J'ai retrouvé cet article. A lire, très interressant !!!

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Je viens de retrouver cet article que j'avais égaré... très interressant !!!

Le mensonge pan Arabe ?
 

Que dire du numéro de décembre de Sciences & Avenir « a qui appartient Jérusalem ? » ?
On apprend que la nation Palestinienne n’est pas née comme on veut le faire croire de « l’arrivée » des juifs à la création de l’état hébreux.

Naissance d'une nation

Les exodes arabes de 1948, mais surtout de 1967, engendrent une identité palestinienne à part entière, reconnue par Israël en 1991.
 
Dans quel but ?
Celui du « pêché originel » : la création même de l’état hébreux. C’est l’obsession des nations arabes. Tout ce qui pourra redonner fierté au peuple arabe est bon a prendre.
Dans les discours des Nasser, Kadhafi, Hafez El Assad, le but ultime est de repousser « les juifs à la mer ».
Bien plus, l’OLP est une création non pas des palestiniens mais des nations arabes qui, après leurs défaites militaires successives vont « instrumentaliser » leurs échecs par des actions « civiles » non imputables à un état. Une attitude « à la soviétique » très en vogue dans le harcèlement de l’occident.
L'OLP (Organisation de libération de la Palestine) est créée par les pays arabes en 1964 et s'affranchit de leur tutelle en 1968, avec l'arrivée de Yasser Arafat à sa tête.
Le nationalisme palestinien, instrumentalisé par les pays arabes jusqu'à la fin des années 70, obtient ses lettres de noblesse durant l'Intifada en 1989.
 
La victoire israélienne de 67 permet la réunification de Jérusalem. Le religieux étant l’arme favorite des Arabes (jihad ou guerre sainte contre l’infidèle), revendiquer Jérusalem c’est forcer les nation arabes « molles » envers Israël de s’engager au nom de la foi.
La toute nouvelle domination juive permet également aux Arabes palestiniens de recentrer leur lutte. « La première charte nationale palestinienne de 1964 ne revendique pas Jérusalem comme capitale de la Palestine. La ville est alors sous souveraineté musulmane... En 1968, date de la révision de la charte palestinienne, tel n'est plus le cas Jérusalem redevient une revendication »l.
Jérusalem ville arabe, conquise en 48 puis en 67 par les méchants israéliens, est aussi un mensonge bien ancrée dans l’opinion publique française or…
Les Juifs disposent de la majorité relative a Jérusalem depuis 1844 et de la majorité absolue depuis 1896. Quand a la population Chrétienne, elle n'a cessé de décroître depuis 1944.

Source "Myths and Fact in the Middle East"

POPULATION A JERUSALEM



En 1844
7 120 Juifs
5 000 Musulmans
3 990 Chrétien


En 1896
28 112 Juifs
8 560 Musulmans
8 749 Chrétiens


En 1922
33 917 Juifs
13 413 Musulmans
14 699 Chrétiens


En 1944
100 000 Juifs
40 000 Musulmans
25 000 Chrétiens


En 1967
195 700 Juifs
54 963 Musulmans
12 646 Chrétiens


En 1975
250 000 Juifs
85 000 Musulmans
15 000 Chrétiens


En 1996
405 000 Juifs
150 000 Musulmans
12 000 Chrétiens

 
A la veille de la Première Guerre mondiale, Jérusalem s'est considérablement étendue :
45 000 juifs cohabitent avec 16 000 chrétiens et 11 000 musulmans. Le nombre des chrétiens a dépassé celui des musulmans à partir de 1890 grâce à la venue massive de différentes congrégations millénaristes, allemandes et américaines.
 
