Sharon est devenu fou!!!!!!!!!!!!

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Maintenant que le plan de déportation des habitants de 'Aza a été voté avec la condition qu'il n'entre en oeuvre qu'a partir de juillet 2005, maintenant qu'il a été voté, la démocratie de Sharon, a décidé d'avancer cette date à Aout 2004 c'est à dire dans deux mois.
Il a menti pour obtenir l'approbation de son gouvernement. Tsahal est en train de former 2000 soldats à 400% laics qui ne refuseront pas la mission d'aller déporter leurs frères Juifs.

Sharon a péter un cable, c'est devenu un coco-gaucho.

Ancien utilisateur
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Yokhymaim

Qu'est ce que ca change ? Que tu pousses ton coup de gueule en 2004 ou 2005 ?

Moi j'ai confiance en Sharon, il n'oublie pas que son coeur est entre le Betar, le Herout et aujourd'hui le Likoud, mais sa raison lui force a adopter une position plus centriste ...

Je sais qu'il en connait plus que nous tous sur Israel et nos voisins palestiniens, et que si il fait ca, c'est pour le bien d'Israel.

Je prie pour qu'il soit reconduit au poste de premier ministre, car j'ai peur, peur pour l'avenir d'Israel, car je ne veux pas d'un Netanyahu de droite, d'un Perez ou Mitzna de gauche, ni d'un d'extreme droite, ni d'un d'extreme gauche.
Aujourd'hui, personne n'a les epaules de Sharon.
Lui seul peut etre 1er ministre d'Israel.

Ancien utilisateur
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la première date d'évacuation était le 9 av, donc déjà ce n'était pas une bonne date, aujourd'hui si il a changé la date et là tu n'es pas honnête de ne pas écrire toute l'information voilà sur arutz7 ce que tu pouvais lire :

Il semble que le gouvernement, en avançant le calendrier, poursuit un double objectif. Premièrement, ne pas permettre aux terroristes de se réorganiser, de perpétrer de spectaculaires attentats et de se vanter d'avoir sorti les Juifs de Gaza. Deuxièmement, empêcher les éléments "durs" des localités juives d'organiser une résistance.

En ce qui concerne ce que tu as écris sur la laîcités de ces soldats, c'est du mensonge.
tu crée de la désinformation, qui te dis qu'il n'y aura pas de religieux parmi eux...

voilà ce qu'écris toujours le journal arutz7

Tsahal procède en ce moment à la formation d'une force spéciale de 2000 hommes qui aura pour mission de déloger les Juifs de chez eux. Une "administration de désengagement" a été créée au sein du commandement sud de Tsahal dirigé par le colonel Yossi Turjeman. Des dizaines d'officiers et de soldats passeront les prochains mois exclusivement concentrés sur les préparations du retrait.

Les soldats qui seront chargés de sortir de force les habitants de leur maison seront soigneusement choisis parmi ceux dont Tsahal est certain qu'ils ne refuseront pas d'obéir aux ordres d'expulsion. Les réservistes ne feront pas partie de ce contingent car un grand nombre d'entre eux risque de refuser d'accomplir une telle tâche.

Ancien utilisateur
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Le désengagement va commencer en août
19 juin 2004 - Amir Rapaport et Itai Asher - Maariv

Un programme a été mis à jour pour le plan de désengagement : les habitants des implantations peuvent commencer à faire une demande de dédommagement dans les 10 jours. L'évacuation volontaire va commencer en août ; l'évacuation par la force, en décembre


Le plan original présenté par le comité de direction pour le plan de désengagement au début du mois, a indiqué que l'évacuation volontaire d'habitants des implantations de la Bande de Gaza devait commencer en mars 2005 et un désengagement total devait être réalisé avant septembre 2005.

Cependant, le processus entier semble s'accélérer et un nouveau programme montre que les habitants des implantations qui désirent volontairement quitter la Bande de Gaza peuvent commencer à demander la compensation avant la fin de ce mois. Un mois plus tard la première évacuation volontaire d'habitants est prévue pour commencer.

Tsahal se prépare aussi pour la possibilité imminente que le gouvernement pourrait le charger de commencer l'évacuation involontaire plus tôt que décembre de cette année, beaucoup plus tôt que les évaluations originales que l'évacuation commencerait autour de la fin de 2005.Tsahal a créé officiellement une équipe spéciale jeudi qui traitera du désengagement. L'équipe fonctionnera sous le Commandement Sud de Tsahal. Elle sera dirigé par général (Res) Yossi Turjeman et elle instruira les dizaines d'officiers et de soldats qui auront seuls affaire avec l'évacuation de la Bande de Gaza.

