Re: Ilan Halimi ... (pr le moderateur ki ne filtre ce kil veut!!

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur


Suite o messga ki n'a pas été selectionné sur le forum, ou javais demandé en une simple phrase si OUI ou NOn o moin 1 media francais a t'il précisé ke 3/4 des victmes de Ganz (maghrébins) sont ou (était z'l) Juives??
Pt etre ke non, pour NE PAS FAIRE LE RAPPROCHEMENT DUNE JUDEOPHOBIE DEBORDANTE EN FRANCE:

maintenant, voici un artcile paru par le Bné brite sur communauté Online:

Le B’nai B’rith France, organisation non gouvernementale juive qui lutte contre toutes formes de racisme et d’antisémitisme, a pris connaissance avec tristesse du crime perpétré contre le jeune ILAN .

En dépit du caractère crapuleux de ce rapt, tout porterait à croire qu’il s’agit aussi d’un crime à caractère raciste et antisémite. En effet, sur quatre actes du même genre perpétrés par ce même groupe, trois l’ont été sur des victimes de religion juive.

Aussi le B’nai B’rith France demande aux pouvoirs publics de faire toute la lumière sur cet acte odieux et de nous tenir informés du déroulement de l’enquête.

Marc LUMBROSO Président du B’nai B’rith France

- Attention Danger : Meurtre à Paris du jeune Ilan Halimi (Z’’L)
La Communauté Juive du 11e arrondissement à Paris en émoi
Un jeune homme enlevé pour rançon et torturé à mort par un gang

Un "gang organisé", qui avait déjà réalisé au moins trois tentatives d'enlèvement, est à l'origine du meurtre du jeune homme torturé retrouvé lundi à Sainte-Geneviève-des-Bois (Essonne), a annoncé mardi le procureur de la République de Paris au cours d'une conférence de presse.

Les ravisseurs du jeune homme sont toujours en fuite, a précisé le procureur Jean-Claude Marin.

Agé d'une vingtaine d'années et vendeur dans un magasin de téléphonie à Paris, il avait été enlevé le soir du 21 janvier. Il a été découvert lundi matin nu, bâillonné, menotté et portant des traces de tortures et de graves brûlures, agonisant à proximité de la gare de Sainte-Geneviève-des-Bois.

Le jeune homme a été abordé et séduit dans sa boutique le 17 janvier par une jeune femme "avenante" d'origine maghrébine avec laquelle il a échangé son numéro de portable, selon les enquêteurs.

Le patron du magasin Frédéric Tuil a affirmé: "ce que je sais c'est qu'il avait rendez-vous avec une fille ce soir-là". "Il n'est pas réapparu depuis", a dit le procureur. "C'est arrivé à 3 ou 4 personnes le mois dernier et surtout dans des boutiques de téléphonie", a ajouté le commerçant.

D'après un employé d'une autre boutique du quartier, "les parents ont reçu un e-mail (courrier électronique) avec une arme braquée sur le gamin" sur une photo. Demandant à la famille dans un premier temps, par e-mail, par SMS ou par téléphone, une rançon d'environ 400.000 ou 450.000 euros, les ravisseurs ont ensuite réclamé "100.000 ou 200.000 euros".

Ils ont envoyé plusieurs fois à la famille, des photos de leur fils les yeux bandés avec une coupure de presse pour attester de la date et donner des "garanties de bonne santé", selon le procureur. "Aucune rançon n'a été versée", a-t-il précisé, les ravisseurs n'étant pas venus aux rendez-vous fixés à la famille, reportant au dernier moment à Bruxelles une rencontre prévue à Paris. Le dernier contact téléphonique remonte à jeudi. En outre, la famille n'était pas en mesure de réunir la somme, a ajouté M. Marin précisant que les malfaiteurs ne visaient pas que des personnes aisées.

La première tentative d'enlèvement connue et semblant émaner du même groupe, date de "début décembre 2005".

A l'image du film "L'appât" de Bertrand Tavernier lui-même inspiré d'un fait divers, le mode opératoire consistait à attirer une jeune victime, homme ou femme, en utilisant un "séducteur" ou une "séductrice". Quatre "appâts" ont été identifiés par les enquêteurs. Dans l'un des 3 cas de tentative d'enlèvement, à Paris et dans sa région, le jeune homme visé, à Créteil, était absent. C'est son père qui a été violemment agressé par 3 hommes dans un parking. Ceux-ci ont pris la fuite surpris par des passants.

"Un appel à témoins" a été lancé : 2 portraits robots d'une jeune femme blonde qui a servi "d'appât" ont été diffusés ainsi que la photo d'un suspect, le visage masqué jusqu'aux yeux. Les enquêteurs mettent en garde contre des tentatives de séduction de "jolies jeunes filles et de jolis garçons".

Le juge d'instruction parisien Corinne Goetzmann est en charge d'une information judiciaire notamment pour "assassinat, enlèvement et séquestration en bande organisée avec actes de torture et de barbarie et association de malfaiteurs". Selon les premières constatations, le jeune homme a été victime de brûlures et de coups violents le tout "sur 80% du corps".

- ENLEVEMENT.

