Etre une victime est pour des personnes sans la force, et toujours tombera, changera cela aujourd'hui et verra combien votre vie changera.........

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Etre une victime est pour des personnes sans la force, et toujours tombera, changera cela aujourd'hui et verra combien votre vie changera.........
Commencer par être vrai avec nous-même, et pas critiquer ce que d'autres font, aussi longtemps qu'ils ne blessent pas it is ok et une fois que tu t'ajustes sur cette la pensée tu ouvre toi-même pour voir des choses vraies.......
Exemple : Si j'ai un problème aujourd'hui, et pendant tout un mois j'ai le même problème, pourquoi si je me fais tout les jours everday déranger pendant tout un mois sur le même problème quand je peux me permettre d'être dérangé pour le premier jour le problème arrive, si je ne peux pas le changer, je m'incite à déranger tout les jours pour rien, son goût une vague dans l'océan, la vague vient au rivage et que va soutiens, mêmes que des problèmes journaliers, tour tellement juste la vague, la volonté de dissoudre dissappear ce probleme.....
Soit juste vrai avec toi-même être juste vrai yourself.....
Tu as des possibilités que seulement tu peux maximiser pleinement.
Tu l'as déjà reconnu que les problèmes que tu as viennent de toi, et tu es maintenant au travail Chaque artiste commence par une idée que doit commencer à travailler pour se montrer......
Egalement nos actions, entretien est bonne, mais prendre la charge et mettre nos mots dans l'action est le vrai travail....
Etre une victime nous donne seulement les limites à ce que nous pouvons réaliser, sortir de sa position de victime prendre les commandes, la limite du ciel, tu peut réaliser tout ce que tu veux.
Quand tu changes ton individu de te dire je suis une victime chez tonre individu à dire, tu acceptes votre spécial et tu feras ce que tu te sens et fera ce que tu veux, n'importe le prix de la souffrance et de la difficulté, et tu aura la réussite, et il arrivera que lorsque qu lorsque tu demandes à l'univers que tu veux l'univers te le donnera à toi en comback, and succeed that is when you tell the universe what you want and than the universe will give it back to youp.
L’univers ne peut rien te donner tant que tu contrôle ton toi, et fait que tes actions laisse te dire mes actions sont mon moi et laisser les choses arriver par elles memes et tu saura par toi-même que tes actions sont les demandes de ce que tu veux until unless your contrôle

the universe can't give you nothing unless you control yourself and let them know by your actions what you want, sounds alittle crazy \but it works…..

Ancien utilisateur
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J'ai trouvé : c'est du Jean-Claude Van Damme ?

Ancien utilisateur
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Je comprend pas trop....

Ancien utilisateur
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ça ressemble à de la traduction automatique : richard3 si tu es anglophone redis-nous ça dans ta langue maternelle, nous comprendrons mieux.

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Ok je vous le dis dans ma langue maternelle LOL
Et ce n’est pas de la traduction automatique ce sont mes écris qui pense en français et en anglais et en hébreu et en même temps LOL
Ma chère madame ouvrez vous l’esprit et ne soyez plus condescendante et arrêtez de faire des reproches pour rien et ne m’agresser plus avec vos messages !

Le silence par le Rabbin Akiva TATZ

La culture dans laquelle nous nous trouvons est remplie de mots. Les média déversent constamment des mots. Nous sommes entourés de bruit. Et pourtant, la seule façon de se développer vraiment et en profondeur est d’apprendre à être silencieux.

(Un extrait de Jeune et Juif Aujourd’hui d’Akiva Tatz, aux éditions Targum/Feldheim)
Dans un monde plein de bavardages, tu dois apprendre le silence. Dans un monde plein de bruit, il n’y a pas de place pour la pensée, pour la compréhension réelle des choses. Tu dois développer l’aptitude à trouver une place calme à l’intérieur de ton propre esprit afin d’être en contact avec la personne que tu es vraiment. C’est seulement dans un vrai silence que tu peux vraiment comprendre. Seul celui qui se tait peut vraiment entendre.
Seul le silence peut contenir une connaissance en profondeur. Essayons de comprendre cela.
Ne perdez pas votre temps à essayer d’impressionner les autres, car mךme si vous parvenez à les convaincre
‏ par le Rabbin Noah WEINBERG
J’ai connu un jeune homme qui parlait toujours en inclinant toujours légérement la tête de côté car quelqu’un lui avait dit, un jour, que de profil, il ressemblait à un acteur célèbre. Mais la plupart des gens ne se disaient pas qu’il avait un profil d’acteur, ils pensaient plutôt qu’il ne tournait pas très rond.
C’est un exemple de ce qui arrive lorsque le désir de faire bonne impression sur les autres conditionne toutes nos actions. Se prévaloir de ses réussites fait partie de la nature humaine. Lorsque nous avons quelque raison d’être fiers de quelque chose, nous tenons à le faire savoir. Vous pourrez le vérifier lors de prochaines conversations : voyez la rapidité avec laquelle votre interlocuteur (ou vous-même) commence à vous parler de ses succès personnels.
A quoi est dû ce désir d’en imposer aux autres ? L’être humain a besoin de reconnaissance, mais quelquefois, nous ne nous sentons pas à la hauteur de nos ambitions, et nous avons besoin de nous sentir confortés par l’opinion des autres.
Si les autres vous font des compliments, vous allez peut-être commencer à les croire. Un acteur qui prend à la lettre ce que lui écrivent ses admirateurs est en grand danger. Parce que son succès repose sur un château de cartes, et qu’il risque de tomber de haut.
Trop rechercher le respect des autres, c’est reconnaître que l’on n’a pas suffisamment confiance en soi-même. Cela revient à penser : « je ne vaux peut-être pas grand-chose, mais si j’arrive à persuader les autres du contraire, c’est que je ne suis pas si nul que ça ». Raisonner ainsi, c’est vouloir faire passer des bijoux en « toc » pour de l’or : ils en ont la couleur et le brillant, mais ils sont sans valeur. Et au fond de soi, on a l’impression d’être un faussaire.
La Voie de la Sagesse N°36 est : mitra’hek min hakavod, c’est-à-dire : tiens-toi à l’écart des honneurs. Elle nous apprend à ne pas rechercher l’estime des autres mais à nous efforcer de la trouver en nous-mêmes. Essayez de définir ce qui vous paraît donner un sens à votre vie et servez-vous en comme d’un guide en vue d’un certain dépassement de vous-même. Les gens qui sont en harmonie avec eux-mêmes n’ont pas besoin de la reconnaissance publique pour s’estimer à leur juste valeur.
Nous avons là un conflit classique entre le corps et l’âme. Le corps se satisfait de l’illusion que les autres nous accordent une certaine importance. Mais l’âme,elle, ne se contente pas de quelque chose d’aussi superficiel. Le corps dit : «Profitons de notre importance temporaire ». L’âme dit : « Faisons en sorte que cette importance soit réelle ». Le corps recule devant les difficultés que cela implique. L’âme sait ce qu’il convient de faire.

