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Ancien utilisateur
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Tu me réponds en mp, maintenant, Ashk ?
Plus envie de me casser sur le forum ?
Bizarre...

Ancien utilisateur
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Interactions entre sphères polymériques et angularités murales Optimisation du rendement des trajectoires à fort potentiel aléatoire

Dans la pratique de notre sport favori (le squash), il existe deux potentialités intrasèques qui permettent de définir un coup à très forte probabilité gagnante. L’optique la plus pragmatique consiste comme chacun sait à mettre en place les mécanismes inhérents qui permettent de placer la balle hors de portée de l’adversaire. Statistiquement cette option systémique est de loin la plus usité sur nos parquets car elle autorise une marge d’incertitude non négligeable dans la précision de la cinématique objective. Cependant, dans l’expression des signes praxiques, il existe véritablement une deuxième option plus efficace en terme de rendement, et qui dans l’épistémologie souffre de préjugés non avérés concernant à la prise de risque qu’elle implique. Mon analyse subséquente s’attachera donc à démontrer que cette deuxième option demeure injustement sous-utilisée et qu’une approche spécifique des mécanismes et de sa causalité mécanique peut améliorer de façon significative son efficience.

Mais de quelle option parle-t-on ?

Dans l’éventail des trajectoires possibles, le circuit balistique le plus imprévisible, et donc le plus gênant pour l’adversaire, est à l’évidence celui mécaniquement induit par un contact unique portant simultanément sur deux voir trois verticalités murales concomitantes. Par conséquent, lorsque la sphère polymérique frappe ainsi l’intersection de plusieurs surfaces planes (lorsque le joueur fait un nick pour parler vulgairement), il apparaît statistiquement que le joueur adverse est grandement dans la mouise. D’où le fort potentiel gagnant qu’impose sa déstabilisation physique (défaillances des appuis statiques des membres postérieurs) et psychologique (extériorisation puissamment sonore se plaignant de la chance présumée de l’opposant bénéficiaire du nick).

Le nick, le Saint Graal du joueur de squash

En poursuivant cette analyse, il est intéressant de connaître les perspectives cognitives et métaboliques qui permettraient d’engendrer de façon itérative ces fameuses trajectoires à caractère aléatoire qui nous intéressent. Ma réflexion approfondie et mes travaux scientifiques sur les 20 dernières années m’ont permis de comprendre qu’une optimisation du rendement peut s’obtenir en augmentant sensiblement le rythme et la fréquence des apprentissages en milieu modulo-iso-environnemental.

Mon éthique universitaire m’impose de préciser que cette conclusion surprenante m’a été initialement inspirée par publication scientifique sur les probabilités combinatoires qui posait l’axiome suivant : « en essayant continuellement on finit par réussir ; donc, plus ça rate, plus on a de chance que ça marche. » (« Les shadocks : pompe à rebours » Edition Grasset).

Ancien utilisateur
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Agent_m

chapeau bas comme d'habitude...

Remplaçons la sphère polymérique par le dragueur patenté (ou pas tenté)
et les verticalités murales par les proies féminines, ma question sera :

le nick est-il aussi l'arme secrète du feujworldien en goguette ?

Ancien utilisateur
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Agent_M , es-tu sûr d'aimer le squash ? L'élément sphérique a une caractere d'imprévisibilité en terme de trajectoire qui ne permet pas le positionnement optimum en terme d'impulsion initiale en tant que telle. On peut affirmer que le contexte de mobilité amene à se poser la question.

Ancien utilisateur
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Nath3bis, le nick est le coup supreme, le coup de grace, quand tu arrives à placer la balle dans un quelconque
angle du court, cette dernière roule et tu marques le point, sur 100 tentatives, tu le réussis 2 fois... Et pour
faire le rapprochement avec ce que tu insinues, le ratio doit être également le même quand un mec enclenche sa tentative de ni(que),
sur 100 demandes de RDV via la messagerie privé, il doit bien se faire rebomber 98 fois :/

Ashkdavid, le squash est mon 2eme boulot, interessé par des cours particuliers, ou plutot eXaminer l'effort par l'intermédiaire des duplications cellulaires (sous l'action de l'acide désoxyribo-nucléique (ADN) via l'ARNt et les ribosomes), ou comment les différents modes opératoires fonctionnels induisaient successivement (étapes après étapes) des modifications physico-chimiques sur les structures.

Chabbat Chalom à tous.

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