Torturé à mort

Un Parisien de 23 ans, enlevé dans la nuit du 20 au 21 janvier, a été découvert agonisant, lundi, dans l'Essonne. Il est mort de ses blessures. Ses ravisseurs, qui demandaient une rançon, sont recherchés. Hier, un suspect se trouvait en garde à vue.

LE PIRE est arrivé. Ilan Halimi, un jeune Parisien de 23 ans, a été découvert lundi matin agonisant
à proximité de la gare de Sainte-Geneviève-des-Bois (Essonne). Nu, menotté et bâillonné. La
victime, décédée lors de son transport à l'hôpital Cochin, avait été enlevée par des inconnus
exigeant une rançon dans la nuit du 20 au 21 janvier dans les environs de Bagneux (Hauts-de-Seine).

Selon les premières constatations, 80 % de son corps présentaient des traces de blessures à
l'arme blanche, de coups et de brûlures. Hier, le procureur de la République de Paris, Jean-Claude
Marin, et le directeur de la police judiciaire parisienne, François Jaspart, ont lancé un appel
à témoins pour retrouver les meurtriers. Ceux-ci sont soupçonnés de plusieurs autres tentatives
d'enlèvements en Ile-de-France.

Des jeunes femmes pour appât

Après plus de trois semaines d'une traque implacable, les policiers de la brigade criminelle et de la brigade de recherche et d'intervention sont « complètement abattus par cette fin tragique » et promettent déjà de retrouver « les fous

furieux » à l'origine de ce fait divers sans précédent depuis plus de vingt ans. Deux portraits-robots d'une même jeune femme et la photo d'un homme (voir page 15), soupçonnés d'être membres du réseau, ont été diffusés.

Le 17 janvier, Ilan Halimi reçoit sur son lieu de travail, un magasin de téléphonie du boulevard Voltaire, dans le XI e arrondissement parisien, la visite d'une jeune femme « avenante ». « Brune, d'origine maghrébine, précise le procureur, elle engage la conversation et parvient à échanger les numéros de téléphones portables. Un rendez-vous est fixé pour la soirée du vendredi 20 janvier. La victime ne réapparaîtra pas. » Une rançon de 450 000 est demandée à sa famille.

Une enquête en flagrance confiée à la crim est ouverte. Les investigations permettent de découvrir d'autres tentatives d'enlèvements, antérieures, régies par le même mode opératoire. La première remonte au début du mois de décembre à Créteil (Val-de-Marne). Une jeune femme prétendant vouloir devenir chanteuse contacte à son domicile un jeune homme travaillant dans la production discographique. Celui-ci est à l'étranger et c'est son père qui se rend au rendez-vous, dans un parking. Il est alors agressé par trois hommes qui tentent de le conduire de force vers un véhicule.
Un couple passe au même moment, les malfaiteurs prennent la fuite.

Aucun signalement n'a pu être fourni.

A la mi-janvier, un employé d'un autre magasin de téléphonie du boulevard Voltaire a également reçu la visite d'une jeune femme, blonde cette fois, mais toujours aussi « accorte ». Il n'a pas donné suite. Dans la dernière tentative recensée, un homme sollicite une jeune femme par téléphone : sans succès.

Une rançon fluctuante

Pendant ce temps, les kidnappeurs prennent de nombreux contacts, par téléphone, Internet ou courrier, avec la famille d'Ilan Halimi. Trois photos du jeune homme sont envoyées pour prouver qu'il est en vie. La dernière remonte au 31 janvier. Le lendemain, une information judiciaire est confiée à la juge Corinne Goetzmann pour « enlèvement et séquestration en bande organisée ». Le montant de la rançon varie beaucoup, jusqu'à descendre à 5 000 euros. Le père de la victime parle pour la dernière fois aux ravisseurs jeudi dernier. Un rendez-vous à Bruxelles pour remettre la rançon, dont les modalités devaient être précisées ultérieurement, est envisagé. Il n'y aura plus de
contact.

Lundi 13 février, après la découverte du jeune homme, les qualifications pénales sont complétées de « détention sous condition, actes de torture et de barbarie et meurtre avec préméditation». Hier, un suspect ayant eu des contacts avec les ravisseurs était en garde à vue à la brigade criminelle.

Pour toute information sur les ravisseurs,
contacter le 01.45.44.31.82.

Deux hommes arrêtés dimanche, qui ont reconnu avoir enlevé samedi à Meudon (Hauts-de-Seine) la mère et le frère du rappeur Booba, (....)
Pour lire la suite: www.leparisien.com
Le Parisien, Paru le : 15/02/2006

Julien Dumond et Frédéric Gouaillard
15/02/2006

- Un gang organisé difficile à cerner

VOULAIT-IL vraiment obtenir une rançon ? C'est la question que se posent aujourd'hui les enquêteurs au sujet du gang organisé qui a enlevé, séquestré pendant plus de trois semaines et tué Ilan Halimi. Très professionnels dans les prises de contact avec la famille de leur otage, les malfaiteurs ont été très versatiles dans leurs exigences financières.

Cela renforce les interrogations des policiers au sujet de cette bande qui serait constituée d'au moins trois jeunes femmes et trois hommes. Les fonctionnaires de la criminelle, sur la brèche depuis plus de trois semaines, disposent cependant de très sérieux éléments.