Les sources de sécurité disent que l'élément, choix du temps, est critique, parce qu'un long délai, faisant traîner le processus d'évacuation encouragera les organisations terroristes palestiniennes à essayer et saboter le processus. Les organisations rivaliseront pour le titre de celui qui a infligé la plupart des dégâts sur Tsahal et les habitants des implantations, pour qu'ils puissent se présenter comme ceux qui ont donné un coup de pied à Israël pour sortir de la Bande de Gaza.

Le plan inclut aussi une unité spéciale qui effectuera l'évacuation musclée d'habitants des implantations. Les soldats de l'unité seront particulièrement formés pour l'opération. Il fonctionnera comme une aile de la police et recevra seulement une formation pour la mission d'évacuation. D'autres unités spéciales leur faciliteront la tâche et aussi les polices.

La brigade sera composée d'environ 2.000 soldats qui seront soigneusement choisis de l'excédent de soldats de Tsahal. Cette voie ne sera pas pour aucun "des refuzniks du service" dans les rangs et Tsahal veut aussi éviter d'employer des réservistes pour la tâche d'évacuation. On s'attend à un phénomène de refus d'exécuter les ordres d'évacuer plus important parmi les réservistes que parmi les soldats servant dans l'armée régulière.


Ainsi l'info sera plus nette et claire !

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Je n'ai pas menti, j'ai di ce que l'on m'a di

Ancien utilisateur
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Yokhymaim

ce n'est pas sur les "on dit" qu'il faut se fier.

Mais ca va tu es pardonné ;-))

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

c'est bien de penser au bien de l'israel mais etes vous deja allé en palestine??? moi je suis juif et je peux vous affirmez que ce qu'ils vive la bas est plus qu'affreux mais a croire que vous ne vous en rendez pas compte et c'est bien ca qui est dommage sharon n'est pas un ange et excusez moi mais aller tuer des palestiniens juste par plaisir n'est pas ds les regles de la torah et vous le savez tous...
je suis pour la paix la bas mais je vais vous dire quelque chose qui m'a degouté :
- pourkoi kan on a créé l'etat d'israel et qu'il y avait les palestiniens on a pris plus de place pour nous alors que les palestiniens etaient plus nombreux que nous??et ils vivaient en paix...ne repondez pas de travers svp

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

merci de passer mon message en dotre termes je le garde en copie et si il ne passe pas cela veut dire ke j'aurais raison mais c'etai juste a un but de savoir pourkoi???merci meme si je sais kil ne passeras pas

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

ok on va reprendre les cours d'histoire (JE M'EXCUSE MAIS LE POST SERA LONG à lire mais tellement instructif !!)

je l'avais déjà écris il y a longtemps mais pas grave on recommence tout...

Le texte qui suit c'est l'histoire du mot "palestine"

PALESTINE – brève histoire d’un nom

Il apparaît en 135 :

Après avoir écrasé la seconde révolte des Juifs contre Rome, (qui avait conquis la Judée en -63) l’empereur Hadrien change le nom de Jérusalem, complètement rasée, en «Aelia Capitolina» et celui du pays en «Provincia Syria-Palaestina».

Palaestina étant emprunté au nom des Philistins qui, aux temps bibliques, habitaient une partie de la plaine côtière, notamment Gaza.

Après sa conversion au christianisme (4ème siècle), l’empereur Constantin fait prévaloir le nom de «Terre Sainte ». Mais en fait, jusqu’au 20ème siècle, elle ne sera plus qu’une modeste province, aride et dépeuplée, des grands empires : romain et byzantin, de l’empire musulman après la conquête arabe en 632, puis, après la chute du «Royaume latin de Jérusalem» établi par les Croisés (1099-1176), de l’empire Mamelouk, enfin, de 1517 à 1918, de l’empire ottoman.

A partir de la fin du 19ème siècle, la population juive du pays s’accroît, ainsi que, bientôt, la population arabe, attirée par l’essor économique.

Au 20ème, avec le développement du mouvement sioniste et la déclaration Balfour (1917) qui stipule l’établissement d’un Foyer National Juif en Palestine – idée d’abord acceptée, puis rejetée par les dirigeants arabes - la Palestine revient sur la scène internationale.

En 1922, la SDN charge l’Angleterre, puissance mandataire après la chute de l’empire ottoman, d’appliquer la déclaration Balfour. En fait, le nom de Palestine est désormais réservé à la Palestine occidentale, la G.B. en ayant détaché, de sa propre initiative, la vaste partie à l’est du Jourdain pour créer la Transjordanie (devenue la Jordanie) .

