ilanith13:
je lui ai juste dit que j'adorais tt ce qu'elle representais a mes yeux (un model a suivre) mais que je comprenais pas son attitude du jour, d'un coté cacher ce qu'il y a cacher, et de l'autre s'exhiber de la sorte, que a mes yeux c t contradictoire c tt.
parce qu'entre nous soit dit elle faisait expres, et je ne comprend pas pourquoi agir de maniere convenable un jour et toute sa vie 'aillers et un jour ca lui prend de faire n'importe koi, evidement je me suis exprimée plus poliment que ca et plus justement aussi, parce qu'elle n'entedait pas mais les gens ont beaucoup parlé sur elle en mal et j pense qu'il etait de mon devoir de lui dire, maintenant elle m'a decu avec sa reaction je pensais qu'elle vallait mieux que ca
tant pis le temps passe et les differents s'estompent, mais bon voila c dommage

chat_noir:
une touche d'humour!!!!!!!!! je suis epaté!!!!
blague a part, ton post n'est pas si denoué de sens que ca!!!
en espérant que tu aies passé de bonnes fetes de pourim
bye

Comment réagir quand on entend du mal de son prochain ?


C'est une obligation de la Torah de juger son prochain avec indulgence comme il est dit: "Avec justice tu jugeras ton prochain" (Lévitique 19. 15). Même quand il y a peu de chances de trouver un mérite pour certaines actions ou paroles, on doit néanmoins chercher à les expliquer dans le bon sens. Quand on dit du mal d'une autre personne, même si le racontar est vrai, l'auditeur ne doit pas l'écouter; et s'il montre par son attitude qu'il croit à ce qu'on lui dit, il enfreint l'interdiction "d'écouter la médisance". C'est pourquoi on ne doit pas y croire et l'on doit montrer qu'on doute de certains détails ou de toute l'histoire et on affirmera une fois pour toutes qu'on n'est pas intéressé par une telle conversation. Le Baal Chem Tov disait: "Quand on entend du mal d'un autre Juif, même si on ne le connaît pas, on doit ressentir une grande souffrance: si la chose est vraie, ce Juif est dans une situation peu enviable; et si elle n'est pas vraie, alors c'est celui qui raconte qui est à plaindre!" Rabbi Chnéour Zalman de Lyadi, dans le Tanya, affirme qu'il est interdit même de penser du mal de son prochain, et que "si une telle pensée vient à l'esprit, il faut la repousser comme si c'était une envie de pratiquer l'idolâtrie". Cette loi s'applique aussi à ce qui est colporté par les médias parlés, écrits ou électroniques, bien sûr.
(d'après Rav Yossef Guinzbourg)

nessahaim
il fau osi bien juger les gens parce ke plu tar , kan on sra mort koi , on vera un "film" de notre vie (san savoir ke c la notre) et on devra la juger...
on la jugera selon labitude kon a a juger les persones!

alor jugez bien les gens! ! !

Si la critique n'a pas ete accepte par cette jeune personne c'est qu'elle se savait fautive, et le fait de le lui avoir fait remarque la mise encore plus mal a l'aise, mais tu n'as rien a te reprocher !!