Tout d'abord, comme l'a précisé hier le procureur de la République, ils savent que les trois femmes sont âgées de 20 à 25 ans, jolies et avenantes. L'une - celle qui a abordé Ilan - est de type maghrébin, les deux autres, une blonde et une brune, ont un profil européen. Les hommes sont, eux, plus difficile à identifier, seul indice la photo d'un individu afro-antillais filmé par la caméra
d'un cybercafé.

Leur technique d'approche varie peu. Il s'agit toujours pour une des trois femmes d'accoster un jeune homme en lui laissant croire qu'elle n'est pas insensible à son charme et si possible de lui faire accepter un rendez-vous. Pour cela, la bande a écumé différents endroits de la capitale : boutiques, boîtes de nuit et même des prises de contact directes au domicile des victimes potentielles. Si Ilan était de confession juive, la religion ne semble guère avoir d'importance pour les ravisseurs. Hier, les autorités ont mis en garde les jeunes gens de la capitale et des départements avoisinants contre ce type de rencontres suspectes.

- Des cibles pas vraiment fortunées

En revanche, des interrogations subsistent sur leurs motivations. « A chaque fois qu'on se mettait d'accord pour livrer l'argent, que ce soit en mains propres ou par virement, nos interlocuteurs annulaient les rendez-vous et repoussaient l'échéance à plus tard, indique une source proche du dossier. C'est pour cela que nous n'avons rien pu faire. Ils ne sont jamais allés au contact
. Au final, on se demande pourquoi ils ont abandonné la victime. »

Autre énigme, les cibles n'étaient pas spécialement fortunées. Un officier garde cependant espoir : « Pour les interpeller, on peut espérer, outre notre travail d'enquête, qu'un des membres de l'équipe ne souhaitait pas en arriver là (....)

Pour lire la suite: www.leparisien.com
Le Parisien, Paru le : 15/02/2006
J.Du et F.G.
15/02/2006

- Trois semaines de traque et de négociations

PENDANT PLUS de trois semaines qu'a duré l'enquête sur l'enlèvement d'Ilan Halimi, les enquêteurs de la brigade criminelle n'ont jamais réussi à identifier les ravisseurs du jeune vendeur en téléphonie. Les policiers de la crim se sont sans cesse heurtés à une bande aux contours indéfinissables qui a fait preuve d'une maîtrise totale des nouvelles technologies.

Les ravisseurs brouillent les écoutes.

Téléphonie mobile, Internet, cabines : du premier contact le samedi 21 janvier au dernier coup de téléphone le jeudi 9 février, les malfaiteurs ont su brouiller les pistes en utilisant tous les nouveaux
moyens de communication. A plusieurs reprises, les forces de l'ordre ont procédé à l'interpellation
de propriétaires de téléphones mobiles ayant servi à contacter la famille, mais il s'agissait à chaque fois d'usagers dont l'appareil avait été volé quelques semaines plus tôt. « Les contacts ont été réguliers jusqu'à jeudi dernier, mais les progrès de l'Internet et de la téléphonie mobile ont joué contre nous », indique un proche de l'enquête.

Des photos qui rappellent l'Irak.

Dès le lendemain de l'enlèvement, les ravisseurs ont communiqué avec la famille d'Ilan en procédant
à l'envoi d'une photo du jeune homme via un mail. Ce cliché et ceux qui vont suivre ne sont pas sans rappeler les photos des otages occidentaux en Irak. On y voit le séquestré les yeux bandés avec un large ruban adhésif, un journal dans les mains pour attester de la date de la photo et surtout un pistolet pointé sur la tempe pour démontrer la volonté des agresseurs. Après analyse, l'arme se révélera factice. Les enquêteurs pensent aujourd'hui que les clichés ont été pris à Paris, mais n'ont pas localisé d'endroit précis. A deux autres reprises, les 25 et 31 janvier, les ravisseurs feront parvenir de nouvelles photos d'Ilan. La mise en scène du dernier cliché, qui ne transite pas par Internet, est un peu différente puisque le jeune homme y est présenté allongé, vêtu d'un simple peignoir laissant entrevoir une partie de son corps. « Mais il est impossible de dire au vu de cette image s'il avait déjà subi des sévices », a indiqué hier le procureur de la République, Jean-Claude Marin. L'autopsie ne l'a pas encore déterminé.

Des maîtres chanteurs versatiles.

Très rapidement, les maîtres chanteurs vont entrer en contact avec le père de la victime, commerçant dans le XXe, en réclamant d'abord une rançon de 450 000 euros . Une somme qui apparaît bien au-dessus des moyens dont dispose la famille du jeune homme mais qui correspond plus ou moins à un héritage que devait toucher le père d'Ilan. Les enquêteurs hésitent : les ravisseurs ont-ils procédé à un travail de repérage en amont ou sont-ils de mèche avec leur victime ? Finalement, la suite de leur enquête va les amener à penser qu'aucune des deux thèses n'est la bonne. Car les maîtres chanteurs se montrent inconstants dans leurs prétentions. Le chiffre de la rançon ne cesse de varier, descendant même jusqu'à 5 000 euros, mais à chaque fois les malfaiteurs ne donnent pas suite. Pourtant, ce sont eux qui ont les cartes en main et qui contactent à leur gré le père de la victime, conseillé vingt-quatre heures sur vingt-quatre par les négociateurs de la brigade criminelle.

