coin poesie

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

C'est la danse des canards
Qui en sortant de la mare
Se secouent le bas des reins
Et font coin-coin
Fait's comme les petits canards
Et pour que tout l'monde se marre
Remuez le popotin
En f'sant coin-coin
A présent claquez du bec
En secouant vos plumes, avec
Avec beaucoup plus d'entrain
Et des coin-coin
Allez mettez-en un coup
Maintenant pliez les g'noux
Redressez-vous...


Tournez c'est la fête
Bras dessus-dessous
Comm' des girouettes
C'est super chouette
C'est extra-fou...

C'est la danse des canards
Les gamins comme les loubards
Vont danser ce gai refrain
Dans tous les coins
Ne soyez pas en retard
Car la danse des canards
C'est le tube de demain
Coin-coin, coin-coin
Il suffit d'fermer le bec
En mettant ses plumes au sec
Pliez les genoux c'est bien
Et faites coin-coin
Ca y est vous avez compris
Attention c'n'est pas fini
Nous allons jusqu'au matin
Faire des coin-coin

C'est la danse des canards
Qui en sortant de la mare
Se secouent le bas des reins
Et font coin-coin
A présent claquez du bec
En secouant vos plumes avec
Avec beaucoup d'entrain
Et des coin-coin
C'est la danse des canards
C'est dément et c'est bizarre
C'est terribilos comm' tout
C'est dingue, c'est tout
Allez mettez-en un coup
On s'amus' comm' des p'tits fous
Maintenant pliez les g'noux
Redressez-vous...

C'est la danse des canards
Qui en sortant de la mare
Se secouent le bas des reins
Et font coin-coin
Fait's comm' les petits canards
Et pour que tout l' monde se marre
Remuez le popotin
En f'sant coin-coin
C'est la danse des canards
Les gamins comm' les loubards
Vont danser ce gai refrain
Dans tous les coins
Ne soyez pas en retard
Car c'est la danse des canards
C'est le tube de demain
Coin-coin coin-coin
(Et c'est la fin).


Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Mmdrr TWINGO2 !!!

Tu m'en as bouché un coin ! :p


Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

C'est deux poèmes que j'ai écrit il y a quelques mois...

Si quelqu'un pourrait m'aider à les arranger un p'tit peu, ce serait gentil... ;-)




Rester éveiller durant cette douce nuit
Pour contempler la lune à moitié endormi
Traversé par la brume ce symbole qui me fuit
Ressurgit dans la nuit, apaise mes ennuies


Ce souvenir hanté par cette lyre avanie
M'arrache cruellement dans cette lutte sans merci
De mon rêve enchanté lors de ces douces nuits
Sans comprendre pourquoi j'ai agi ainsi


Comprendre ma peine, enfin y remédier
Sans pour autant finir à s'en acquitter
Espérant sincèrement qu'elle se sauve à jamais
J'aperçois avec peine la belle nuit éclairée


Ce fût la dernière fois que je la regarda
Attaché par des cordes ma voix s'y transforma
En un soupir ardent qu'elle seule envouta
Dans ce simple élan je la perdis deux fois







Lâs de cette triste solitude
Tu m'éxilas de ta gratitude
Cet affront là fût le plus rude
Ma vie sans toi n'est qu'une inquiétude


C'est cette nuit là que j'ai pleuré
Jusqu'à maintenant j'ai regretté
De larmes de sang j'ai versé
Jusqu'à quand je sangloterais


Et le soleil s'est alors levé
Réveillant en moi une trace du passé
Avec ton coeur je danserais
Sans refléchir à ce qui s'était passé


Mais aujourd'hui tout est finit
Cette vie d'amour je l'ai compris
N'étant qu'un rêve, toi tu en ries
Ce chant pour moi est une agonie



"Copyright bien sur ! :p"

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

"et puis chépas que'est ce qui se passe, t'as ce regard dans la face ..."

tain j'adore la polésie

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

C'est du quatrième degré ces "poésies" ? P..... j'oserais pas... pire keu de publier ma gueule de colin pané !

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

twingo2,
c'est une chanson connue ca, tu m'as pas eu (rire rire), j'ai devine la danse des canards... pas mal quand meme

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Ah ouais c'est comme ca ?! vous allez vir ca! (vous verrez ca demain!)

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

chose promise chose due

De toutes ces choses en lesquelles j'ai cru
je voudrais juste pouvoir y échapper
les larmes au bord des yeux mais je ne pleure pas
comptant les jours qui passent
je cherche au plus profond de mon âme
les mots que j'entends me semblent être vieux
me faisant sentir que tout va recommencer
ces trois dernières années étaient juste une répétition
et je te dis
au revoir
au revoir à tout ce que j'ai connu
tu as été le seul que j'ai aimé
la seule chose à laquelle je tenais
j'ai pris l'habitude de me perdre dans tes yeux
j'ai l'impression que je ne pourrais pas vivre un seul jour sans toi
fermant les yeux
tu chasses mes pensées là ou je suis aveuglée
par la lumière mais ce n'est pas juste
et je te dis
au revoir
au revoir à tout ce que j'ai connu
tu es le seul que j'ai aimé
la seule chose à laquelle je tenais
et ca me blesse de vouloir tout et rien en même temps
je te veux mais je ne veux pas recommencer
au revoir
au revoir à tout ceux que j'ai connu
tu es le seul que j'ai aimé
la seule chose à laquelle je tenais
tu es ma lumineuse étoile

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

tris c'est la chef du coin poesie. bravo. j'ai adore. super

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Je remercie Madame Afriat ,professeur de Français , pour nous avoir fait connaître ce grand chanteur et sa chanson :


Nuit et brouillard

Paroles et Musique: Jean Ferrat





Ils étaient vingt et cent, ils étaient des milliers
Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés
Qui déchiraient la nuit de leurs ongles battants
Ils étaient des milliers, ils étaient vingt et cent

Ils se croyaient des hommes, n'étaient plus que des nombres
Depuis longtemps leurs dés avaient été jetés
Dès que la main retombe il ne reste qu'une ombre
Ils ne devaient jamais plus revoir un été

La fuite monotone et sans hâte du temps
Survivre encore un jour, une heure, obstinément
Combien de tours de roues, d'arrêts et de départs
Qui n'en finissent pas de distiller l'espoir

Ils s'appelaient Jean-Pierre, Natacha ou Samuel
Certains priaient Jésus, Jéhovah ou Vichnou
D'autres ne priaient pas, mais qu'importe le ciel
Ils voulaient simplement ne plus vivre à genoux

Ils n'arrivaient pas tous à la fin du voyage
Ceux qui sont revenus peuvent-ils être heureux
Ils essaient d'oublier, étonnés qu'à leur âge
Les veines de leurs bras soient devenues si bleues

Les Allemands guettaient du haut des miradors
La lune se taisait comme vous vous taisiez
En regardant au loin, en regardant dehors
Votre chair était tendre à leurs chiens policiers

On me dit à présent que ces mots n'ont plus cours
Qu'il vaut mieux ne chanter que des chansons d'amour
Que le sang sèche vite en entrant dans l'histoire
Et qu'il ne sert à rien de prendre une guitare

Mais qui donc est de taille à pouvoir m'arrêter ?
L'ombre s'est faite humaine, aujourd'hui c'est l'été
Je twisterais les mots s'il fallait les twister
Pour qu'un jour les enfants sachent qui vous étiez

Vous étiez vingt et cent, vous étiez des milliers
Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés
Qui déchiriez la nuit de vos ongles battants
Vous étiez des milliers, vous étiez vingt et cent.


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