DEVOIR DE MEMOIRE

Ancien utilisateur
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Dr Slump
"Kiwi ils se rendaient compte de ce qu'ils faisaient , il n'y aucune mais absolument aucune excuse à leur trouver ! "
ça n'excuse rien mais il faut tenir compte du contexte et de l'antisémitisme d'une grande partie de la société française surtout la bourgeoisie. il faut quand même savoir que dans un famille comme celle de De Gaulle on lisait l'action française. et je ne suis pas sûre que si les allemands s'étaient contentés de massacrer les juifs sans toucher à la France De Gaulle aurait trouvé qqch à y redire... donc finalement, je crois pas qu'il y ait une si grande différence que ça entre la mentalité des collabos de l'administration française sur ce point et CERTAINS résistants (pas tous of course) mais bcp étaient resistants pour des raisons qui n'avaient rien à voir avec les juifs ou le fascisme mais par nationalisme et refus de l'occupation...

Ancien utilisateur
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j'ai regardé une emission avec Jorge sumprun comme invité en autre qui disait très justement qu'il ne faut pas parler de devoir de mémoire pour les nouvelles générations, mais un devoir de connaissance. Ce devoir de connaissance doit se faire par les lectures, les médias et les films ou documentaire.

Il disait aussi que cette comémoration des 60 ans sera la dernière en tant que telle, puisque dans dix ans en principe plus aucun survivants des camps de la mort ne seront présents.

Ancien utilisateur
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"Il y a ceux qui savaient, qui n'ont aucune excuse, et il y a ceux qui obéissaient à un régime nazi sans comprendre"

Je suis désolé mais presque tout le monde savait.Sincerement prend n'importe quel allemand par exemple à cette epoque : meme s'il est tres simplet peut etre qu'il ne sera pas qu'on emmene les Juifs dans des camps de concentration ou d'extermination (et encore...) mais il va bien voir qu'on qualifie les Juifs de races inferieurs etc... Il va bien voir qu'on leur a volé tous les bien sans raisons des le debut ,qu'on les a foutu hors de chez eux et qu'on les tuaient aussi sans raisons !

"ça fait plus de 20 ans que je vois des films, docus, livres, et que j'écoute mes grands parents et arrières grands parents (qui ont fait la guerre et sauvé des juifs, oui oui), etc..."
Et alors dans tous les docu que tu vois on dit "Les gens obeissaient sans comprendre" ? Et puis je vois pas trop le rapport mes grand parents sont Juifs Polonais et toute la famille du coté de mon grand pere a disparu et une bonne partie du coté de ma grand mere aussi (casiment tous en fait à part ceux qui avaient reussi à aller vivre aux USA avant) alors moi aussi j'en ai entendu parlé ...

D'ailleurs on pense que beaucoup de survivants n'ont jamais voulu parlé de ca parceque c'etait trop dur pour eux dans parler mais c'est faux : Au debut ils voulaient en parler mais beaucoup ne voulaient pas les écouter ou faisaient encore semblant de ne pas les croire par honte !

Les gens savaient tres bien et le fameux "ils obeissaient sans comprendre" est l'argument le plus lache qui puisse exister.

Ancien utilisateur
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par exemple...:

"Auschwitz : le cri de la mémoire"

LEMONDE.FR | 25.01.05 | 14h22

L'intégralité du débat avec Boris Cyrulnik, écrivain et psychanalyste, mardi 25 janvier.

DEVOIR DE MÉMOIRE ET COMMÉMORATIONS

Dabu : On entend parler du nécessaire devoir de mémoire. Ne pensez-vous pas qu'il y a une contradiction entre ces deux termes ?

Boris Cyrulnik : Absolument. Dès l'instant où il y a mémoire, il y a risque de répétition.

Alors que la résilience consiste à faire quelque chose de ce passé. La vengeance est une soumission à la mémoire et une soumission au passé. Il n'y a pas de devoir de mémoire mais, au contraire, il y a le devoir de faire quelque chose de sa mémoire, un projet. Totalement d'accord.