Parallèlement, l'émoi gagne la communauté juive dont est issue la mère du jeune otage. Un rabbin alerte ses fidèles par SMS. « Priez pour Ilan », implore-t-il.

Une lueur d'espoir.

Mardi dernier, un rendez-vous est enfin fixé à la famille d'Ilan. Les ravisseurs proposent de se retrouver place du Châtelet.

En réalité, c'est un « porteur de valises » interpellé hier matin qui doit récupérer la somme.

Mais, au dernier moment, le lieu change. D'abord reportée place de Clichy, la transaction doit
finalement avoir lieu à Bruxelles, mais la police ne suit pas. Au même moment, les enquêteurs
obtiennent un cliché d'un des ravisseurs qui a envoyé un mail depuis un cybercafé du XIVe
arrondissement. La vidéo interne a filmé l'homme, mais ce dernier a pris le soin de masquer
son visage derrière une écharpe qui ne laisse apparaître que ses yeux. La photo est quasi inexploitable.

Une fin tragique.

Les malfaiteurs sont de plus en plus agressifs. Ils laissent planer la menace de mutilations et évoquent la possibilité de couper un ou plusieurs doigts de leur otage. Ce qui n'est pas sans rappeler l'affaire du baron Empain qui s'était vu amputer d'un doigt par ses bourreaux. Les malfrats exigent même que la rançon leur soit versée sur un compte à l'étranger via Western Union. « Ils voulaient transmettre l'argent, mais sans jamais donner aucune garantie.

Ils se sont enfermés dans cette histoire qui ne pouvait pas aboutir », glisse un proche du dossier.

L'ultime contact aura lieu jeudi dernier, quatre jours avant qu'Ilan ne soit retrouvé agonisant (....)

Pour lire la suite: www.leparisien.com
Le Parisien, Paru le : 15/02/2006
F.G. et J.Du.

- Meurtre d'un jeune homme torturé: garde à vue prolongée pour un suspect

PARIS (AFP) - La garde à vue d'un jeune homme, interpellé mardi matin dans l'affaire du "gang organisé" à l'origine du meurtre d'un jeune homme torturé retrouvé lundi à Sainte-Geneviève-des-Bois (Essonne), a été prolongée de 24 heures mercredi, a indiqué une source judiciaire.

Interpellé mardi matin vers 11H00 par les policiers de la brigade criminelle parisienne, ce suspect était toujours en garde à vue mercredi après-midi dans les locaux du service de police, selon une source judiciaire.

Le suspect est soupçonné d'avoir pu intervenir comme "prestataire de service" pour le compte des ravisseurs, a indiqué la même source.

La garde à vue en matière de criminalité organisée peut s'étendre jusqu'à 96 heures, renouvelable par tranche de 24 heures.

La victime, un jeune homme âgé d'une vingtaine d'années, vendeur dans un magasin de téléphonie à Paris, avait été enlevé le 21 janvier. Lundi matin, il a été découvert nu, bâillonné, menotté et portant des traces de tortures et de brûlures, agonisant à proximité de la gare de Sainte-Geneviève-des-Bois.

Trois tentatives d'enlèvement connues semblent émaner du même groupe. La première remonte au "début décembre 2005", a annoncé mardi le procureur de la République de Paris Jean-Claude Marin, lors d'une conférence de presse.

Un appel à témoins a été lancé : deux portraits robots d'une jeune femme blonde, qui a servi "d'appât", ont été diffusés ainsi que la photo d'un suspect, le visage masqué jusqu'aux yeux.

Le juge d'instruction parisien Corinne Goetzmann, spécialisé dans les affaire de criminalité organisée, est en charge d'une information judiciaire notamment pour "assassinat, enlèvement et séquestration en bande organisée avec actes de torture et de barbarie et (....)

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Quelle horreur... baruch dayan ha emes... comme quoi il faut se méfier des rencontres de ce genre et ne pas sortir avec des gens dont on n'est pas sur qu'ils sont juifs, pour éviter tous les problèmes du meurtre ignoble (que D le venge) à l'intermariage (qui est un meurtre indolore de la génération suivante mais c'est un autre sujet).

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

intermarriage (anglais) = mariage mixte (français)

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

frachment sa fait peur tout l'empleur que sa prend ce truk méme sur fw il donne des conseille pour éviter de ce faire kidnapper on ce croirai en Irak MDR

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

pk est-ce que j'ai limpression que les medias, la france, le chef d'Etat sont indifferents!! cela serait-il de la paranoia que de penser que c un crime rasciste!!

est ce que c un plan de la part de medias que de nous faire passer pour des c... et des fous qui voient partt de lantisemitisme?

est-ce de la folie davoir et de ressentir autant de haine, de hair les medias, la france, les responsables rien que de prononcer son nom est impossible!!

que doit-on penser? comment doit-on reagir! estce que on peut compter sur la police francaise pour les retrouver et punir ces animaux sauvages assoifes de sang pour leur donner que 20an de prison?

tt sembrouille et je sai vraiment plu koi penser et commen penser!!!

si ce crime es rasciste commen pourra ton reagir!! une chose est sur, la guerre sera declarer!! commen je ne sai pa!!