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur


Monsieur Gould,
Et je désirais vous dire
- Comment vous permettez vous d’écrire sur les jeune D’ISRAEL QUAND AU FAIT QUIFUME DU HASHISHE ?ETC !!!!!! CAR vuos ne pouvez vous permettre d’en parler car à voir ce que vous êtes vous n’avez aucun liin réel avec Irsael pour en parler ! DONC SVP ! avant de parler des jeunes D’Israel allez voir sur place et prendre de l’expérience avec vos yeux et non pas vos projection !
SVP NE VOUS PERMETTEZ PLUS DE PARLER DES CES JEUNES D’ISRAEL SANS CONNAITRE LEURS VRAI SOUFFRANCE LEURS DETRESSE CAR ILS SOUFFRE ! VOUS LE SAVEZ CELA ? SOUFFREZ VOUS VOUS DANS VOTRE CONFORT EN FRANCE ? NON ! DONC LECHEZ CE SUJET ET SI VOUS VOULEZ EN PERLER FAIT VOTRE ALYAH OU ALLER EN ISRAEL AIDER ISRAEL SVP !
-Et que vous perdez votre temps à me critiquer ou me chambrer n’est que le reflet de VOUS MEME !
Soyez bien dans votre peau et vous ne critiquerez plus les autres chère Monsieur
TRES CORDIALEMENT

Ne perdez pas votre temps à essayer d’impressionner les autres, car mךme si vous parvenez à les convaincre de votre importance, en êtes-vous bien convaincu vous-même ?
par le Rabbin Noah WEINBERG
J’ai connu un jeune homme qui parlait toujours en inclinant toujours légérement la tête de côté car quelqu’un lui avait dit, un jour, que de profil, il ressemblait à un acteur célèbre. Mais la plupart des gens ne se disaient pas qu’il avait un profil d’acteur, ils pensaient plutôt qu’il ne tournait pas très rond.
C’est un exemple de ce qui arrive lorsque le désir de faire bonne impression sur les autres conditionne toutes nos actions. Se prévaloir de ses réussites fait partie de la nature humaine. Lorsque nous avons quelque raison d’être fiers de quelque chose, nous tenons à le faire savoir. Vous pourrez le vérifier lors de prochaines conversations : voyez la rapidité avec laquelle votre interlocuteur (ou vous-même) commence à vous parler de ses succès personnels.
A quoi est dû ce désir d’en imposer aux autres ? L’être humain a besoin de reconnaissance, mais quelquefois, nous ne nous sentons pas à la hauteur de nos ambitions, et nous avons besoin de nous sentir confortés par l’opinion des autres.
Si les autres vous font des compliments, vous allez peut-être commencer à les croire. Un acteur qui prend à la lettre ce que lui écrivent ses admirateurs est en grand danger. Parce que son succès repose sur un château de cartes, et qu’il risque de tomber de haut.
Trop rechercher le respect des autres, c’est reconnaître que l’on n’a pas suffisamment confiance en soi-même. Cela revient à penser : « je ne vaux peut-être pas grand-chose, mais si j’arrive à persuader les autres du contraire, c’est que je ne suis pas si nul que ça ». Raisonner ainsi, c’est vouloir faire passer des bijoux en « toc » pour de l’or : ils en ont la couleur et le brillant, mais ils sont sans valeur. Et au fond de soi, on a l’impression d’être un faussaire.
La Voie de la Sagesse N°36 est : mitra’hek min hakavod, c’est-à-dire : tiens-toi à l’écart des honneurs. Elle nous apprend à ne pas rechercher l’estime des autres mais à nous efforcer de la trouver en nous-mêmes. Essayez de définir ce qui vous paraît donner un sens à votre vie et servez-vous en comme d’un guide en vue d’un certain dépassement de vous-même. Les gens qui sont en harmonie avec eux-mêmes n’ont pas besoin de la reconnaissance publique pour s’estimer à leur juste valeur.
Nous avons là un conflit classique entre le corps et l’âme. Le corps se satisfait de l’illusion que les autres nous accordent une certaine importance. Mais l’âme,elle, ne se contente pas de quelque chose d’aussi superficiel. Le corps dit : «Profitons de notre importance temporaire ». L’âme dit : « Faisons en sorte que cette importance soit réelle ». Le corps recule devant les difficultés que cela implique. L’âme sait ce qu’il convient de faire.

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Plutôt qu'intégrer sans sens critique des idéologies extérieures à la lumière desquelles vous jugez celle qui, selon une recherche méthodique, devrait vous être la plus proche, pourquoi ne pas inverser le processus, et après vingt ans de culture française, sacrifier quelques semaines pour acquérir quelques notions de la notre.

Allez voir mon poste dont je vous l’écrie dans ce présent mail !
Le fait que vous me dites si je suis anglophone et que vous vous permettez de me dire que (je dois redire ce que je dis dans ma langue maternelle, nous comprendrons mieux)
C’est de la condescendance et de l’agression ! et c’est l’exemple type de ce que j’essaie d’expliquez avec mon poste dont je vous joint leurs écris !
Et svp ne vous permettez plus d’être condescendante ou agressive ! lisez plutôt mes autres postes dont vous comprendrai bien le fait que vous vous limité a cette culture française !
ALORS ! NE M’AGRESSEZ PLUS C’EST CLAIR ?

Rabbin Benjamin RINGER, Avez vous jamais discute du probleme intitule “Qui est juif” “Qui est Hebreu“ ?
Je voudrais moi aussi donner ma réponse, ou plutôt vous rappeler que pour quiconque possède de bonnes notions de la Tora Ecrite et Orale, la question ne se pose pas. Je ne parle pas du fameux principe selon lequel être né d'une mère juive ou avoir eu une conversion légale sont les préliminaires à un engagement juif ; pas non plus de la réalisation des mitsvoth qui en est l'expression pratique, mais des fondements mêmes de cet engagement.