« Plus la ficèle est grosse, plus elle est crédible » disait Goering le gourou de la propagande hitlérienne. Les dirigeants Arabes ne vont pas hésiter au plaisir d’y céder.
Ils ont été pro nazi (le grand mufti de Jérusalem sera « l’ami personnel » d’Hitler), puis pro soviétique par goût d’un totalitarisme toujours en vogue et parce que dans les deux cas les juifs ont servi de repoussoir.
Le mandat britannique sur la région suite à la première guerre mondiale et la chute de l’empire ottoman (allié des allemands) n’arrange rien. L’idéal humaniste-socialiste des sionistes ne plait ni aux anglais (l’Europe est alors profondément colonialiste) ni aux dictateurs arabes voyant d’un sale œil les paysans juifs et arabes sortir de la condition humaine misérable dans laquelle ils sont contenus.
Regardez de nos jours le niveau de pauvreté et d’insalubrité des nations arabes pourtant détentrices d’immenses richesses pétrolières.
A force de ménager la chèvre et le chou, les Britanniques s'empêtrent dans une politique de plus en plus mal vécue aussi bien par les Juifs que par les Arabes. La frustration de ces derniers les conduit, en 1929, à perpétrer un terrible pogrome contre les antiques communautés (juives)  de Safed et d'Hébron. Les sionistes y perdent leurs dernières illusions. Au rêve de convaincre les Arabes de l'avantage économique du sionisme succède un pragmatisme défensif. Le Conseil exécutif sioniste adopte alors la ligne politique des « durs », des héritiers de Zeev Jabotinski. Les deux principales milices juives, la Haganah et l'Irgoun, unissent leurs forces lors de la grande révolte arabe de 1936.
Après trois ans de guérilla, les Anglais durcissent le ton contre le Yishouv et prennent une décision lourde de conséquences.
Pour éviter que les nationalistes arabes ne s'allient aux nazis, presque en vain, et à leur demande, ils éditent un « livre blanc » interdisant presque toute immigration juive en Palestine.
Pour les juifs, c'est la pire des injustices: la Shoah s'annonce déjà mais la route de Sion, seul refuge susceptible de les accueillir en nombre, leur est dorénavant fermée...
 
L’église, violemment anti-juive (voir le journal « la croix »), tactiquement se rapproche des dignitaires arabes. En proclamant Jérusalem « ville sainte des 3 religions » elle cherche à nier tout droit d’Israël sur leur capitale historique et religieuse.
Ces chrétiens des trois premiers siècles ne manifestent pas d'intérêt pour des lieux particuliers. « L'évangile de Jean avait donné le ton, analyse Jacques Maraval. Ce n'est pas à Jérusalem, le lieu saint des juifs, que l'on doit adorer Dieu... mais "en esprit et en vérité". »
Avant le IVe siècle, rares sont les lieux bibliques identifiés et rares sont leurs visiteurs. Le royaume de Dieu n'est plus rattaché à la Palestine « mais promis au monde entier » selon Eusèbe, évêque de Césarée en Palestine (fin du IIIe siècle) qui décrète Jérusalem vide de toute signification théologique. Déchue depuis la mise à mort du Christ, elle est identifiée au judaïsme dont les théologiens cherchent à démarquer le christianisme.
 
Palestine, d’ou vient ce nom ?
En 66 commence la Guerre des Juifs et l'un des moments les plus tragiques de l'histoire d'Israël. Rome est tenue en échec pendant quatre ans. Elle y perd tout une légion. Moyennant d'importants renforts, Titus, le fils de Vespasien, parvient néanmoins à assiéger Jérusalem en 70. Les insurgés retranchés dans le Temple refusent la paix honteuse qui leur est proposée. Les Romains incendient le sanctuaire et le détruisent pierre après pierre.
Malgré ce traumatisme et la chute définitive du clergé, les Juifs ne renoncent pas à libérer Jérusalem. En 132, Bar Kokhba relève le défi. Il sera le dernier résistant à mourir pour Jérusalem avant le XXe siècle. Cette fois, les Juifs sont expulsés de leur ville sainte. « La cité est rebaptisée Colonia Aelia Capitolina. Des légionnaires romains s'y installent, explique l'archéologue Emmanuelle Main. La Judée, la Samarie et la Galilée sont rayées de la carte et renommées Palestine, du nom de la région côtière des Philistins. »
Des Juifs reviendront pourtant, et très rapidement. La petite communauté de Jérusalem se maintiendra à travers les siècles. Mais il faudra attendre très exactement 1832 ans pour qu'enfin tous les Juifs du monde puissent tenir ce pari: « L'an prochain à Jérusalem ! »
 