Ancien utilisateur
Ancien utilisateur

Tortures et mise à mort d'Ilan Halimi : la piste antisémite, le sentier islamiste, le boulevard islamique

France-Info nous martèle la version officielle ce samedi matin : le calvaire d'Ilan Halimi N'EST PAS antisémite, car d'autres victimes du « gang des barbares » (qui elles n'ont pas été torturées et mises à mort…) n'étaient pas juives. Logique non ? Mais fable pour fable, qui oserait prétendre qu'Hitler n'était pas antisémite parce qu'il avait aussi des ennemis non juifs, et que le Coran n'appelle pas à la haine et à la violence contre les Juifs que Mahomet a fait égorger par centaines ? Va-t-on longtemps cacher la forêt coranique derrière l'arbre du droit commun ?
Au journal télévisé de France 2 de vendredi soir, la porte-parole de service (qu'on appelle « journaliste ») nous explique doctement que les tortures inouïes infligées à Ilan Halimi seraient motivées par un chantage à la rançon. Il est rarissime qu'une prise d'otage destinée à soutirer de l'argent donne lieu à de telles sévices. Tout au plus tue-t-on la victime pour ne pas laisser de traces. Alors comme ça ne colle pas, la version officielle change un peu et France-Info nous explique ce matin qu'il y aurait des désaccords au sein du « gang des barbares », certains étant plus violents que d'autres. On fait même un parallèle avec les otages occidentaux en Irak (tiens donc…), donc certains étaient égorgés et d'autres servaient de monnaie d'échange, oubliant qu'aucun otage n'a joué les deux rôles à la fois…

Toujours à France 2, après nous avoir expliqué la barbarie et le meurtre, un petit reportage boulevard Voltaire à Paris interroge la communauté juive, et on nous explique que la thèse antisémite n'est évoquée que par quelques Juifs. On frise le procès d'intention paranoïaque.

A l'appui de ce déni d'antisémitisme, nos médias recyclent l'argument massue déjà utilisé pour l'agresseur au couteau d'Epinay : les motivations ne sont pas antisémites, puisque certaines des victimes ne sont pas juives ! Le fou d'Epinay avait bien pourtant proféré des insultes anti-juives et revendiqué son islam en agressant un lycéen portant la kippa, mais bon, comme il a aussi agressé des non-juifs, il n'est ni islamiste ni antisémite, nous a-t-on doctement expliqué.

Mais quelle hypocrisie ! Si un fou brûle 3 synagogues et 4 églises, va-t-on affirmer qu'il n'est pas antisémite sous prétexte qu'il est aussi anti-chrétien ? Non, non, il aurait brûlé des bâtiments au hasard, tout comme le « gang des barbares » aurait choisi ses victimes au hasard. Il ne vient pas à l'idée de ces marchands de pensée unique qu'un antisémite puisse être aussi « athéophobe, christianophobe, éleuthériophobe, apostasiophobe, gynophobe, homophobe, hétérophobe, exogamophobe, érotophobe, hédonophobe, eidolophobe, et œnophobe » (copyright Jack-Alain Léger parlant du Coran), donc raciste.

On nous dit que 3 des victimes de ces salauds sur 4 étaient juives. Puis 3 sur 7. Bien que seul Ilan le Juif ait subi tortures et mise à mort atroces, on en appelle à la statistique de bazar : la majorité des victimes ne sont pas juives. La fable ressemble à cette du pâté d'alouette et de cheval : une alouette pour un cheval. Mais puisqu'on en appelle au calcul de probabilités, faisons-le sérieusement, c'est-à-dire par rapport aux populations de référence. Il y a en France environ 600.000 Juifs sur 60 millions d'habitants. Dans l'hypothèse la moins « antisémite », c'est-à-dire 3 victimes juives et 4 non-juives pour le gang des barbares, la probabilité d'un tel « hasard » est de 1 sur 1041020. 1 « malchance » sur 1 million… Avec un tel ratio, n'importe quel « profiler » étudierait la « piste » antisémite en priorité !

A part le chef de gang et l'une des « appâts », tous deux d'origine musulmane, et 4 victimes juives sur 7, on ne connaît pas l'appartenance ethnique, religieuse ou idéologique des agresseurs et des victimes du « gang des barbares ». Le gang était constitué, nous dit-on, d'une bande de « jeunes », vocable qui désigne pour la presse officielle des gens issus de l'immigration principalement musulmane, d'ailleurs largement sur-représentée dans les actes de violence gratuite envers les personnes.

Alors des « informations » circulent sous le manteau d'internet. Le « gang » serait principalement composé de Nord-Africains, la famille d'Ilan aurait entendu des psalmodies coraniques au téléphone quand les ravisseurs l'ont appelée, et le premier ministre aurait donné des ordres aux médias pour étouffer le fait que ce sont des islamistes qui composent le gang des barbares et faire passer les tortures et le meurtre d'Ilan pour une affaire de droit commun.

