l'anagramme de ce fou Président de l'Iran était formé des mêmes lettres que Aman" et Djihade et, sur la plage, au soleil couchant d'Israël, ma plume a couru.
Et voilà le poème que cela m'a inspiré :
Du Djihade à Aman", Ahmadinejad Avec un nom formé d'une part de Djihade
Et d'autre part d'Aman, il porte en lui la mort,
La haine et la folie, cet Hitler de parade
Qui, pantin de Pourim, croit défier le sort.
Il faudrait l'informer, l'histoire étant cyclique
Que, sous la reine Esther, existait un tyran
Croyant déjà pouvoir, avec toute sa clique,
Rayer le Peuple Juif et c'était en Iran.
Il faut lui rappeler qu'au bout d'une potence,
Cet ancêtre d'alors fut pendu haut et court,
Que Le Seul Roi c'est D-ieu, Maître de la Sentence,
IL l'a déjà jugé, minable fou de cour.
Mais sait-il seulement que son drame atomique
Est voué à l'échec face au choeur d'Israël ?
Et qu'on n'aura pour lui qu'une larme cosmique
Quand l'armée de Tsahal le fera virtuel.
Il faudrait qu'il n'oublie que, balayés sous terre,
Se sont déjà couchés Nasser avant Assad,
Cheik Yassine, Aratfat, Saddam le va-t-en guerre ;
Il est numéro six, pauvre Ahmadinejad.
7 Mai 2006 © Charly Lellouche