Que représente Jérusalem pour les musulmans ?
Il y a en fait  une reprise des acquis hébraïques  allant jusqu’à " l'usurpation " (terme employé par les Hedjaz). Le royaume de Damas charge un Juif converti à l'Islam de traduire mot a mot les textes hébraïques pour en faire de nouveaux symboles Islamique (religion prosélytiste rappelons le) sous le nom de Fadaïl al-Qods.
·1 · Al-Qods renvoie à l'expression hébraïque Ir ha Qodesh (la Ville de la sainteté), que les juifs pieux emploient de façon routinière quand ils invoquent Jérusalem ;
·2 · et Bayt al-Maqdis n'est que la traduction littérale de Beith ha Mikdash (" la Maison du sanctuaire "), le terme qui s'applique au temple.
Si Abraham est une figure emblématique pour les trois confessions religieuses, c'est parce qu'il est le premier monothéiste. Selon la tradition, le patriarche serait venu d'Ur-Kasdim à la tête d'une tribu nomade. Ses pérégrinations le conduisent ensuite dans le pays de Canaan, à une époque que les textes situent entre 2000 et 1750 av. J.-C.
Or, au VIIe siècle, dans son texte fondateur, le Coran, l’islam reprend à son compte l’héritage prophétique hébraïque et certains éléments du christianisme. Il se présente comme un mouvement réformateur, appelé à rétablir l'idéal monothéiste supposé perverti par les juifs et les chrétiens, comme la forme ultime et parfaite du retour à la foi d'Abraham. Pour légitimer ce rôle dévolu aux Arabes, le Coran revendique Abraham comme père fondateur. Et substitue à Isaac, son second fils, ancêtre des juifs, Ismaël, son aîné, l'ancêtre biblique des Arabes.
L'expansion de l'Islam hors des frontières de l'Arabie débute dès la mort du prophète Mahomet, en 632 de notre ère. Une politique de conquête qui s'effectue tambour battant, car elle est conduite au nom de la foi. Deux ans à peine après avoir défait les Byzantins à Yarmouk, près du Jourdain, le calife Omar ibn al-Khattab, prince des Croyants, entre dans Jérusalem sans même livrer bataille. En cette année 638, la bourgade habitée essentiellement par des chrétiens et des juifs soumis au joug de Byzance reçoit les conquérants en libérateurs.
C'est avec Omar que l'Islam s'impose pour la première fois dans Jérusalem. On raconte qu'à peine arrivé dans la ville, le calife se fait conduire sur l'esplanade du Temple, le Haram el-Cherif. Il souhaite prier à l'endroit où se trouve le « rocher sacrificiel d'Abraham», où le patriarche commun aux trois religions monothéistes faillit immoler son jeune fils Isaac. Un fils, dont le demi-frère Ismaël, né d'une première union, est présenté tant par la Bible que par le Coran, comme l'ancêtre des Arabes.
Ce lieu de sacrifice est d'autant plus sacré, qu'il est le théâtre des visions du Prophète. C'est sur ce mont du Temple que se déroulent deux mystères sacrés relatés par un verset assez énigmatique du Coran (sourate XVII, 1) : l'Isra, voyage miraculeux qui transporte Mahomet en une nuit de La Mecque à Jérusalem, et le Mi'raj, son ascension extatique vers le ciel sur le cheval ailé al-Buraq. C’est lors de cette équipée céleste que, selon la tradition, Mahomet marque de son empreinte le rocher d'Abraham, avant de s'envoler vers un ciel constellé où Allah lui révèle la loi coranique.
Sur ce même « Rocher du sacrifice » est érigé en 691, sous le calife Omeyyade Abd al-Malik (685-705), le premier monument architectural de l'Islam: le Dôme du Rocher - la mosquée d'Omar - et sa célèbre coupole étincelante Qubbat as-Sakhra. Le monument est construit sur l'emplacement du lieu saint juif détruit par les Romains cinq siècles auparavant: le temple de Salomon et d'Hérode, dont ne subsiste que le mur occidental, dit des Lamentations.
 
Conclusions ?
Je viens de relire l’énorme numéro de la « Revue des Temps Modernes » de Jean Paul Sartre. Le numéro quelque peu défraîchi date de 1967 juste après la guerre des 6 jours.
Tout le problème actuel est résumé dedans.
Avec des intellectuels doctrinaires (URSS oblige) du coté arabe, des intellectuels coté juifs plutôt conformes à ce que l’on attend d’un intellectuel. Certes, admiration pour l’état hébreux mais lucidité quant aux problèmes que le fanatisme engendrera.
Coté Arabe, la négation « du soit disant état juif », la haine envers l’occident (les nazis perdant la guerre, les arabes prennent pour « leur » punition l’installation d’Israël…).
Ils déclarent Israël comme un fait colonialiste imposé par l’occident, essayant ainsi de récupérer le monde communiste « anticolonialiste ».
Des journalistes intellectuels arabes vont même (puisque que leurs gouvernements nient l'existence de l'état hébreux) jusqu'à refuser de dialoguer avec des journalistes israéliens. Lors d'émissions célèbres d'Armand Jamot "les dossiers de l'écran" ils exigent d'être dans un studio à part, entendent les arguments israéliens tout en exigeant que le journaliste français les réitèrent pour daigner y répondre.
Encore une attitude toute soviétique.
Le problème des intellectuels arabes c'est appartenance à des nations dictatoriales sans révoltes critiques comme ils y en a parfois chez les intellectuels algériens.
Le conflit Israélo-Arabe est pourri parce qu'il repose sur une imposture de base que tout le monde a fini par gober : les israéliens en tête.
 
Les israéliens n'ont qu'un seul lieu saint : Jérusalem.
Cette religion millénaire ayant engendré les 2 autres cultes, n'a eu qu'une seule prière : "l'an prochain à Jérusalem" et ce depuis 2000 ans.
Ne serait-il pas temps de les laisser souffler un peu ?

