l’argent collecté sera stocké sur un compte spécialement ouvert pour elles. Mais avec l’âge, les jeunes filles réalisent la vérité et se rebellent. Elles réclament leur argent et, ne voyant rien venir et ne supportant plus cette vie, s’enfuient. S’extraire de cet environnement malsain demande beaucoup de courage. Car une fois dans la rue, les problèmes sont loin d’être finis. Deux cas de figures majeurs sont possibles. Dans le pire des cas, ne sachant ou ne trouvant nulle part où aller, elles peuvent tomber de nouveau dans un réseau de prostitution. Les plus chanceuses trouveront de l’aide auprès des associations qui pourra leur permettre de trouver un foyer d'accueil où vivre.

Mais pas question de se tourner vers la police, de porter plainte. La spectre de la sorcellerie trône dans les esprits des victimes et scellent leurs lèvres. Ce qui rend quasiment inefficace la présentation de rapports médicaux et de témoignages comme preuve d’exploitation sexuelle. Aussi criants soient-ils. Autant de facteurs qui rendent très difficile l’obtention d’informations claires et des statistiques sur ce trafic que beaucoup d’association de protection de l’enfance qualifient d’« opaque ». Ainsi, ce sont les quelques rares témoignages de victimes qui permettent de recueillir des filets d’éléments sur ces filières. Tellement opaque que même certains services de police disent n’avoir jamais entendu parler du problème. A la Brigade des mineurs de Paris, un membre qui travaille depuis plusieurs années dans la structure affirme que la « prostitution des Africains ne concerne que les majeurs et pas les enfants ». Pas étonnant pour Carole Bartolli, qui explique qu’il est « très difficile de faire reconnaître ce genre de pratique aux forces de police française, qui tendent à nier les faits. Il n’y a d’ailleurs que quelques années que le pays reconnaît l’existence de la prostitution des mineurs, mais c’est encore très tabou ».

Au cœur de ce sombre trafic sexuel, l’argent bien sûr. Mais parfois, il s’agit juste d’avoir un peu plus de confort. C’est notamment le cas des familles africaines qui prostituent leurs propres enfants, parfois sous pression de l’entourage, pour « arrondir les fins de mois et assurer les besoins vitaux quand la famille n’a que peu de ressources. Mais dans certains cas, des familles vendent le corps de leur enfant juste dans le but d’acquérir des biens matériels », commente coordinatrice des programmes dans l’antenne française de l’Ecpat. Aucune famille n’aurait pour l’instant été arrêtée pour avoir prostitué son enfant ou celui de proches. Mais d’aucuns assurent que certaines cellules familiales sont dans le collimateurs des services sociaux.

tu dois être informée toi qui affirme travailler en enfance ?

Bien à toi

Souad

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

En quoi ton post est-il une réponse? Je ne vois pas le rapport entre les mises en scènes, le détournement d’images auxquels certains journalistes se livrent et l’esclavage sexuel. Dénoncer l’un n’est pas nier l’autre. En fait tu utilises le même procédé : je te parles désinfo, tu me réponds prostitution infantile* (Pour éluder la question ?) Je ne vois pas en quoi les faits dont tu parles effacent la réalité de la désinformation (ou inversement)? Ils ne s'annulent pas l'un l'autre d'ailleurs.
Tu deviens agressive, pourquoi? Qu’est- ce qui te dérange telllllement Souad ? (Tu veux voir mon contrat de travail ?)


*Tu sais on pourrait parler des enfants des pays des l'Est ou des toxicomanes qui "vendent" leurs mômes c'est dramatique
Mais on pourrait dire aussi que la détresse infantile c'est pas uniquement le manque matériel on en trouve dans « les familles bien tranquilles », là où il y a de l'argent.
Au fait pour finir sur un point positif il arrive parfois que ces enfants dont on parle s’élèvent bien au-delà des statistiques qui les ont classés « défavorisés, handicapés ect… » mais ça c’est pas la victoire de l’équipe pédagogique c’est la leur !
Bien à toi
Lior

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