Pierre : Tout le monde se pose la question de savoir si trop de messages sur les camps tue le message. Qu'en pensez-vous ?

Boris Cyrulnik : Je pense qu'une information qui se répète tue l'information. On a connu ça avec la guerre au Liban, cela finissait par provoquer une totale indifférence. Pour qu'une information garde sa valeur de surprise, il faut se décentrer des moyens d'information. Il faut donner des moyens à des historiens, puis à des cinéastes, puis à des romanciers, et c'est comme cela que l'on fait de la culture. C'est en évitant que l'information devienne un anesthésique.

Dabu : La résilience concerne-t-elle les survivants, les enfants des survivants. Je pense à Maus, d'Art Spiegelman, où l'auteur évoque la difficulté à venir après ?

Boris Cyrulnik : Oui. La résilience concerne tous ceux qui sont blessés et qui se débattent pour s'en sortir. Cela concerne ceux de la première génération et les enfants de blessés qui prennent une part de la blessure de leurs parents. C'est-à-dire que les blessés ont dû un jour affronter le trauma dans le réel, alors que les enfants de blessés n'ont pas connu de réel, mais ils n'ont connu que la représentation de ce réel. C'est-à-dire qu' ils recevront une part de traumatisme ou ils recevront la fierté de surmonter le traumatisme, selon la manière dont la culture parle de ce traumatisme.

Elirad_syr : Le projet dont vous parlez peut-il être collectif ? Quelque chose comme l'expression d'une "politique de juste mémoire", comme l'appelait de ses vœux Paul Ricœur ?

Boris Cyrulnik : Le projet est à la fois de la mémoire individuelle qui passe une transaction avec la mémoire collective. Si on a fait taire les déportés des camps, c'est parce qu'ils avaient la mémoire fraîche de la blessure. Cela était incompatible avec le récit que la culture pouvait faire de cette blessure. Il y avait en France en 1946-50 un risque de guerre civile. Sur 40 millions d'habitants, il y avait 600 000 résistants, et 1 Français sur 3 était un communiste aguerri et armé. Ils ont mis longtemps avant de rendre leurs armes. Si, dans ce contexte social et culturel, on avait donné la parole aux survivants, aux revenants des camps, c'était une agression envers Vichy. Donc, risque d'explosion sociale. Tout le monde était dans l'euphorie de la reconstruction, et les revenants, en racontant l'obscénité du réel, gênaient tout le monde.

A corps et à cri : "Le cri de la mémoire" : à vrai dire, comment entendre cela ? Doit-on entendre que la mémoire est réactivée uniquement au moment des commémorations ?

Jmvaslin : Alors que l'information tend à se banaliser (recherche de scoops, d'images spectaculaires) et que l'histoire de la Shoah est essentiellement écrite (de moins en moins de personnes lisent), n'avez-vous pas peur de l'institutionnalisation de ce devoir de mémoire, qui tendrait à laisser la place à des cérémonies figées ?

Boris Cyrulnik : Oui, on a déjà répondu à cette question. L'avantage d'une commémoration, c'est qu'on en fait un jalon social, c'est un repère important pour l'identité collective. Et l'inconvénient de la commémoration, c'est qu'on peut en faire un rituel sans émotion, un stéréotype comportemental.

Claude : Comment a évolué, selon vous, la représentation de la déportation et du génocide depuis soixante ans ?

Boris Cyrulnik : Dans les pays de l'Est, on n'a pas parlé de génocide, ni de représentation du génocide. Encore aujourd'hui, dans l'ex-Allemagne de l'Est, on ne sait pas bien ce qui s'est passé. Pour les pays communistes, la religion était un non-sens. C'est-à-dire qu'à Auschwitz, pour eux, il n'y avait pas de juifs. Il y avait des Français, des Hongrois, mais pas non plus de catholiques. C'est à partir de 1980-85, qu'on a eu le courage d'affronter ce qui s'est passé dans les camps d'extermination.

Vivien : Pourquoi les gens se sont-ils tus ? Ne pouvaient-ils pas parler après tant d'horreur ? Je pense au silence qui a prévalu chez Elie Wiesel.