Jusqu’à la création de l’Etat d’Israël, le mot prend deux significations.

Tantôt, il désigne le pays géographique – on parle des «troubles en Palestine »,et l’adjectif palestinien s’applique à ses habitants, qu’ils soient Juifs ou Arabes (Lapierre et Collins emploient encore ces termes dans leur ouvrage » O Jérusalem ».)

Tantôt, et avec des optiques différentes, Palestine et Palestiniens = Juifs.



Ainsi, les manifestants antisémites des années 20 et 30 crient « Les Juifs en Palestine ». Curieusement, dans la France de Vichy, les «groupes de travailleurs étrangers », astreints au travail forcé, sont, lorsqu’il s’agit de Juifs, désignés du nom de « palestiniens ».[Renée Poznanski « Etre Juif en France pendant la Seconde Guerre Mondiale » Hachette]

Pour les Juifs, restés fidèlement attachés à la terre des ancêtres au long des 20 siècles de dispersion, c’est Eretz-Israël, la terre d’Israël. Et c’est ce sens qui va prédominer, dans l’opinion française par exemple, entre la fin de la Seconde Guerre Mondiale et la proclamation de l’Etat d’Israël : période où, à la découverte de la Shoah, s’ajoute le drame des «personnes déplacées», ces rescapés qui n’ont nulle part où aller.

En 1946 est fondée la « Ligue Française pour la Palestine Libre » qui compte notamment parmi ses membres J.P.Sartre, Edgar Faure, P.Mendès-France, E.Mounier. En ce temps-là, c’est le sionisme qui est considéré comme un mouvement de libération nationale (David Lazar »L’opinion française et le naissance de l’Etat d’Israël » Calmann-Lévy).

La signification actuelle : Palestine et Palestinien = Arabes, commence à se répandre dans les années 60.

En 1964, le Haut Comité Arabe fonde le Conseil National Palestinien, qui à son tour crée l’Organisation de Libération de la Palestine (dont la charte stipule que « le partage de la Palestine en 1947 et la création de l’Etat d’Israël sont nuls et non avenus »).

En 1974, au sommet arabe de Rabat, l’OLP, présidée par Yasser Arafat depuis 1969, est déclarée seule représentante du peuple palestinien.

En novembre de la même année, Arafat prend la parole devant l’Assemblée Générale de l’ONU. Et l’on va prendre l’habitude de parler du conflit israélo-palestinien.

_____________________________________


MAINTENANT VIENT L'HISTOIRE DE NOTRE PEUPLE :




LE SENS DES MOTS

De tous les conflits qui déchirent la planète, celui qui oppose Israël et les Palestiniens est sans doute le plus couvert par les médias. Il se déroule pourtant sur un minuscule coin de terre.
Des termes comme «territoires occupés», «colonies», «réfugiés » reviennent sans cesse, et ils évoquent, pour un Français, des images précises, qui font souvent oublier qu’ici, le contexte géographique, historique et politique est différent.
De quoi est-il question dans le conflit du Proche-Orient ? Nous avons tenté d’établir un bref lexique, avec quelques dates-clés.

Quelques dates

1917 : Déclaration Balfour : La Grande-Bretagne « envisage avec faveur la création en Palestine d’un foyer national pour le peuple juif. »

1921: La SDN confie à la G.B. un mandat sur la Palestine, qui faisait partie avant la première guerre mondiale de l’Empire ottoman.

1922 : La G.B. , de sa propre initiative, en détache les deux tiers (84.000 km2) pour créer l’émirat arabe de Transjordanie. 1947 : l’ONU vote la partition du territoire restant pour la création d’un Etat juif et d’un Etat arabe. Refus des Arabes.

Mai 1948 : proclamation de l’Etat d’Israël, aussitôt envahi par les armées de 5 états arabes.

Juin 1964 : création, par la Ligue Arabe, de l’OLP (Organisation de Libération de la Palestine)

1967 :Après le blocus égyptien du Golfe d’Eilat, guerre des Six jours, avec victoire -éclair d’Israël.

ISRAEL :
Superficie : Dans les frontières d’avant la guerre des 6 jours (Juin 1967) :
21.946 km2.
A titre de comparaison :
superficie de la Bretagne : 27.506 km.

Population : 6,7 millions. Dont environ 5,4 millions de Juifs, 1,2 millions d’Arabes, 100.000 Druzes. Environ 2% des Israéliens sont chrétiens, appartenant à des Eglises très diverses.