On pourrait lire par exemple les Treize Principes de Maïmonide ou le bilan moral qu'il expose dans le troisième chapitre des "Lois de la Techouva" (retour vers D'eu).

Avant que le problème ne devienne l'objet de réunions de salon, de tels textes avaient statut de références incontestées. Mais laissons ces lectures à ceux qui veulent s'informer sérieusement.

Rappelons pour notre part cette histoire que nous tenons de notre plus tendre enfance :

Il y a quatre mille ans, vécut un petit garçon fort tourmenté. Il ne parvenait pas à comprendre pourquoi il était le seul à se poser des questions. Il avait comme les autres adoré le soleil, mais avait cessé de le servir dès lors qu'il s'était aperçu que la lune prenait sa place pendant la nuit. Il était émerveillé devant les forces de la nature, mais il ne pouvait se résoudre à leur vouer un culte comme tout le monde.

Car Abraham concevait que le sens de la vie pût se trouver en dehors de sa petite personne. Il ne saisissait pas comment les hommes pouvaient se complaire dans une adoration arbitraire.

Jugé mécréant par son père, il dut comparaître devant le grand monarque Nimrod. Celui-ci le somma : "Prosterne-toi devant le feu !

- Plutôt devant l'eau qui éteint le feu ! rétorqua l'enfant.

- D'accord si c'est là ton choix.

- Mais les nuages portent l'eau !

- Ce sont donc les nuages qui t'inspirent ?

- Non, je préfère l'air qui disperse les nuages.

- Alors, ton option est-elle faite maintenant ?

- Impossible, puisque l'homme est porteur d'air.

- Trêve de paroles ! Mon dieu c'est le feu, et on verra bien si le tien pourra t'en sauver si je t'y jette."

Des confrontations de ce genre ne firent qu'affermir Abraham dans ses convictions. Il comprit que ce n'était pas lui qui avait un esprit étrange, mais bien le monde qui manquait d'audace pour admettre une vérité pourtant évidente.

Il lui apparaissait clairement à présent qu'il y avait un D'eu universel en fonction duquel il voulait établir sa vie, un D'eu omniprésent quoique invisible. Si les gens avaient peine à l'imaginer, c'était parce que les rois et les mages prenaient sa place. Oui, c'était la peur et le mensonge organisé qui entretenaient ces croyances insensées, peur des hommes d'assumer leur propre vie et connivence des prêtres et des rois pour canaliser leur recherche vers un culte sécurisant et abrutissant.

La vérité dont les gens parlaient était d'un tout autre genre que celle qu'il avait découverte : elle était le produit de statues et d'édifices, de manifestations populaires et de niaiseries répétées par le clergé et le pouvoir.

Il eut plus tard des révélations prophétiques qui vinrent compléter ses recherches. Il apprit du reste que l'humanité n'avait pas totalement perdu sa tra-dition monothéiste : il existait encore des hommes comme Malkitsédeq qui se disait prêtre de Qel 'Eliyone, du D'eu suprême (Genèse chap. 14, vers. 18).

Pourtant, Abraham, lui, appelait l'Etre suprême d'un autre nom : Qel 'Olam, D'eu du monde (ib. chap. 21, vers. 33) ou encore "D'eu du ciel et de la terre" (chap. 24, vers. 3). C'est qu'il avait bien compris qu'autant que des monarques comme Nimrod agenceraient la réalité à leur guise, ils seraient toujours capables de fabriquer des "vérités évidentes" si puissantes que dans le meilleur des cas, le D'eu suprême resterait un concept abstrait sans impact réel sur le monde.

Sans engagement concret, la vérité n'a pas de sens. Aussi les mots tsedaqa et michpath - générosité et justice - furent-ils les mots clé du patriarche, et l'essence de ce qu'il comptait transmettre au peuple issu de lui (ib. chap. 18, vers. 19).

Ce peuple, c'est nous.

Nous ne sommes pas le produit de l'antisémitisme ou d'un autre accident de l'histoire. Nous sommes la seule nation tirant son origine de la vision d'un juste, confirmée par son propre engagement et son alliance avec le Créateur.

Tout cela, me direz-vous, remonte en effet à quatre mille ans. Aujourd'hui, le schéma s'est presque inversé. Ce n'est pas au paganisme que le Juif se trouve confronté, mais à un monde de super-rationalité. Le Juif moderne a peut-être plus de difficultés à rejeter les options de son entourage que n'en avait Abraham. Que pourrait-il lui opposer si ce n'est un conditionnement parfait dans une vie rituelle reçue avec le lait ? Ou peut-être faut-il un mysticisme exacerbé pour fonder sa vie sur des valeurs totalement abstraites ?

Nous maintenons pour notre part que c'est la rationalité qui est le fondement essentiel de notre engagement ; qualité que le monde ambiant possède moins qu'il ne l'imagine.

NON, ce n'est pas particulièrement logique de vivre sans s'interroger sur l'origine et l'aboutissement de la vie. A y réfléchir, il apparaît plutôt bizarre de pouvoir passer son existence à poursuivre des biens matériels que l'on achète uniquement parce qu'une firme a décidé d'en vendre, et à briguer des fonctions et des positions dont le sens réside dans l'appréciation sociale...

Nous ne voudrions pas verser dans la banalité en poursuivant ce réquisitoire, et de toute façon, nous nous sommes déjà écartés de notre sujet. Notre propos n'est ni de définir en quoi exactement nous refusons certaines valeurs, ni de circonscrire celles que nous avons à apporter. Ces quelques lignes n'y suffisent pas. Nous voulons montrer qu'à la base des grands choix du judaïsme, il y a une attitude fondamentale. Que le rejet de l'idolâtrie est le refus d'associer des idéologies aux villes, aux pays ou aux rois, et que le choix d'être hébreu commencerait par la capacité et le courage de ne pas se ranger à tous les consensus ('ivri, en hébreu, signifie "de l'autre côté"). C'est un certain scepticisme face aux opinions et aux expressions toutes faites.