Boris Cyrulnik : Elie Wiesel dit qu'il lui était interdit de se taire et impossible de parler. Interdit de se taire car il fallait témoigner et impossible de parler parce que l'émotion provoquée par l'horreur était trop grande et que les auditeurs ne pouvaient pas entendre. Donc, les muets parlaient aux sourds.

MÉMOIRE ET CULPABILITÉ

Webjones : Comment concilier un devoir d'exposition répétitive des événements passés et la nécessité de libérer les jeunes Allemands des nouvelles générations d'un sentiment de devoir de culpabilité ?

Boris Cyrulnik : C'est vrai que les jeunes Allemands se sentent coupables alors que, bien sûr, ils ne sont pas coupables. Je pense que la culpabilité est une preuve de morale, c'est une souffrance et en même temps une preuve de morale ; seuls les pervers ne se sentent jamais coupables. Seuls les génocidaires ne se sentent jamais coupables, parce qu'ils sont soumis, avec délices, à un système d'obéissance qui les déresponsabilise.

Laura : Mon grand-père était fonctionnaire à Vichy et j'ai honte aussi. Mais tout le monde aujourd'hui, des parents aux plus jeunes, entretient cette culpabilité. Que faire ?

Boris Cyrulnik : Dans le réel, vous avez tort d'avoir honte. On a tous dans parmi nos ancêtres une reine et une prostituée, un gendarme et un voleur, un intelligent et un idiot. De plus, toute la France était soumise à Vichy. Je pense que Laura avait aussi une autre grand-mère ou un grand-père résistant.

Daniel : Que pensez-vous du rôle du film La Chute, en lien avec l'obligation de devoir de mémoire pour les nouvelles générations allemandes ?

Boris Cyrulnik : J'ai été enchanté par ce film. Je pense qu'il n'y a pas de devoir de mémoire mais un travail à faire avec la mémoire, qu'on soit allemand ou juif, qu'on soit vichyssois ou résistant. Dans La Chute, le film montre une seule idée, le délire d'obéissance, où les Allemands étaient tellement bien organisés qu'ils ne critiquaient même plus. Ils ont tant sacralisé l'obéissance qu'ils ne critiquaient plus. Je pense que le nazisme était une maladie de système qui pouvait atteindre des tas de gens, même les non-Allemands.

Fred : Certains rescapés des camps de la mort, à la libération, ont pu ressentir un sentiment de culpabilité. Comment expliquer cela ?

Boris Cyrulnik : Tous les survivants ont éprouvé un sentiment de culpabilité parce qu'ils avaient presque honte d'être en vie, comme s'ils avaient abandonné leur mort. Dans toute les guerres, on voit cela. Les survivants ont l'impression d'avoir commis la faute d'avoir abandonné leurs proches pour survivre.

Nine : Je suis historienne. Je suis toujours étonnée que l'on demande toujours plus d'information sur tous les événements passés et présents, alors que quand on parle de la Shoah, on nous répond : "Encore la Shoah !" C'est le seul drame pour lequel on se permette de dire "Encore ! C'est bon, c'est fini, on ne va pas en parler pendant des siècles." Que pensez-vous de ce rejet, alors que souvent les gens n'en connaissent que très peu sur le sujet, contrairement à ce qu'ils prétendent ?

Boris Cyrulnik : Je suis totalement d'accord. Cette expression "encore la Shoah !", je l'ai entendue dès 1956 alors que je n'ai jamais entendu dire "encore Napoléon !", ou "encore la "Révolution française !". La Shoah est une victoire tragique de la technologie, c'est-à-dire qu'elle remet en cause notre condition d'êtres humains modernes. C'est une victoire de l'administration, où tout était tellement bien organisé, une victoire de la police allemande, de la chimie, des gaz d'Auschwitz, où cette excellente organisation a réussi à faire partir en fumée 6 millions de personnes en deux ou trois ans. Ce fait est tellement obscène que la simple évocation de la Shoah provoque un sentiment de rejet, ce qui est le plus sûr moyen de n'y plus rien comprendre.