L'islam ne revendiquant ce qu'elle s'est approprié sur le dos de la religion hébraïque…
Beaucoup plus tard, le même souci de légitimité religieuse s'est emparé d'un islam en formation. Même histoire au même endroit, à ceci près que les Arabes ont remplacé Isaac par son demi-frère aîné, Ismaël, leur ancêtre d'après la Bible.
…peut faire l'effort de générosité d'accepter que les juifs jouissent d'une ville unifiée symbole unique de leurs croyance.
L'islam possède d'autres lieux tout acquis à son culte (Jérusalem n'est que le 3ème lieu saint del'Islam). Et suffisamment de noblesse pour comprendre et de générosité pour admettre.
Admettre quoi ?
Que la fierté est parfois un sentiment qui, exacerbé, devient nuisible à tous.
"Comme à l'époque de Saladin, Jérusalem est instrumentalisée par les Arabes qui ne tolèrent pas qu'alQods soit revendiquée par des infidèles ", explique Frédéric Encel. Dès 1918, une série d'incidents antijuifs émaillent la fête musulmane de Nabi Mousa.
 
Qu' Israël en la personne de son premier ministre déclarant "al-Qods" Jérusalem s'engage à respecter les lieux saints musulmans ce qui n'était pas le cas pour les lieux juifs durant la domination Jordanienne.
Lorsque, en juin 1967, Israël déclenche la guerre des Six-Jours et conquiert Jérusalem-Est, c'est une ville figée et appauvrie qu'il découvre de l'autre côté de la ligne verte.
La Jordanie n'avait fait qu'entretenir les lieux saints musulmans, privilégiant en fait Amman, sa capitale. " Un véritable élan mystique s'empare alors d'Israël, toutes tendances politiques confondues, remarque Frédéric Encel.




Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Merci pour cet article.

Le probleme c'est que la plupart des Juifs sont au courant du statut particulier de Jerusalem.

Quant aux musulmans ou sympathisant palestiniens, il te diront que cet article est de la propagande juive...

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

"chuuut" t ouuuuuuuf ! tu crois qu'on peut lire tes looooooooongs posts "comme ca" ?

Essaie de resumer un peu les idees STP !!! J'adooore lire mais c franchement desagreable de le faire quand c'est aussi long et presenté de telle façon...


AI PITIE DE NOUS lol

en esperant que tu prendras ma demande avec considération...

Bisous !!


Tsipi.

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Je ne crois pas qu'Israel aujourd'hui a gagné quoique ce soit en ayant pris hier Jerusalem Est où se trouve un grands nombres d'arabes qui ne payent pas leurs impots mais qui bénéficient des allocations familiales israeliennes.

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

MJJ, je suis tout à fait d'accord avec toi!! SEPH03, comme l'a remarqué FORTUNE dans un autre forum, mes bonnes vieillent habitudes reprennent le dessus. Et ma chère FORTUNE (t'as vu hein, j'ai mis chère que devant toi LOOOOOOOL!!!), je n'ai qu'une chose à te dire: TU AS RAISON!!! ;)

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Ha oui, SEPH03: à l'époque, tout le monde me demandait de résumer mes idées. mais le problème, c'est que je ne sais pas faire de résumé LOL ;)

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Baroukh Ata Yéroushalaim!
Yéroushalaim est à nous et pas aux arabes, on leur donne rien.

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Yokhymaim

Tu sais, comme je l'ai déjà écris sur plusieurs posts, il faut que chacun de nous essaye d'ouvrir un peu plus son esprit, essaye seulement de comprendre le pourquoi du comment, mais sans te convaincre, je vais essayer de t'expliquer quelque chose.

Tu as un gateau que tu gardes jalousement pour plus tard, et ton fils de deux ans pleure pour avoir un morceau de ce gateau, mais il pleure tellement que si tu ne lui donnes pas il risque de faire une apoplexie, oui ?

Pour le calmer et surtout pour avoir "la paix" tu lui donnes un bout de ce délicieux gateau.

Tu ne veux pas que l'on donne Jérusalem Est, soit !
Mais t'es-tu balader la-bas ?
Veux tu y vivre aujourd'hui, parmi tous ces arabes ?
J'en doute...

Pour nous Israëliens je ne vois pas ce que cela peut changer que l'on donne Jérusalem Est aux arabes, si cela nous permet d'avoir la paix, alors pourquoi pas ?

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Fortunée, tu oublies un détail. Lorsque "on" parle de jerusalem est, ca inclut la vieille ville. Et si on s'en fout un peu de la partie arabe de la nouvelle ville, la vieille ville, on y tient tous (enfin je crois)...

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