Posons-nous une question : Si l'identité juive, fort heureusement, est assumée par un grand nombre d'entre nous, comment se fait-il alors que tant de discours confus et contradictoires soient tenus quant à son contenu ? Est-ce que le monde, qui ne nous a pas fait perdre la notion de notre nom, serait parvenu à le colorer de toutes les idéologies qui ne sont pas les nôtres ?

Avant d'affirmer qu'être juif veut dire avoir un sens viscéral de son existence ou aimer Israël, avoir une histoire commune à d'autres Juifs, ou être le produit de l'antisémitisme, être né de mère juive ou d'assumer des coutumes ancestrales... ne serait-il pas intéressant d'étudier en profondeur ce que le judaïsme a à dire à ce propos ?

Vous êtes peut-être de ceux qui trouvent qu'il est mieux d'être universaliste, rationaliste, socialiste... Pourrais-je vous faire la proposition suivante ?

Plutôt qu'intégrer sans sens critique des idéologies extérieures à la lumière desquelles vous jugez celle qui, selon une recherche méthodique, devrait vous être la plus proche, pourquoi ne pas inverser le processus, et après vingt ans de culture française, sacrifier quelques semaines pour acquérir quelques notions de la notre.




Liste des forums » Etre Juif dans le monde » historien GAD TAUB Courrier international n°893







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Bzh75
Posté le 15 Avril à 21:34






Voilà un historien qui semble bien avoir analysé la France, ce projet destructeur. Ca nous change de la propagande des "intellectuels" du petit monde franco-parisien!





Muzevi
Posté le 15 Avril à 15:00






Gad Taub
c'est vraiment de la daube , desolé ,





Richard3


Posté le 15 Avril à 03:20






- Ne pas suivre le model Français explique l’historien GAD TAUB Courrier international n°893
L’historien GAD TAUB explique La France est un état de citoyen
Ne pas suivre le modèle français.
MAARIV Tel-Aviv
Le bon vieux colonialisme français. Ils n'ont que faire de ce que veulent les "indigènes". Mieux, ils croient pouvoir apprendre aux "indigènes" la meilleure manière pour eux d'exercer leur droit à l'autodétermination et à l’assimilation.
- Colonialisme Français, si la Suède peut être suédoise et démocratique et si la Grèce peut être grecque et démocratique, la france ,elle, ne peut être à la fois française et démocratique.
Le colonialisme français ressuscité
Les apôtres de la solution française fleurent bon non pas l'anticolonialisme, dont ils disent
se revendiquer, mais plutôt le bon vieux colonialisme français.
L'application du modèle "citoyen" français signifie l'intégration forcée et la négation du droit à défendre son caractère national si l’on n’est pas de souche française et l‘on ne peut pas être soi même et la France nous oblige à s'assimiler à la majorité française et d'adopter sa culture, ses coutumes et son identité.


Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Nath4 ainsi que Gould

Voila je vous le redis dans une langue que j’espère vous comprendrez !
PS : C’est de la spiritualité ! de l’esprit, et j’espère que vous aurez cette langue enfin cette capacité spirituelle pour comprendre ce que traite le Rabbin Noah WEINBERG
- http://www.lamed.fr/
www.lamed.fr
articles rabbin Noah WEINBERG
http://www.lamed.fr/search/aish_search.asp?SearchString=rabbin+noah+ weinberg&Action=Go