Bien que les sources qui m'ont transmis ces affirmations me paraissent sincèrement fiables parce qu'elles n'ont jamais propagé à ma connaissance des désinformations, je n'en tirerai pas de conclusions hâtives. Pas plus que du fait que l'une des deux ou trois jeunes filles ayant servi d'appât est maghrébine. Remarquons en passant que là encore, les musulmans comme ceux de mejliss.com réfutent les thèses « islamistes » sous prétexte qu'un autre appât est une « jeune fille blonde », comme si aucune « Gauloise » ni aucun « Gaulois » n'avait jamais servi la cause des fous d'Allah… De Thomas Milcent à Pierre Robert, les contre-exemples ne manquent pourtant pas.

A propos de mejliss.com, j'ai justement remarqué que certains des cris de hourries effarouchées de ces internautes musulmans voire islamistes à propos de l'affaire d'Ilan rejoignent curieusement mes propres interrogations. Le forum d'oumma.com consacre en effet un fil de discussion « Un soupçon d'antisemitisme dans l'affaire des enlèvements de paris » au sujet.

http://www.mejliss.com/showthread.php ?t=228024

Sur 25 messages, curieusement, deux seulement montrent de la compassion pour Ilan.

Signalons l'allusion à l'affaire du RER D, où les islamistes ont bavé sur la communauté juive accusée de provocation et exigé des excuses de sa part, alors que Marie L. n'était pas juive et que par conséquent les Juifs étaient victimes et non coupables dans cette tromperie. Ressortir cette affaire pour dénier l'antisémitisme du « gang des barbares » est donc d'une malhonnêté totale.

« Mac SARKO », le fameux faux musulman et vrai infiltré communiste bien connu de mejliss.com, est aussi délirant que d'habitude. Il prétend que dans l'un des articles parlant d'Ilan « c'est fait exprès le jeu de mots ... "maghrébine" pour introduire plus loin le mot "islamiste" ». Il fait allusion à deux phrases communiqué du Bureau National de Vigilance Contre l'Antisémitisme : « Notre Bureau avait été alerté que le jeune Ilan H... attiré par une jeune femme d'origine maghrébine, avait disparu le 21 Janvier 2006, et qu'une rançon de 450.000 euros était réclamée à sa famille. » et, plus loin dans le texte, « Nous craignons que le fait qu'ILAN soit juif ait aggravé son cas et conduit ses ravisseurs à se comporter comme les terroristes islamistes. ». Comme si les terroristes islamistes n'étaient pas antisémites ! « Mac SARKO » ne doit lire que la Pravda…

TarekD, un autre internaute de mejliss.com reprend également cette dernière phrase en disant : « ce qui est inacceptable c'est que l'on rattache l'islam à ces crimes comme le fait Sammy Ghozlan ». Il est approuvé par Dominique25, une convertie : « Il mw semble qu'il s'agit d'enlevement et de tentatives d'enlevements crapuleux qui n'ont rien a voir avec une quelconque religion.. » Et Para10iac ajoute : « C'est vrai le portrait robot de la fille n'a rien de maghrebine elle est plutôt de type slave, ou scandinave. Ca devient lamentable lier un acte d'une barbarie inouie à une religion c'est grave ! ; L'islam n'a rien à voir avec ça les ordures qui ont fait cela ne sont pas musulmans de part cet acte s'ils l'étaient auparavant ils ne le sont plus ! » D'autres internautes vont dans le même sens.

C'est tout de même curieux que lorsqu'on parle d'« islamistes », les musulmans de mejliss.com se sentent visés comme « islamiques ». Je ne connais aucun chrétien actuel qui s'offusquerait qu'on dénonce les crimes commis par des conquistadors ou des guerres de religion inter-chrétiennes. Bien au contraire ! Il y a donc là un déni fort intéressant, au sens psychologique.

Je passe sur les autres réactions du même tonneau, et je m'arrête aux deux remarques de mejlissiens qui se sont arrêtés sur les mêmes déclarations du procureur de la République que moi :

- « Selon le procureur, "le mobile affiché était d'obtenir de l'argent". "Au moment précis où nous parlons, le mobile antisémite n'est pas avéré", a-t-il poursuivi, alors que le meurtre d'Ilan a provoqué un émoi dans la communauté juive de Paris. » (dépêche AFP)

- « Les enquêteurs ont localisé l'appartement de Bagneux où a été séquestré le jeune Ilan, "nu, le visage couvert", a précisé M. Marin précisant qu'il s'agissait de "répétition de scènes connues par ailleurs", faisant certainement allusion à des images de prisonniers en Irak. » (dépêche AFP)

Ces deux remarques du procureur parisien Jean-Claude Marin lors de sa conférence de presse m'avaient troublé.

- Conditionner l'affirmation que « le mobile antisémite n'est pas avéré » en précisant « au moment précis où nous parlons » veut bien dire que ce mobile est encore à l'étude, et pas définitivement écarté.