CISJORDANIE et GAZA :
. La bande de Gaza : 373 km2. Avant de passer, à l’issue de la guerre des 6 jours, sous contrôle israélien, elle se trouvait, depuis 1949 ( accords d’armistice des pays arabes avec Israël) sous domination égyptienne.

La Cisjordanie : terme créé en 1950, où ce territoire fut annexé par la Jordanie, pour désigner les régions nommées dans la Bible Judée et Samarie. Superficie : 5678 km2

Elle passe en 1967 sous l’administration israélienne. La Jordanie conserve néanmoins avec la Cisjordanie certains liens administratifs et légaux, que le roi Hussein rompit en 1988.

Territoires « occupés » ou « contestés » ?

Le droit international définit comme «occupé» un territoire qui, avant sa conquête lors d’une guerre, était placé sous une souveraineté reconnue.
Ni la souveraineté de l’Egypte sur Gaza, ni celle de la Jordanie sur la Cisjordanie, n’ont été reconnues par la communauté internationale.
Il s’agit donc, juridiquement, de territoires dits « contestés » ou « disputés », dont le statut définitif doit être réglé au cours de négociations de paix.
A la veille de l’Intifada El-Aksa, fin sept.2000, l’Autorité Palestinienne, présidée par Yasser Arafat,. administrait 98% de la population de Cisjordanie et Gaza.

Colonies
On a traduit par «colonies» - terme qui en français évoque un outre-mer, par exemple l’Algérie - l’anglais «settlement » (peuplement), pour désigner les localités juives implantées en Judée-Samarie et dans la bande de Gaza. .

Définition du Petit Robert : Colonie ….Etablissement fondé par une nation appartenant à un groupe dominant dans un pays étranger à ce groupe…..

Pays étranger à ce groupe ? La présence juive dans ces régions date de l’époque biblique, et des communautés, plus ou moins importantes, y ont subsisté tout au long des siècles. Nombre des implantations actuelles ont été créées sur des sites autrefois peuplés par des Juifs. Parfois, comme dans le cas de Hébron ou du Goush Etzion, en un lieu dont les habitants juifs avaient été massacrés.

Elles ont été fondées, dans leur très grande majorité, dans des zones inhabitées. Certaines ont été créées pour des raisons sécuritaires, en particulier aux abords immédiats des grandes villes. (v. frontières)
La question des implantations (env.213.000 habitants au total - loin d’être tous ultra-nationalistes ou ultra-religieux) figure parmi les sujets à régler dans la phase finale des accords de paix.

Frontières de 1967
Israël a la forme d’une bande étroite et irrégulière, de 420 km de longueur. Avant la guerre des 6 jours, ses frontières terrestres s’étendent sur 951 km.. Sa largeur n’atteint, à certains endroits, que 15 km. Les armées des voisins hostiles étaient stationnées à 18 km de Tel-Aviv, 35 de Haïfa, et quelques mètres des quartiers juifs de Jérusalem. On compta 41 attaques en 1966.

La résolution 242 du Conseil de Sécurité (nov.1967) demande, dans son texte en anglais, à Israël de se retirer de territoires et non des territoires. Elle précise
le droit de chaque Etat à des frontières sûres et reconnues. (On peut noter qu’en Europe, des modifications de frontières ont eu lieu, par négociations, entre l’URSS et la Tchécoslovaquie en 1945, l’URSS et la Finlande en 1947, l’Allemagne et la Pologne en 1970, l’Italie et des pays voisins en 1947, etc.)

Jérusalem et les Lieux Saints
Ses liens avec le peuple juif . Depuis qu’il y a 3000 ans, le roi David en fit sa capitale, Jérusalem a une place centrale dans la vie juive. Depuis sa destruction par les Romains, en 70 de l’ère chrétienne, et la dispersion du peuple juif, les Juifs religieux du monde entier, dans leurs prières journalières et dans toutes les cérémonies, implorent Dieu de leur accorder d’y revenir.
Tout au long des siècles, des pèlerins sont venus prier devant le Mur Occidental (mur des Lamentations), dernier vestige du Temple, dont la destruction reste, aujourd’hui encore, commémorée chaque année par un jeûne.

Dès le 4ème siècle, des Juifs reviennent dans la Ville Sainte d’où ils avaient été bannis. Quand elle fut proclamée la capitale de l’Etat d’Israël nouveau-né, Jérusalem comptait 100.000 juifs sur 165.000 habitants (recensement de 1948).

Les Lieux Saints .