Connais-toi toi-même par le Rabbin Noah WEINBERG


par le Rabbin Noah WEINBERG Connais-toi toi-même

Vous est-il arrivé de monter dans une rame de métro pour vous apercevoir au bout d'un instant que vous aviez pris la mauvaise direction ?
Il se passe un peu la même chose dans la vie, quand pour tel ou tel projet, nous nous rendons compte que nous faisons fausse route.
L'expression Bébinat halev signifie " compréhension du cœur ". Le cœur est le siège de l'affectivité et comprendre son cœur c'est connaître son être profond. Ne dit-on pas : avoir " le cœur lourd ", " le cœur léger ", " le cœur brisé " etc ?
Beaucoup d'entre nous se trompent sur ce qu'ils sont, faute de prendre le temps de se connaître eux-mêmes. Il ne faut pourtant pas redouter de découvrir son vrai " moi " .
Souvent, à mi-chemin de sa vie, survient chez l'être humain cette crise existentielle qui le fait s'interroger sur ce qu'il a fait de sa vie. Il arrive même que cette remise en question le pousse à tout plaquer : job, femme, enfants...
Alors pourquoi attendre la crise ?
Se connaître est l'essence même de la vie. L'ignorer n'est pas vivre. Si vous ne comprenez pas comment vous fonctionnez, vous êtes un robot, une marionnette, tout au plus un zombi.
La vie est trop courte pour prendre le mauvais train.
Aller à l'essentiel
Essayez de deviner : c'est quelqu'un que vous adoreriez rencontrer et connaître sous tous ses aspects. Vous ne voyez pas ?
Eh bien, vous ! Vous êtes la personne la plus admirable que vous puissiez rencontrer !
Alors on se dit bonjour, on fait les présentations. Essayez de devenir intime avec vous-même. Faites comme si vous retrouviez un ami perdu de vue. Interrogez-vous sur votre vie, vos projets. Parlez de vos rêves, de ceux que vous allez réaliser comme de ceux qui sommeillent dans un coin de votre tête.
Commencez par le commencement. Vous rêvez de richesse, de célébrité, d'être quelqu'un de bien ? Vous voulez faire de grandes choses, avoir un but dans votre vie ? Pourquoi ? Qu'est-ce qui vous fait avancer ? Que recherchez-vous?
L'auto-découverte passe par une série d'interrogations qui feront émerger la vérité. Posez-vous les dix questions qui vous aideraient à mieux connaître un ami. Attendez les réponses. N'ayez crainte, il n'y a personne pour se moquer de vous.
1. Quel est le but de la vie ?
2. Quel est le but de ma vie ?
3. Pourquoi ai-je choisi ce métier ?
4. A quoi est-ce que je consacre mon temps libre ?
5. Quelle est ma motivation à ce que je fais ?
6. Qu'est-ce qui me rend vraiment heureux ?
7. Est-ce que je suis heureux ?
8. Riche ou heureux ? Quel est le plus important ?
9. Quels sont mes projets ? Pourquoi ?
10. Quels sont mes rêves secrets et mes ambitions ?
Les réponses ne viennent pas de suite ? Normal. Elles peuvent même prendre des mois. Mais n'abandonnez pas et vous découvrirez ce que vous êtes. Les réponses viennent difficilement ? Après tout, c'est tout naturel, vous n'êtes pas une personne banale !
En fait la question de fond est :
Pourquoi je vis ?
C'est tout bête, et pourtant très déstabilisant. En nous une voix murmure : " C'est une question trop difficile, trop fondamentale. " Une résistance se dresse face à l'immense travail d'introspection que cela implique. Pourtant, il n'y a qu'en se connaissant que l'on peut se changer et changer sa relation au monde.
Prendre ses décisions en toute confiance
On hésite souvent à prendre des décisions car on a peur de commettre une erreur, et l'on a tort, car c'est l'incapacité de prendre des décisions qui est la plus grande erreur.
Si un mendiant reçoit une lettre lui annonçant qu'il a hérité d'un milliard, tant qu'il n'a pas lu la lettre, il est toujours un mendiant.
De même, D.ieu nous a donné le libre arbitre pour faire des choix de vie et s'élever, mais tant que nous n'en sommes pas conscients, nous ne le possédons pas vraiment. C'est pour cela qu'on accuse les autres de ses ennuis, alors qu'on était maître de décider.
Ne pas utiliser son potentiel, c'est le gâcher. Savez-vous quel est votre potentiel ? L'avez-vous déjà mis en oeuvre ? Vous voulez vous battre, n'est-ce pas ? Vous voulez être acteur de votre vie et pas simple spectateur ? Alors, entrez dans la vraie vie qui consiste à ne pas se laisser aller au gré des événements.
Faites la différence entre une décision réfléchie et un choix dicté. Est-ce bien vous qui avez décidé d'entrer à l'université ou était-ce pour faire comme tout le monde ? Aviez-vous sérieusement fait le tour de la question avant de conclure par un oui ?
Voici le discours intérieur que vous auriez pu vous tenir :
Pourquoi est-ce que je veux entrer à l'université ?
Pour avoir un diplôme.
Pourquoi ?
Pour pouvoir intégrer une grande école.
Pourquoi ?
Pour avoir un bon boulot.
Pourquoi ?
Pour rembourser l'emprunt pour payer mes études !
Grâce à ce petit questionnaire, nous venons de mettre en évidence l'irrationnalité de la démarche. La première raison de la décision doit être le désir d'acquérir une bonne formation.
Faites de même pour la question :
Pourquoi est-ce que je veux me marier ?
Attention ! Pas de réponse du tac au tac. Opposez toujours un pourquoi. Soyez franc avec vous-même, direct dans vos interrogations, patient et insistant vis à vis des réponses. Vous verrez, une réponse viendra.
Lorsque vous analysez sérieusement un problème, vous êtes sûr de prendre de sages décisions.
Essayez de cerner votre manque de confiance. Déterminez ce qui vous rend nerveux et dans quelles situations vous n'êtes pas vous-même. Qu'est-ce qui entrave votre prise de décisions ? Est-ce le manque d'habitude ? Ou est-ce la peur de regretter ? A moins que ce ne soit la paresse ?
Prendre des décisions doit être un plaisir. C'est notre moyen d'action sur le monde et la meilleure preuve que nous aimons la vie !
Identifier ce qui vous retient
Chaque fois qu'un but vous semble difficile à atteindre, essayez de discerner ce qui vous freine.
Chacun a ses problèmes. En être conscient permet de mieux se comprendre. Si vous n'affrontez pas les difficultés, elles vous empoisonneront inexorablement.
Jetez sur le papier ce qui vous arrête.
C'est déjà un pas important. Définir les obstacles, c'est les matérialiser et par conséquent faciliter la recherche de solution.
Demandez-vous :
• Suis-je suis paresseux (e) ? Pourquoi ?
• Suis-je désorganisé(e) ? Pourquoi ?
• Suis-je coléreux(se) ? Quand ?
• Suis-je sur la défensive ? A quel propos ?
• Qu'est-ce qui me rend jaloux(se) ?
• Qu'est-ce qui me rend arrogant(e) ?
• Ai-je du mal à prendre une décision ? Pourquoi ?
• Est-ce que je manque d'autodiscipline ?
• Est-ce que je manque de confiance en moi ?
• Pourquoi ai-je du mal à prendre des initiatives ?
Les mauvais traits de caractère sont la source des difficultés. Dressez une liste de vos défauts et dépistez les plus gênants. Recherchez ensuite ce qui les éveille. Enfin mettez au point une stratégie pour les contrer.
Il est vrai que cette démarche prend du temps, mais avez-vous quelque chose de mieux à faire dans les minutes qui viennent ?
Décodez vos émotions
Soyez à l'écoute de vos états émotionnels. Sachez décoder ce que vous ressentez. Content ? Enervé ? Tendu ? Triste ? Les émotions sont le témoin de ce qui se passe en nous. C'est comme la température, lorsqu'on est malade, on la mesure pour savoir comment se soigner.
Identifiez ce qui vous contrarie. Qui ou quoi ? Est-ce un problème intérieur ou extérieur ? Par exemple, vous êtes irrité :
Pour quelle raison ?
Parce que mon patron m'a en....
Alors, pourquoi suis-je irrité ?
Parce que je lui en veux.
Et alors ! En quoi cela m'ennuie ?
Je me sens nul.
En fait, c'est lui qui est nul !
Remontez ainsi l'enchaînement de vos sentiments. Si vous ne le faites pas, vous allez rentrer et inmanquablement vous mettre à hurler sur les enfants.
Une fois que vous avez identifié la cause de votre malaise, relativisez. A l'avenir vous devrez, soit éviter certaines situations, soit apprendre à les gérer.
Apprenez également à éliminer les motivations négatives qui influent sur votre comportement. Exemple : Vous donnez de l'argent à une œuvre de charité. Quelles sont vos motivations ? : vous voulez aider l'humanité. Vous aimez agir. Vous pensez faire votre devoir ? Toutes ces motivations sont positives. Par contre, si c'est pour susciter l'admiration, votre motivation est négative, car elle est intéressée. Les motivations de cet ordre sont destructrices.
La prochaine fois que vous ferez un don, faites-le anonymement.
Faites attention également aux émotions positives. Méfiez-vous de l'influence de votre état émotionnel sur votre prise de décisions. Ainsi, n'achetez jamais une nouvelle chaîne hi-fi le jour où vous êtes d'humeur euphorique. Attendez. Réfléchissez. Ce jour-là, vous êtes trop " vulnérable ".