MÉMOIRE ET REPRÉSENTATION

Cidou : Les derniers survivants sont de moins en moins nombreux. Comment conserver dans la mémoire collective la force de leurs témoignages, qui seuls peuvent nous rapprocher de l'indicible ?

Boris Cyrulnik : Je pense que quand les derniers survivants disparaîtront, ce seront les historiens et artistes qui feront le travail de mémoire.

Claude : Pensez-vous que le recours à la fiction peut mieux aider à préserver le devoir de mémoire ?

Boris Cyrulnik : Je pense que la fiction possède un pouvoir de conviction supérieure à un essai philosophique, parce que la fiction a un morceau de vérité, elle peut nous convaincre.

Laura : Pour vous, est-il acceptable de montrer un film de la Shoah à un jeune enfant ?

Boris Cyrulnik : Je dirais que non. Les enfants ne peuvent digérer que ce qu'ils sont capables de comprendre, et si on leur montre trop tôt un film de la Shoah, ils en seront traumatisés. C'est aussi pour cela qu'il faut donner la parole aux artistes. Ils feront des petits livres, des petits films, que les enfants pourront comprendre au fur et à mesure de leur développement. Les deux mauvais comportements seraient de ne pas en parler et de trop en parler.

Claude : N'est-il pas difficile de rendre compte de l'horreur par l'image ?

Boris Cyrulnik : Ce n'est pas difficile parce qu'il y a toujours eu une esthétique de l'horreur. Vous allez au Louvre et vous verrez toutes les horreurs de l'Europe depuis la Renaissance, les guerres napoléoniennes, le Christ en train de saigner, et même il y a 30 000 ans, les hommes dessinaient sur les murs des chasseurs éventrés par un taureau. L'horreur a toujours été mise en images. Les enfants n'évoquent pas la guerre mais peuvent la dessiner.

Michel : Comment associer dans la mémoire collective des individus dont les parents sont arrivés en France après la guerre ?

Boris Cyrulnik : Je pense que la Shoah est un phénomène unique dans l'Histoire même s'il y a eu d'autres génocides. La Shoah concerne les victimes, les bourreaux et toute la condition humaine. Ceux qui arrivent après la Shoah n'ont pas à en souffrir directement mais sont concernés. Ils ont les mêmes mécanismes de défense que tout le monde. C'est-à-dire le déni qu'on a trouvé en France, aux Etats-Unis et en Israël jusqu'en 1957.

Stéphane : Quelle est la bonne démarche pour un enseignant, selon vous ?

Boris Cyrulnik : Les enseignants jouent un rôle majeur dans l'explication de la Shoah. Cela dépend de leur conviction, de leur personnalité et de la manière dont ils en parlent. La plupart des enseignants font cela extrêmement bien. Ils en parlent sans larmoiements, avec pudeur, et en disant que ce la pose problème quant aux Allemands et aux Juifs, mais aussi quant à la condition humaine. Comment cela a été possible humainement et socialement.

Denis : Ceux qui nient encore aujourd'hui croient-ils à leur déni, d'après vous ?

Boris Cyrulnik : On ne croit pas à un déni, on l'éprouve. C'est-à-dire qu'on a la mémoire vive, on fait comme si cela n'est pas important, on dit qu'on tourne la page. C'est un mécanisme de protection qui permet de moins souffrir mais qui empêche la résolution du problème. Le déni n'est pas une croyance.

Elirad_syr : Quelle serait, selon vous, la réponse contemporaine la mieux indiquée au "mal du nazisme ou à ses nouvelles formes d'antisémitisme", pour reprendre l'expression du secrétaire général de l'ONU ?

Boris Cyrulnik : Quand on pose la question comme on l'a fait jusqu'à aujourd'hui en termes de victimes et de bourreaux, on se trompe. Il faut poser la question en termes de structure de civilisation. Si, pour faire du social, on sacralise l'obéissance, on se prépare à tous les crimes contre l'humanité. Si, au contraire, on met en place un système démocratique, à ce moment-là, on freine le délire d'obéissance et on rend impossible de nouveau un génocide.