- Jean-Claude Marin faisait-il allusion aux prisonniers d'Abou Ghraib comme le suppose l'AFP, quand il parle de « répétition de scènes connues par ailleurs » ? C'est fort possible, car il évoque la nudité des victimes et leurs « visages couverts ». Mais les sévices infligés aux prisonniers irakiens et le calvaire d'Ilan sont d'une nature totalement différente ! Dans le premier cas, il s'agit d'humiliations sexuelles et de postures pénibles. Dans le second, de véritables tortures et d'une mise à mort qui rappellerait plutôt celles subis par certains otages occidentaux en Irak.

Le procureur fait donc un lien soit avec des prisonniers irakiens dont les musulmans de mejliss.com se sentent « frères » de part la communauté islamique (la « oumma »), soit avec des victimes des islamistes irakiens, elles aussi ayant le visage couvert. Donc Jean-Claude Marin lie le crime du « gang des barbares » à l'islamisme, voire à l'islam.

A la première remarque citée, celle sur l'antisémitisme, un mejlissien répond : « Bon, j'aime quand même pas le "au moment précis ou nous parlons"... grr » sans expliquer pourquoi il « n'aime pas » cette précison du procureur. La seule explication qu'il donne est donc ce « grr » énigmatique. Sur la seconde remarque, un autre mejlissien dit : « Selon le procureur Marin. . .Il y aurait un lien avec les tortures d'Abou Graib. . .C pas mieux ». « C'est pas mieux » que quoi ? On ne le saura pas non plus.

Il y a donc là deux non-dits ressemblant à des dénis qui mériteraient une étude plus poussée, mais qui traduisent déjà que dans l'imaginaire musulman qui se dévoile sur mejliss.com, ces deux incises du procureur ont fait mouche. Or les mejlissiens sont bien placés pour savoir comment « fonctionne » cet imaginaire musulman, et on n'est pas du tout dans le domaine pourtant fréquent de la paranoïa victimaire.

En effet, supposons que ces remarques concerneraient un crime atroce commis contre un musulman ou un Arabe, et que je réagirais en tant qu'occidental. Un procureur qui dirait « Au moment précis où nous parlons, le mobile xénophobe n'est pas avéré » ne me choquerait nullement. Tout au plus j'espèrerais que ce mobile soit étudié jusqu'au bout, d'abord par souci antiraciste, et ensuite pour en tirer toutes les conclusions sur un problème de société. L'incise « au moment précis où nous parlons » m'inspirerait donc plutôt une satisfaction qu'une animosité (« j'aime quand même pas ») et un « grr » d'irritation.

Quant à l'allusion supposée à d'autres délits ou crimes commis en Irak ou ailleurs, je l'analyserais par rapport à la psychologie et aux motivations des coupables respectifs, par comparaison ou opposition, avant de conclure à la pertinence d'un rapprochement. Là encore, j'essaierais de comprendre le « fonctionnement » des criminels au lieu de me contenter de lancer un « c'est pas mieux » évacuant la question et ressemblant à un déni.

Et puisqu'on est dans le domaine du « profiling » du « gang des barbares », je me pose tout de même une question. Quand une femme est lapidée ou un homosexuel égorgé en terre d'islam, on nous parle de « fanatisme religieux », pour éviter de dire « fanatisme musulman ». Mais d'où vient ce fanatisme, sinon de l'islam lui-même, qui ordonne de telles barbaries, soit par le Coran, soit par l'exemple de Mahomet, donc dans le dogme même de cette « religion » ? Le « livre saint » et la biographie du « prophète » de l'islam regorgent d'antisémitisme et d'appels à la haine, à la violence, au meurtre. Alors créer une différence entre « islamisme » et « islam » est un pur artifice verbal. L'expression « fanatique musulman » serait plus exacte, au sens où « musulman » voudrait dire « relatif à l'islam », et « fanatisme » un zèle excessif mais conforme aux dogmes et aux textes. Là encore, on utilise l'euphémisme « fanatique religieux » pour masquer la spécificité islamique ! Si j'appliquais les prescriptions de Jésus ou de Bouddha, je ne lapiderais pas la femme adultère (au contraire, selon les Evangiles !) et je n'égorgerais pas les Juifs et les homosexuels.

En France, la plupart des violences « gratuites » contre les personnes proviennent de « jeunes » d'origine musulmane. On veut nous interdire de le dire, et pourtant c'est une réalité objective. Evidemment, tous les musulmans de France ne sont ni racistes, ni terroristes, ni sadiques, loin de là ! Mais cela ne veut pas dire que l'islam est « une religion de paix et d'amour », puisque ses fondamentaux nous montrent exactement le contraire. Si mon ancien épicier nord-africain, réputé « musulman » malgré lui (car l'apostat est condamné à mort dans l'islam), n'appliquait pas la charia à ses clients juifs ou homosexuels, c'est parce qu'il est avant tout humain et brave, et aussi parce qu'il serait condamné s'il le faisait. Il représente la grande majorité des musulmans de France, mais « musulman » au sens « d'origine musulmane », et non adepte zélé de l'islam du Coran et de Mahomet.