Mettez le doigt sur ce qui vous rend heureux, afin de renouveler le plus possible les occasions de l'être. Par exemple, certains matins vous vous réveillez en pleine forme, plein d'optimisme pour la journée qui commence. Conditionnez-vous pour retrouver cet état d'esprit les matins suivants.
Un autre exemple : vous avez bien travaillé et votre patron vous complimente. C'est très bien mais, avez vous vraiment besoin de ce compliment ? Non. La satisfaction du travail bien fait doit suffire.
Etre attentif aux deux faces de notre être
Nous rêvons tous de grandeur. On veut réussir, être puissant, et même sauver le monde.
Mais nous avons aussi tendance à fuir les responsabilités et à vouloir rester plus longtemps sous la couette.
Quelqu'un peut dire que la vie est belle et ne pas le ressentir vraiment. Il est comme tiré en arrière par ses états d'âme et tourne en rond en répétant que la vie est dure.
Un volcan de contradiction couve. Essayez de le sonder. Il y a opposition entre ce que l'on veut vraiment et ce que l'on croit vouloir. C'est le conflit de l'âme et du corps.
Quand vous aurez pris conscience de cette dichotomie, vous serez en toutes circonstances, en mesure d'identifier qui, de votre âme ou de votre corps, se manifeste. Vous vivrez ainsi plus intelligemment et serez sûr de faire les bons choix.
L'étape suivante est de réconcilier ces deux facettes en vous. Le moyen le plus simple serait d'étouffer votre pulsion de grandeur. Mais, il ne s'agit pas de se suicider. Changer ses habitudes n'est pas facile et grandir peut faire peur. Pour autant, ce n'est pas parce que la chose est difficile qu'elle ne vous convient pas.
Prenons un exemple : de la richesse et du bonheur, qu'est ce qui vous importe le plus ? Le bonheur bien sûr. Mais imaginons le dialogue suivant :
" Bon, je vais t'apprendre comment atteindre le bonheur. Ca demande juste un petit effort et du changement. "
" Je veux bien, mais pas tout de suite. J'ai un avion à prendre. "
"Ah ! Et qu'est-ce que tu dirais si je te payais 50 000 F par semaine pour t'enseigner le bonheur ? "
" Pas de problème. Je signe où ? "
" Mais ne viens-tu pas de me dire que tu ne pouvais pas tout de suite..."
En fait, nous masquons les problèmes en nous justifiant a posteriori: " Je ne vais pas me prendre la tête à réfléchir sur le sens de la vie ! Personne n'a jamais élucidé la question. D'ailleurs qu'est-ce que ça va apporter ? Et puis, qu'est-ce que ça peut me faire ? Je n'ai pas de temps à perdre. "
Les Sages expliquent qu'une personne ne peut fauter que si un esprit de folie s'est emparé d'elle. Soyons conscients que nous nous battons contre la folie. Soyons vigilants, car si l'on quitte la route, on risque de le payer très cher.
Alors, d'accord pour le changement ? Qu'est-ce qui vous retient ? Sentez-vous l'antagonisme de votre corps. Le corps est paresseux, il n'aspire qu'à dormir : " Le changement ? Pouah ! Pas pour moi merci ! Je suis très bien comme ça. Ma petite vie me convient parfaitement ". Pourtant, de la même façon que l'on n'est jamais assez riche, est-on jamais assez heureux ?
Voyez-vous à présent la nécessité qu'il y a à débusquer la bête qui vous harcèle : la peur du changement.
Si vous êtes vigilant et que vous avez repéré l'ennemi, vous pouvez le combattre. Il peut vous arriver de perdre une bataille contre votre être corporel, mais alors vous agirez en connaissance de cause.
Amadouer l'être corporel
Essayez d'atteindre votre être spirituel. Décidez de ce qui doit vous guider. Le libre arbitre ne doit pas rester au niveau de l'inconscient. Vous voulez grandir, mais le corps se montre récalcitrant ?
Pour le convaincre, mettez en relief le bénéfice que vous tirerez de votre changement. " Pourquoi est-ce nécessaire ? Qu'est-ce que cela m'apportera ? " Il s'agit de parvenir à une prise de conscience émotionnelle : " Qu'ai-je à perdre ? Qu'ai-je à gagner ? " C'est ainsi que l'idée fera son chemin et que vous vaincrez.
Le secret, c'est de justifier l'idée et d'y amener votre cœur en douceur. Exemple : si vous êtes intimement persuadé qu'il vous faut être en forme, la fièvre et les palpitations seront sans effet sur vous, car vous avez décidé ce que vous vouliez.
Pour parer toute contre-attaque, votre for intérieur doit être en complet accord avec le changement décidé. Rassurez votre corps. Cajolez-le : " Tu verras, ça ira. Rappelle-toi la dernière fois que tu as fait un effort, comme tu t'es senti bien après ! " Soyez encourageant et récompensez-vous de votre succès.
Et tant que vous n'avez pas fait l'effort, ne dites pas que ça ne marchera pas. Ne renoncez pas sur une simple intuition.
Soyez attentif à l'influence sur vous de certaines pulsions : la quête de confort, le respect de soi, l'honneur, les passions, la pression sociale, l'argent. Faites particulièrement attention à faire face à vos responsabilités. Quand nous commettons une erreur, nous voulons nous excuser de manière franche et honnête. Mais, nous sommes également tentés de faire comme si de rien n'était et de nous défiler en disant " C'est pas de ma faute. "
Là est la source du conflit. On veut être dur, battant, puissant quand d'un autre côté on se contenterait bien d'être une chiffe molle. Suivre la voie indiquée par l'âme ne va pas de soi. Cela demande beaucoup de temps et d'efforts.
Savoir ce que l'on veut
Comprendre une idée ne signifie pas qu'on est capable de la mettre en pratique. Il est tout à fait possible de croire en quelque chose et d'agir de manière opposée, et cela nous arrive quotidiennement. Ne savons-nous pas parfaitement qu'il est important de manger sainement, quand nous engloutissons notre énorme assiette de frites ou notre géante barre chocolatée ?
Nos actes sont déterminés par notre degré de clarté d'esprit. Si nous appréhendons l'idée au premier degré, nous aurons toutes les difficultés à la mettre en pratique dans des conditions épineuses.
Avez-vous remarqué, lors de funérailles, comme les gens se mettent à pleurer au moment de la levée du corps. Est-ce parce qu'ils ne veulent pas que le corps s'en aille ? Non. Ils prennent soudainement conscience de la mort, et du départ définitif du défunt. Au cimetière, ils se remettent à pleurer au moment où le cerceuil est mis en terre, car ils sentent alors que tout est bien fini.
Tant qu'il y a un décalage entre les sentiments et la réalité, on est sur un petit nuage. Grandir commence dans l'esprit, mais le cœur doit s'investir dans chaque nouvelle découverte de l'intellect. C'est à cette condition qu'on peut intégrer ces idées dans sa propre existence.
On trouve insensé que tant de gens croient en D.ieu mais lui accordent si peu de place dans leur vie. Ce que nous tenons pour vrai ne doit-il pas faire partie de nous ?
Connaissez-vous comme votre main.
Comment savoir que vous êtes sur la bonne voie ? Comment être sûr de ne pas vous tromper ?
Pour développer cette capacité de discernement, formulez clairement les principes importants qui doivent diriger votre vie. Dans le judaïsme par exemple, nous supposons qu'aimer son prochain est une obligation. Est-ce réaliste ? Débattez de la question avec vous-même :

