Oy, trop compliqué pour moi aussi... Qu'elle essaye un autre bet din, mais à mon avis le problème vient du fait qu'elle est avec un juif. Maintenant, en Israel, ça sera peut etre plus facile dans un kibbutz religieux, je connais des cas. Ca sera aussi plus facile quand ils auront un enfant, parce que les rabbins "paniquent" et veulent sauver la famille. Je connais aussi des cas. C'est plus facile si la personne avait un interet a la conversion avant de rencontrer le conjoint, mais une fois qu'un enfant est en jeu, c'est de toute façon moins dur. Il y a aussi la possibilité de convertir l'enfant seulement.

Dommage que ceux qui se sentent assez informés pour faire un choix hors de notre Torah, ne le soient pas assez pour savoir ce qu'on peut faire avant, et après ce choix, et viennent après pleurer que leurs enfants ne sont pas juifs.

On se doute de la raison du refus du consistoire voyons, il n'y a pas de conversion dans un but intéressé en l'occurrence un mariage.

Histoire fort regrettable que celle-ci...

Ce que j'en pense ?

encore un gars irresponsable qui se met avec une goya alors qu'en définitive la religion compte pour lui. ben si la religion comptait tant que ça, il ne fallait pas faire perdre 10 ans à la fille.

ta vie n'est pas assez compliqué il faut aussi que tu t'occupes des problemes sans interêts des autres?

Je ne crois pas ce cela soit compliqué si on prend les problemes un par un.

D'abord L'alyah : s'ils désirent vraiment vivre l'un et l'autre en Israel et qu'ils sont mariés alors aucun probleme. Ils peuvent beneficier tous les deux de la loi du retour et aquerrir la nationalité Israelienne. (ils doivent être mariés en france, civilement suffit bien sur puisqu'elle n'est pas juive)

Concernant la conversion, si celle ci s'effectue apres l'alyah, elle se fera en Israel et je ne pense pas que cela lui posera de probleme non plus a condition qu'elle et lui soient sinceres dans leur démarche et que cette conversion s'accompagne d'étude et de pratique.
C'est souvent le probleme de conversion "pour cause de mariage" le conjoint juif ne pratiquant pas totalement lui même la religion juive, le candidat à la conversion n'a qu'une vision partielle et biaisée du Judaïsme.

Quand a la décision du consistoire elle peut souvent se comprendre par la motivation de la conversion. Si la conversion est motivée par le mariage avec une personne, alors si jamais il survient un divorce le judaïsme n'aura plus de raison dêtre pour le converti.