La Vieille Ville (superficie : environ 1 km2) abrite des lieux révérés par les trois religions monothéistes :
le Saint-Sépulcre et la Via Dolorosa pour les chrétiens ;
Le Mur Occidental et le Mont du Temple, site le plus sacré du judaïsme.
Sur cette aire, appelée par les musulmans l’Esplanade des mosquées, s’élèvent le Dôme du Rocher et la Mosquée El-Aksa, et elle constitue le 3ème lieu saint de l’Islam.
Après la guerre de 1967 et la réunification de la ville - dont la partie orientale était occupée depuis mai 1948 par la Jordanie, qui interdit aux Juifs l’accès au Mur Occidental, saccagea 58 synagogues, en transforma certaines en écuries - la loi israélienne stipula « la liberté d’accès des adeptes de quelque religion que ce soit à ses lieux saints ».
L’administration des mosquées est confiée au Waqf musulman. Les lieux saints chrétiens restent sous la garde de leurs différentes églises respectives, suivant un accord conclu au 19ème siècle, sous la domination ottomane.

Les réfugiés

Le nombre d’Arabes ayant fui lors de la guerre de 1948 se situe, selon les estimations, entre 360.000 et 750.000
Pendant les années ayant suivi la création de l’Etat d’Israël, plus de 800.000 Juifs durent fuir les pays arabes, en y laissant tous leurs biens. 586.000 d’entre eux immigrèrent en Israël, devenant citoyens israéliens ? (On pourrait parler, notent certains observateurs, d’un échange de populations, comme celui qui s’est produit entre l’Inde et le Pakistan en 1947)

Seule la Jordanie accorda la nationalité aux réfugiés palestiniens. (Les Etats arabes ne souhaitent pas résoudre le problème des réfugiés. Ils désirent le conserver comme une blessure ouverte… une arme contre Israël ; explique Ralph Galloway de l’UNRWA, en 1958)

En 2002, l’UNWRA - l’agence créée en 1949 par l’ONU pour leur fournir une aide et des services de santé et d’éducation - chiffre le nombre de ses assistés à 3,9 millions. Environ 1,6 millions d’entre eux vivent en Jordanie, 1,5 millions en Cisjordanie et dans la bande de Gaza.

Droit au retour

L’Autorité Palestinienne revendique le droit au retour des réfugiés palestiniens, y compris dans l’Etat d’Israël au sein des frontières de 1967.
Israël déclare cette exigence inacceptable, en spécifiant qu’elle est dénuée de fondement juridique.
Le droit au retour ne peut être exercé que si l’on possède la nationalité du pays auquel on veut retourner - or il n’y a pas de nationalité palestinienne au sens juridique du terme et les Palestiniens ne sont pas Israéliens.

La résolution 1948 (dec.1948), de l’Assemblée Générale de l’ONU (souvent invoquée par l’A.P, alors qu’elle avait été initialement rejetée par les Etats arabes) ne spécifie pas de « droit au retour » : elle prévoyait du reste, à côté du « rapatriement » des réfugiés, d’autres possibilités, telle que la ré-installation.

Quant à la résolution 242 du Conseil de Sécurité (1967), elle préconise «un règlement équitable du problème des réfugiés », sans autre précision.. La Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (1948) reconnaît à « chacun le droit de quitter tout pays… et d’y retourner » mais stipule que cette disposition- comme les autres - a des limitations « dans le but d’assurer la reconnaissance et le respect des droits des autres … »
A ce point de vue , Israël souligne -toutes tendances politiques confondues- qu’autoriser l’installation sur son territoire de millions de Palestiniens (population, de surcroît hostile) serait un acte suicidaire : il signifierait la destruction de l’Etat Juif, qui deviendrait en quelques années à majorité arabe. L’écrivain Amos Oz, pacifiste bien connu, observe : « Il y aurait en fin de compte deux Etats arabes sur cette terre : la Palestine et Israël »


Le terrorisme lié à l’occupation ? (soit 1967)

Une définition du Petit Robert :
« fedayin,n.m.-1956 ; répandu vers 1965 : combattant palestinien engagé dans des opérations de guérilla »

==> nota béné de tata fortunée, bien prendre en compte que le petit robert, bien francais est de surcroit pro palestinien meme dans ses définitions !!

Ancien utilisateur
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cholapin9

Nos webmasters tu ne les connais pas, ils sont très sérieux et savent quand il faut faire passer ou non un post, le tien n'est ni vulgaire, ni violent, ni meme raciste, il donne un point de vue complètement différent du notre, d'ailleurs attends toi à des réactions, mais c'est tout !

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