" C'est ridicule, on ne peut pas forcer à aimer. "
" Si j'ai des enfants un jour, est-ce que je les aimerai ? "
" Bien sûr ! "
" Qu'est-ce que j'en sais ? Je ne sais pas ce qu'ils seront. Ce seront peut-être des sales mômes. "
" Je les aimerai. On doit aimer ses enfants. "
Intuitivement vous savez qu'aimer est une obligation, mais l'idée n'est pas simple à concevoir.
Alors, prenez votre temps. Analysez les concepts primordiaux de la vie et posez-vous des questions profondes sur l'existence en général et sur son aspect spirituel :
- Quel est le sens de la vie ?
- Quel est l'intérêt ?
- Qu'est-ce que je pense des hommes ?
- Qu'est-ce que la vie après la mort ?
- Que signifient le bien et le mal ?
- Ai-je un libre arbitre ? Comment est-ce que je l'exerce ?
- Qu'est-ce qui m'attriste ?
- Et D.ieu dans tout ça ?
- Suis-je fier d'être juif ?
- Comment je comprends l'holocauste ?
Certaines de ces questions vous sont désagréables ? Pourquoi ? Essayez d'analyser.
Ne resservez pas les idées reçues, sinon ce sera juste du bavardage. Nous avons absorbé, sans les analyser, tant d'idées toutes faites.
Vérifiez. Prenez tous les sujets à bras le corps, jusqu'à ce que vous en soyez complètement maître. Une personne qui sait où elle veut aller y parvient toujours. C'est comme un missile, s'il est correctement programmé, il atteint sa cible.
Pourquoi la connaissance de soi est-elle un élément de la sagesse ?
• Vous saurez la vérité si vous regardez en vous avec honnêteté.
• Les émotions sont des moteurs importants de l'accomplissement se soi. Connaissez-les et employez-les à bien.
• Sachez identifier les problèmes, c'est déjà un début de solution.
• Si vous ne vous y mettez pas maintenant, vous allez au devant de graves erreurs.
• Ne craignez pas de découvrir qui vous êtes vraiment.
• Votre libre arbitre est un outil qui vous permettra de vivre plus pleinement.
• Quand vous êtes contrarié ou en colère, tâchez de remonter à la source de votre malaise.
• Quand vous avez tort, reconnaissez-le.
• La clé du bon sens est d'introduire la vérité dans l'être corporel.
• N'attendez pas pour faire connaissance avec vous-même. Vous êtes la personne la plus fascinante que vous rencontrerez jamais.
Traduction et Adaptation de Béatrice Cohen-Solal


Le rabbin Noah WEINBERG est le doyen et le fondateur de Aish HaTorah International. Au cours des 40 dernières années, ses programmes éducatifs imprégnés d’intuitions visionnaires ont rapproché de leur héritage des centaines de milliers de Juifs



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articles rabbin Noah WEINBERG
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Rabbin Benjamin RINGER, Avez vous jamais discute du probleme intitule “Qui est juif” “Qui est Hebreu“ ?
Je voudrais moi aussi donner ma réponse, ou plutôt vous rappeler que pour quiconque possède de bonnes notions de la Tora Ecrite et Orale, la question ne se pose pas. Je ne parle pas du fameux principe selon lequel être né d'une mère juive ou avoir eu une conversion légale sont les préliminaires à un engagement juif ; pas non plus de la réalisation des mitsvoth qui en est l'expression pratique, mais des fondements mêmes de cet engagement.

On pourrait lire par exemple les Treize Principes de Maïmonide ou le bilan moral qu'il expose dans le troisième chapitre des "Lois de la Techouva" (retour vers D'eu).

Avant que le problème ne devienne l'objet de réunions de salon, de tels textes avaient statut de références incontestées. Mais laissons ces lectures à ceux qui veulent s'informer sérieusement.

Rappelons pour notre part cette histoire que nous tenons de notre plus tendre enfance :

Il y a quatre mille ans, vécut un petit garçon fort tourmenté. Il ne parvenait pas à comprendre pourquoi il était le seul à se poser des questions. Il avait comme les autres adoré le soleil, mais avait cessé de le servir dès lors qu'il s'était aperçu que la lune prenait sa place pendant la nuit. Il était émerveillé devant les forces de la nature, mais il ne pouvait se résoudre à leur vouer un culte comme tout le monde.

Car Abraham concevait que le sens de la vie pût se trouver en dehors de sa petite personne. Il ne saisissait pas comment les hommes pouvaient se complaire dans une adoration arbitraire.

Jugé mécréant par son père, il dut comparaître devant le grand monarque Nimrod. Celui-ci le somma : "Prosterne-toi devant le feu !

- Plutôt devant l'eau qui éteint le feu ! rétorqua l'enfant.

- D'accord si c'est là ton choix.

- Mais les nuages portent l'eau !

- Ce sont donc les nuages qui t'inspirent ?

- Non, je préfère l'air qui disperse les nuages.