Chat modéré par Stéphane Mazzorato et Guillaume Pélissier-Combescure

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Je voudrai dire à tous ceux et celles qui ont vécus cette abomination que jamais nous devons oublier car ces hommes qui se sont livrés à ce désastre humain pour moi ne sont pas des hommes mais des démons!!!!

je ne suis pas trés vielle mais au plus loim que remonte mes souvenirs de gamine et des films que j'ai pu voir avec mon père et ma soeur et mes frères nous pleurions devant ces images horribles, le deuxième femme de mon père qui est allemande je pouvais pas regarder ces images tellement elle même était choqué déjà du fait d'être allemande et qui n'avait pas connu son père disparu pendant cette guerre horrible, déjà nous avions à cette époque du mal de l'acpecter comme belle mère et encore plus car elle était allemande!!! je crois l'avoir traité de sale bosh une fois!!! la haine est un sentiment horrible lorsqu'elle prends pocésion de notre coeur!!!!
je me suis demandée "que faisait les gens en france et ailleurs pendant que des millions de juifs se faisaient massacrer????" j'avais la haine contre ces gens, c'étaient tous des ploucks me disai je!!!
Que foutaient tous ces soit disant croyant en DIEU qui laissaient faire ça!!!!!
je sais que je suis née trop tard car une seule vie la mienne n'aurait pas suffit pour me battre contre le diable!!!!
Que DIEU ferme mes yeux que je ne puisses pas voir que ce genre d'horreur n'arrive!!!!
Nous savons encore que des géosides se pertétus encore de nos jours!!!!
celui ci n'a donc pas suffit à nous ouvrir les yeux sur ce que la haine peut amenner à faire!!!
Que chacun de nous juifs et non juifs gardent en mémoire cette abomination afin que jamais la haine ne nous porte!!!!
que nous puissions montrer un peu plus de compréhension, d'amour enver ceux qui sont différent de nous, l'être humain nous le savons n'est pas parfais, nous qui avons la foi, nous avons le devoir de respect enver les créatures de DIEU, quelqu'ils soient!!!
les querelles peuvent exister mais sachons mettre des barrières à l'horreur!!!!!!!!
S'il y a des exuses à présenter aux familles vivantent je les présente au non de ceux qui on oublier leur devoir!!!!!!!
A MES FRERES JUIFS !!!!!!!!!!!!!!

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

pour les Noirs internés dans les mêms camps, je vous renvoie à cet article:
http://permanent.nouvelobs.com/europe/20050126.OBS7196.html

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

dr slump, je ne comprends pas très bien de quoi exactement on discute, où veux-tu en venir? tu veux quoi? Un mea culpa pour ta génération? Sous entendre que les allemands d'aujourd'hui sont tous mauvais, etc...

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

je veux dire que... on ne va tout de même pas discuter d'un sujet aussi délicat et qui demanderait de la rigueur, sur un forum, non? Tu ne crois pas?

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Kiwi "dr slump, je ne comprends pas très bien de quoi exactement on discute, où veux-tu en venir? tu veux quoi? Un mea culpa pour ta génération? Sous entendre que les allemands d'aujourd'hui sont tous mauvais, etc... "

Je ne veux en venir à rien du tout je reagis juste à ta phrase "c'est bien ça, pourtant, qui est la véritable question, c'est qu'il y en avait pas mal, des gens simples et gentil de service, des gens normaux qui ne faisaient qu'obéir aux ordres s'en se rendre compte de ce qu'il faisait" que je trouve totalement fausse et qui est une excuse extremement lache : les gens savaient. Je ne parle pas du tout des allemands d'aujourdui pourquoi tu me parle de ca ?

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Slump : on ne se comprend pas,l laisse tomber, je n'ai pas cherché à justifier mais souligné que le point qui fait mal et qui fait encore question, et qui fera toujours question, est que ce sont des individus normaux, bons pères de famille, etc... qui peuvent commettre des choses comme ça et sans aucun sentimentr de culpabilité. Maintenant stp j'arrrête, je n'ai pas envie de développer ce genre de sujet sur un forum léger.

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