Je m'étonne que nos spécialistes en criminologie ne cherchent pas du côté du « livre saint » et du « prophète » de l'islam les origines de certaines formes de délinquance violente qui explosent dans notre pays. Pourtant, quand il s'agit des rares néonazis qui profanent des tombes juives, on ne manque pas de signaler leur culte pour le Troisième Reich qui les amènent à être antisémites et racistes. Pourtant, quand on accuse tel ou tel adepte d'une secte marginale de pédophilie ou de non-assistance à personnes en danger, on ne manque pas d'expliquer que celles-ci sont dues aux discours ou à la conduite d'un gourou, donc du « dogme » de cette secte. Mais pour l'islam, nos « profilers » et autres sociologues médiatiques sont muets, alors que la similitude entre ces actes et les enseignements coraniques et haddithiques est patente tout comme la corrélation statistique entre l'origine « religieuse » et la délinquance.

Dans l'affaire des tortures et de la mise à mort sadique infligées à Ilan, on évacue la « piste antisémite » malgré l'évidence probabiliste et on ne parle même pas du sentier islamiste. Quant au boulevard « islamique » (et non « musulman »), on fait preuve comme toujours d'une étrange cécité.

Le meilleurs service qu'on pourrait rendre aux musulmans de France, ce serait pourtant d'arrêter « de dissimuler un certain nombre d'éléments qui peuvent être utiles à la compréhension de certains phénomènes », comme l'a dit (très tardivement) Nicolas Sarkozy réclamant des études sur les origines des délinquants. Car mon ancien épicier « musulman » n'appréciait guère d'être assimilé à la racaille et aux fous d'Allah (ou plus exactement du Coran et de Mahomet), qui mirent le feu à son Espace toute neuve parce qu'il vendait du vin et du jambon aux « kouffar ». Depuis, il est retourné « au bled », en Tunisie je crois. Parce que là-bas, au moins, on n'excuse pas les voyous qui incendieraient des écoles, et on ne fait pas des courbettes aux « islamistes ». Sans doute parce les autorités tunisiennes les connaissent « culturellement » mieux que nos ministres, élus et sociologues aveugles.

Dessin de David Miège, in les4verites.com Francis Percy Blake
http://www.france-echos.com/actualite.php?cle=8465



Ancien utilisateur
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Ruth, je ne suis pas du tout d'accord avec toi !
TU NE SAIS PAS DE QUOI TU PARLES !

J'ai lus des ouvrages sur l'Islam ! (Avis à tous je suis 100% juive praticante)

C'est à cause de gens comme toi que notre communauté et la communauté musulmane s'affronte (surtout par manque d'infos).

Tu justifies des actes BARBARES par un livre saint, non mais franchement je suis outrée !

Le fanatisme est présent dans chaque religion (l'autoflagellation des chrétiens par exemple).

Je vais te dire pourquoi on remets en cause toujours le faites que les délinquants sont toujours dis d'origine musulmane, car un délinquant d'origine italienne, ou espagnole ne sera pas montré du doigt, ni même souligné. Je lis plus souvent dans les faits divers "d'origine magrébine" que "d'origine portugaise".

C'est tout d'abord un soucis de médias qui tiennent à tout pris à nourrir une haine entre juifs et arabes.

Tu sais Ruth, tu ne te pose pas les bonnes questions, et c'est très dommage pour une mère de famille. Car tu engraines tes enfants dans ta haine.
J'ai vécue en Eretz pendant 17 ans, et j'aurais pu vivre dans cette haine, mais lorsque j'ai perdue des gens que j'aimais, j'ai compris que ca n'avancerais pas loin.
C'est pour ça que j'ai lus des ouvrages sur le Coran, pour mieux connaitre l'ennemi de mon pays.

N'oublies pas que religieusement parlant, nous sommes cousins et sémites.
Des musulmans j'en connais, qui apporte des messages de paix, car l'islam, comme toute religion monotéiste est une religion de paix.
Et crois moi après m'être très longuement informé nulle part dans le Coran n'est écrit de lapider une femme. Seulement dans le code civils de ces pays qui sont réprimander par l'ONU !

Ce qu'ils ont fait à Ilan (z"l) Baroukh Dayan haéméth, je leur souhaite de souffrir à vie, et qu'ils soient punis pour ça: EUX pas TOUT LEUR COMMUNAUTE!

Et pour ton info, sur les 13, à ce jour seulement 2 sont identifier comme musulmans.

Conseils: Lis les bonnes choses !!!


Message à la famille d'Ilan, courage à vous, toute mes prières ce tourne vers lui Zihron li vraha, paix à son âme !


Ps: Je suis en différent avec toute ma famille avec cette histoire car malheureusement, la plupart pensent comme toi !

Ancien utilisateur
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RUTH, KOL HACAVOD PR TES ARGUMENTS!!!

Ancien utilisateur
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Pas toute ma famille, seulement 2 ou 3 bornés !

Ancien utilisateur
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Rahel75: pr mieu tinformer, lis La paix impossible? de liliane messika et fabien ghez sorti en janvier 2006 ils répondent a ttes tes kestions!!
tu seras autant étonée ke moi! ya des choses kon savé pa ... on c ke la france est antisemite mé en le lisant, tu veras a kel point!!
allez salut!

ps: 24.50 je croi

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