- Alors, ton option est-elle faite maintenant ?

- Impossible, puisque l'homme est porteur d'air.

- Trêve de paroles ! Mon dieu c'est le feu, et on verra bien si le tien pourra t'en sauver si je t'y jette."

Des confrontations de ce genre ne firent qu'affermir Abraham dans ses convictions. Il comprit que ce n'était pas lui qui avait un esprit étrange, mais bien le monde qui manquait d'audace pour admettre une vérité pourtant évidente.

Il lui apparaissait clairement à présent qu'il y avait un D'eu universel en fonction duquel il voulait établir sa vie, un D'eu omniprésent quoique invisible. Si les gens avaient peine à l'imaginer, c'était parce que les rois et les mages prenaient sa place. Oui, c'était la peur et le mensonge organisé qui entretenaient ces croyances insensées, peur des hommes d'assumer leur propre vie et connivence des prêtres et des rois pour canaliser leur recherche vers un culte sécurisant et abrutissant.

La vérité dont les gens parlaient était d'un tout autre genre que celle qu'il avait découverte : elle était le produit de statues et d'édifices, de manifestations populaires et de niaiseries répétées par le clergé et le pouvoir.

Il eut plus tard des révélations prophétiques qui vinrent compléter ses recherches. Il apprit du reste que l'humanité n'avait pas totalement perdu sa tra-dition monothéiste : il existait encore des hommes comme Malkitsédeq qui se disait prêtre de Qel 'Eliyone, du D'eu suprême (Genèse chap. 14, vers. 18).

Pourtant, Abraham, lui, appelait l'Etre suprême d'un autre nom : Qel 'Olam, D'eu du monde (ib. chap. 21, vers. 33) ou encore "D'eu du ciel et de la terre" (chap. 24, vers. 3). C'est qu'il avait bien compris qu'autant que des monarques comme Nimrod agenceraient la réalité à leur guise, ils seraient toujours capables de fabriquer des "vérités évidentes" si puissantes que dans le meilleur des cas, le D'eu suprême resterait un concept abstrait sans impact réel sur le monde.

Sans engagement concret, la vérité n'a pas de sens. Aussi les mots tsedaqa et michpath - générosité et justice - furent-ils les mots clé du patriarche, et l'essence de ce qu'il comptait transmettre au peuple issu de lui (ib. chap. 18, vers. 19).

Ce peuple, c'est nous.

Nous ne sommes pas le produit de l'antisémitisme ou d'un autre accident de l'histoire. Nous sommes la seule nation tirant son origine de la vision d'un juste, confirmée par son propre engagement et son alliance avec le Créateur.

Tout cela, me direz-vous, remonte en effet à quatre mille ans. Aujourd'hui, le schéma s'est presque inversé. Ce n'est pas au paganisme que le Juif se trouve confronté, mais à un monde de super-rationalité. Le Juif moderne a peut-être plus de difficultés à rejeter les options de son entourage que n'en avait Abraham. Que pourrait-il lui opposer si ce n'est un conditionnement parfait dans une vie rituelle reçue avec le lait ? Ou peut-être faut-il un mysticisme exacerbé pour fonder sa vie sur des valeurs totalement abstraites ?

Nous maintenons pour notre part que c'est la rationalité qui est le fondement essentiel de notre engagement ; qualité que le monde ambiant possède moins qu'il ne l'imagine.

NON, ce n'est pas particulièrement logique de vivre sans s'interroger sur l'origine et l'aboutissement de la vie. A y réfléchir, il apparaît plutôt bizarre de pouvoir passer son existence à poursuivre des biens matériels que l'on achète uniquement parce qu'une firme a décidé d'en vendre, et à briguer des fonctions et des positions dont le sens réside dans l'appréciation sociale...

Nous ne voudrions pas verser dans la banalité en poursuivant ce réquisitoire, et de toute façon, nous nous sommes déjà écartés de notre sujet. Notre propos n'est ni de définir en quoi exactement nous refusons certaines valeurs, ni de circonscrire celles que nous avons à apporter. Ces quelques lignes n'y suffisent pas. Nous voulons montrer qu'à la base des grands choix du judaïsme, il y a une attitude fondamentale. Que le rejet de l'idolâtrie est le refus d'associer des idéologies aux villes, aux pays ou aux rois, et que le choix d'être hébreu commencerait par la capacité et le courage de ne pas se ranger à tous les consensus ('ivri, en hébreu, signifie "de l'autre côté"). C'est un certain scepticisme face aux opinions et aux expressions toutes faites.

Posons-nous une question : Si l'identité juive, fort heureusement, est assumée par un grand nombre d'entre nous, comment se fait-il alors que tant de discours confus et contradictoires soient tenus quant à son contenu ? Est-ce que le monde, qui ne nous a pas fait perdre la notion de notre nom, serait parvenu à le colorer de toutes les idéologies qui ne sont pas les nôtres ?

Avant d'affirmer qu'être juif veut dire avoir un sens viscéral de son existence ou aimer Israël, avoir une histoire commune à d'autres Juifs, ou être le produit de l'antisémitisme, être né de mère juive ou d'assumer des coutumes ancestrales... ne serait-il pas intéressant d'étudier en profondeur ce que le judaïsme a à dire à ce propos ?

Vous êtes peut-être de ceux qui trouvent qu'il est mieux d'être universaliste, rationaliste, socialiste... Pourrais-je vous faire la proposition suivante ?

Plutôt qu'intégrer sans sens critique des idéologies extérieures à la lumière desquelles vous jugez celle qui, selon une recherche méthodique, devrait vous être la plus proche, pourquoi ne pas inverser le processus, et après vingt ans de culture française, sacrifier quelques semaines pour acquérir quelques notions de la notre.



Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Apparemment j'ai fait une méga-gaffe si j'en juge par le ton de tes messages privés, tu es bien francophone désolée. Je sors : de toute façon je suis à la recherche de gens qui ont une pensée personnelle et non qui répètent les cours des rabbanim.

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Je reste coi, de peur d'avoir 50 messages incompréhensibles dans ma boîte.

Je ne comprends d'ailleurs pas comment on peut espérer être convaincant en délivrant des "messages de paix" en forum et des menaces en privé.

Sans parler de la question existentielle que je partage aujourd'hui avec Nath : "pourquoi moi, merde ??"

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